Shane Journeay vient de la Nouvelle-Écosse. La liste de ses études universitaires étant trop longue pour être présentée, nous nous contenterons de mentionner qu'il a obtenu son baccalauréat ès sciences et sa maîtrise à l'Université d'Ottawa et va bientôt terminer sa deuxième année de doctorat en toxicologie à l'Université de Saskatchewan. Il manifeste un grand intérêt pour la santé et la performance humaine, notamment en ce qui concerne les environnements de travail extrêmes en milieu industriel. Il possède de l'expérience en ergonomie, ayant travaillé dans le traitement et la prévention des blessures professionnelles de tissus mous dans des usines de pâtes et papiers et dans des scieries. Il a également fait un stage en santé et sécurité du milieu, à titre de spécialiste de l'ergonomie, dans une entreprise de télécommunications d'Ottawa. Shane s'intéresse à la toxicologie professionnelle avec une spécialisation en toxicologie respiratoire, ainsi qu'aux répercussions possibles de la nanotechnologie sur la santé. Lorsqu'il aura terminé son doctorat, Shane envisage de faire des études en médecine et de devenir l'un des premiers chercheurs du Canada à étudier les effets toxicologiques possibles des nanomatériaux. Il se voit, à l'avenir, jouer un rôle dans la définition de notre approche de la santé et de la sécurité au travail dans l'industrie de la nanotechnologie.
Ashley Soetemans, originaire de l'Alberta, a récemment obtenu son baccalauréat en sciences de la santé communautaire et une mineure en psychologie de l'Université Brock. Ashley travaille comme bénévole dans la division du mieux-être en milieu de travail au service de la santé publique, ainsi que dans deux entreprises de fabrication, où elle s'occupait des activités de mieux-être. Comme expérience de bénévolat, elle a déjà été tutrice en statistique et préposée à des stands de sensibilisation aux pratiques sexuelles sans risque et aux jeux de hasard sur des campus universitaires. Comme promotrice de la santé, Ashley souhaite être engagée par une grande entreprise pour promouvoir le bien-être et le mieux-être auprès des employés. Elle croit que l'activité physique est une bonne cause et une solution que les milieux de travail et les organisations peuvent facilement promouvoir en vue du bien-être de leurs employés et de la société en général. Elle espère qu'un jour, les gens, en faisant un retour sur le passé, pourront affirmer qu'elle était une personne engagée et enthousiaste qui encourageait d'autres personnes à appuyer une bonne cause.
La décision de Jodi Van Valkenburg de poursuivre des études supérieures dans le domaine de la santé et de la sécurité au travail découlait d'une blessure qu'elle avait subie aux doigts pendant qu'elle travaillait comme apprentie-mécanicienne de chantier de construction. Née et élevée à Hamilton, en Ontario, et travaillant comme mécanicienne de chantier de construction depuis 1995, Jodi a récemment terminé la deuxième année d'un programme accéléré de baccalauréat en sciences appliquées avec spécialisation dans le domaine de la santé et de la sécurité au travail. Jodi manifeste un intérêt particulier dans l'approche du secteur de la construction en matière de santé et cherche à comprendre la nature des accidents dans l'espoir d'en réduire la probabilité à l'avenir. Elle croit que les employeurs doivent favoriser une culture positive de la santé, en adoptant entre autres des politiques qui vont au-delà de ce qui est exigé afin de montrer aux travailleurs qu'ils se préoccupent réellement de leur bien-être. Jodi projette de poursuivre, à l'avenir, des études en vue de l'obtention de la désignation CRSP, et peut-être même de faire une maîtrise en hygiène du travail.
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