Le rapport sur la santé et la sécuritéVol. 3, No. 1, janvier 2005

Dans les nouvelles

Travaillez-vous « en terrain glissant »?print this article

Bien qu’un grand nombre d’entre nous gagnions notre vie à l’intérieur, d’autres personnes travaillent à l’extérieur, dans des conditions extrêmes – notamment sur de la glace au-dessus de l'eau. Pour ces personnes, s’aventurer « sur un terrain glissant » peut compromettre dangereusement leur sécurité. Mentionnons, entre autres, les équipes de recherche environnementale, l’industrie géophysique et les industries de soutien connexes, les scientifiques, les travailleurs des services d’utilité publique et les travailleurs des opérations de sauvetage.

L’eau douce gèle à 0° C et l’eau salée, à moins 2° C. Mais les types de glace varient selon différents facteurs. Plus vous en saurez sur les types de glace, plus vous serez compétent pour en évaluer l’état et prendre le mesures de précaution nécessaires.

Par exemple, la glace peut être transparente ou « bleue », ou il peut s’agir de glace de neige « blanche » remplie de bulles d’air. La glace bleue plus solide, plus résistante, se forme lors de la congélation de l’eau, tandis que la glace de neige, blanche et opaque, se forme lorsque la neige saturée d’eau se solidifie à la surface de la glace. En général, la glace d’eau douce est plus solide que la glace d’eau salée, et la glace des lacs est plus solide que la glace des rivières. La glace doit avoir une densité minimale pour être considérée comme suffisamment sûre pour qu’on puisse marcher dessus, et l’épaisseur et la solidité requises augmentent proportionnellement au poids de la charge et à sa distribution sur la couche de glace.

Tant dans le cas des rivières que des lacs, l’air doux du printemps et les courants peuvent contribuer à amincir la couche de glace. Pendant une période de 24 heures suivant une baisse marquée de la température de l’air, la glace peut être fragile et dangereuse.

Mesures de précaution

Il faut être très prudent et prendre des mesures de précaution additionnelles lors des opérations sur glace. Voici quelques conseils pratiques; les documents de référence cités à la fin de l’article fournissent des renseignements plus détaillés.

Les personnes qui sont appelées à effectuer des opérations sur glace doivent recevoir une formation concernant les risques impliqués, les mesures de précaution à prendre et les procédures de sauvetage de base ainsi que les plans d’urgence à suivre si la glace cède.

Il faut vérifier le rivage du plan d’eau pour déceler les changements récents du niveau de l’eau. Si la glace est couverte de neige, essayez de repérer les zones humides.

Ne vous aventurez jamais seul sur la glace, et n’y mettez pas le pied si vous doutez le moindrement de la solidité de la glace. Vous devriez informer une personne de vos projets, de même que de l’heure de votre retour, comme mesure de précaution. Il est recommandé de vous munir d’un téléphone cellulaire, d’un téléphone par satellite ou d’un appareil radio émetteur-récepteur lorsque vous travaillez dans des endroits isolés.

Il faut vérifier la température de l’air au cours des jours précédant le départ pour les opérations sur glace, puis faire des vérifications périodiques tant et aussi longtemps que la couche de glace doit supporter des charges. Si la couche de glace est suffisamment épaisse pour pouvoir supporter la charge prévue, elle devrait être sûre si la température de l’air est restée sous 0°C.

La couche de glace devrait être vérifiée avant qu’on ne s’y aventure, par une personne qui avancera prudemment à pied en sondant la couche de glace tous les 45 m (150 pieds), au moyen d’un ciseau à glace. Si le ciseau passe à travers la couche de glace, il faut immédiatement rebrousser chemin en suivant exactement le même trajet jusqu’à la rive. Les personnes appelées à vérifier la couche de glace à pied devraient se munir de longues perches, de cordes de sauvetage et d’un vilebrequin à glace comme équipement de secours au cas où la glace céderait; ou être reliées ensemble par un câble, en laissant un espace d’au moins 15 m (50 pieds) entre elles.

Le travailleur doit veiller à ce que ses vêtements ne compromettent pas sa sécurité dans l’éventualité où la couche de glace cède. Un dispositif de flottaison (sauf pour les occupants des véhicules) et des pinces en forme de mitaines sont indispensables.

Les portes et les hayons des véhicules qui s’aventurent sur la glace devraient être enlevés ou retenus en position ouverte au moyen de courroies, et les occupants NE doivent PAS boucler leur ceinture de sécurité afin de pouvoir sortir facilement du véhicule au besoin. La vitesse du véhicule ne devrait pas dépasser 15 km/h afin d’éviter les effets de la vague hydrodynamique du mouvement du véhicule, ni être inférieure à 1,5 km/h afin d’éviter les effets des charges stationnaires.

Les graphiques présentés dans le Guide de sécurité pour les opérations sur glace du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada, ainsi que Worksafe Alberta fournissent des lignes directrices visant à aider à évaluer l’épaisseur, la solidité et la sécurité de la glace.

Travailler sur une surface glacée peut être périlleux. Le fait d’être renseigné sur ce danger qu’est la glace est une première étape pour garder le pied ferme!

Documents de référence additionnels :

Guide de sécurité pour les opérations sur glace - Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada

Safety Bulletin de WorkSafe Alberta

Yellowknife Ice Safety - Yellowknife [NT] Fire Division

Nouvelles du CCHST

Un nouveau cours d’apprentissage en ligne enseigne aux travailleurs à utiliser les produits chimiques dangereux en toute sécuritéprint this article

Longtemps avant que le gouvernement du Canada adopte son Système d’information sur les matières dangereuses utilisées au travail (SIMDUT), exigeant des employeurs, dans les milieux de travail où des produits chimiques sont utilisés, qu’ils fournissent de l’information et de la formation aux travailleurs concernant l’utilisation de ces produits en toute sécurité, le Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail (CCHST) avait recueilli des renseignements sur la sécurité des produits chimiques et avait diffusé ces renseignements dans les milieux de travail d’un bout à l’autre du Canada. Le CCHST s’est appuyé sur l’expérience qu’il a acquise en fournissant de l’information pour élaborer un nouveau cours d’apprentissage en ligne, WHMIS for Workers (SIMDUT pour les travailleurs), qui aide les travailleurs à utiliser les produits chimiques dangereux en toute sécurité et facilite le respect du SIMDUT.

Le cours, qui est d’une durée d’environ 50 à 60 minutes, aide les travailleurs à comprendre et à respecter le SIMDUT, les familiarisant avec leurs droits et responsabilités, les catégories et les symboles du SIMDUT et leur signification, les fiches signalétiques (FS) et les étiquettes. Le cours comprend aussi des conseils pratiques sur les mesures de base en matière de santé et sécurité qui permettent de protéger les travailleurs et de prévenir les blessures et les maladies en milieu de travail. Des jeux-questionnaires permettent aux participants de vérifier les connaissances qu’ils ont acquises dans le cadre du cours.

On peut obtenir ce cours en format d’apprentissage en ligne dans l’Internet, ce qui rend le rend très abordable et facilement accessible. Comme son nom l’indique, WHMIS for Workers vise à répondre aux besoins de tous les travailleurs qui doivent recevoir une formation concernant le SIMDUT, mais il intéressera également les futurs travailleurs, par exemple les étudiants inscrits dans des programmes de science et technologie, ou les jeunes travailleurs qui se préparent pour un nouvel emploi, ou encore les professionnels des ressources humaines et de la sécurité ayant des responsabilités en matière de formation et d’application des règlements.

WHMIS for Workers aide à créer un milieu de travail plus sûr en fournissant aux travailleurs les connaissances et les outils nécessaires pour leur permettre de travailler en toute sécurité.

Une version française du cours d’apprentissage en ligne sera diffusée au début de 2005.

Alertes au danger

Le monoxyde de carbone peut être dangereux pour ceux qui ne s’en méfient pasprint this article

Plusieurs employés travaillant dans un entrepôt à Terre-Neuve ont été hospitalisés pour des symptômes causés par une intoxication au monoxyde de carbone dans un incident récent évité de justesse, selon les Services de santé et sécurité au travail de la province. Des chariots élévateurs à fourche actionnés au propane auraient été la source d’exposition au monoxyde de carbone. Le seul moyen utilisé pour aérer l’entrepôt consistait à garder les portes ouvertes. Il n’y avait aucune ventilation mécanique.

Dans un autre incident à bord d’un navire en Colombie-Britannique, un membre d’équipage a été pris d’étourdissements durant la nuit et s’est levé pour ouvrir les fenêtres donnant sur la cuisine. Le lendemain, il a constaté que l’autre membre d’équipage, qui avait dormi à l’avant du navire, était décédé. C’est à cause d’une fuite décelée dans le système d’échappement du moteur du navire, installé sous le plancher de la cabine, que les membres d’équipage ont été exposés au monoxyde de carbone durant leur sommeil.

Les deux provinces ont émis des avis pour sensibiliser le public à l’importance de prendre des mesures de précaution comme la détection des gaz et la ventilation mécanique pour réduire le risque d’exposition au monoxyde de carbone.

Le monoxyde de carbone (CO) est produit par les moteurs actionnés à l’essence ou au propane. En raison du caractère inodore, incolore et insipide de ce gaz, il est difficile pour les personnes de réaliser qu’elles ont été exposées. Selon INFOCHIM, les effets de l’exposition peuvent comprendre des maux de tête allant de légers à graves (50 ppm à plus de 200 ppm); des nausées, des vomissements, des étourdissements, l’évanouissement et la somnolence (plus de 400 ppm); l’augmentation du rythme cardiaque, l’irrégularité du rythme cardiaque (plus de 1 200 ppm); le coma et le décès (plus de 2 000 ppm). À des concentrations supérieures à 5 000 ppm, le décès peut survenir en quelques minutes. Ces symptômes se manifestent généralement plus tôt ou à des concentrations plus faibles de monoxyde de carbone si les travailleurs effectuent des travaux physiquement exigeants (augmentation du rythme respiratoire et augmentation du débit sanguin).

Le gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador recommande que dans les milieux de travail comme les entrepôts, les employeurs examinent la possibilité de recourir, à l’intérieur, à des solutions de rechange aux moteurs à combustion interne lorsque c’est possible. Dans les cas où des chariots élévateurs à fourche et d’autres appareils actionnés par des moteurs à combustion interne sont utilisés à l’intérieur, il faudrait installer et entretenir, dans le milieu de travail en question, un système de ventilation mécanique pour maintenir les concentrations des gaz d’échappement à un niveau acceptable. De plus, lorsque des chariots élévateurs à fourche actionnés au propane sont utilisés à l’intérieur d’un édifice, il faudrait prévoir une mise au point du moteur et des essais de contrôle des émissions dans l’entretien de routine de l’équipement. Les émissions de monoxyde de carbone ne devraient pas dépasser la limite maximale recommandée dans les normes du fabricant.

Les employeurs devraient installer des détecteurs de monoxyde de carbone dans tout le milieu de travail, y compris les locaux adjacents. Il est très important que ces détecteurs soient entretenus conformément aux recommandations du fabricant. Il faudrait renseigner les travailleurs sur les risques associés au monoxyde de carbone et sur la manière de reconnaître les signes d’intoxication.

Sur les navires, il faudrait installer un détecteur de monoxyde de carbone de catégorie marine. La Workers’ Compensation Board de la Colombie-Britannique recommande de configurer le système d’échappement du moteur et de sceller les compartiments moteur de manière à empêcher les fuites de gaz d’échappement. Le système devrait être inspecté et entretenu périodiquement. Il faudrait assurer un apport d’air frais dans toutes les zones où l’équipage circule.

Réponses SST

Relever le défi de la conduite hivernaleprint this article

La conduite automobile est périlleuse même dans des conditions idéales, alors comment ne pas appréhender la nouvelle saison d’hiver avec ses routes enneigées!. Vous n’avez aucun contrôle sur les conditions climatiques, mais vous pouvez vous préparer vous-même, ainsi que votre véhicule pour le pire des hivers et sa poudre blanche, et assurer ainsi votre sécurité. Le Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail (CCHST) donne les conseils suivants pour la conduite hivernale.

Préparez votre véhicule. Garder son véhicule en bon état réduit les risques d'accident ou de catastrophe lors de la conduite. Faites inspecter minutieusement le système électrique, le système d’échappement, le système de chauffage / de refroidissement, le système d’alimentation et les freins de votre véhicule. Faites installer des pneus d’hiver et faites vérifier l’état des essuie-glace. Éliminez les risques d’exposition au monoxyde de carbone en veillant à ce que le tuyau d’échappement ne soit pas obstrué par de la neige et en vérifiant le système pour déceler la présence de fuites. Ne laissez pas le niveau d'essence descendre trop bas, et gardez en tout temps un contenant supplémentaire d’antigel -- résistant aux températures les plus froides -- dans votre véhicule.

Préparez une trousse de conduite hivernale. La conduite hivernale sera moins stressante si vous vous préparez au pire. Votre trousse devrait comprendre un sac de sable, de calcium, ou de litière, des plaques d'aide à la traction, une pelle, un balai à neige et un grattoir, des dispositifs d’avertissement comme des torches de signalisation ou des feux de secours, et du liquide dégivreur de conduites d'essence. De plus, dans l’éventualité où vous devez attendre dans un véhicule froid, gardez à portée de la main une couverture et des vêtements de rechange, dont un chapeau, un pantalon coupe-vent, des gants et des bottes chaudes, ainsi que des grignotines, de l’eau et les aides habituelles du conducteur – une trousse de premiers soins, des cartes routières et des câbles de démarrage.

Si votre véhicule s’est enfoncé dans la neige, il est inutile de paniquer, surtout si vous vous êtes bien préparé. Faites fonctionner vos clignotants, recroquevillez-vous sous une couverture, faites fonctionner le moteur de votre véhicule durant environ 10 minutes par heure pour vous réchauffer, et restez éveillé. (Assurez-vous que le tuyau d'échappement n'est pas obstrué.) Un véhicule non chauffé est comme une glacière, alors l’important est de rester au chaud et au sec.

Préparez-vous à prendre la route. Préparez-vous avant de partir. Planifiez votre trajet à l’avance et vérifiez les conditions routières et météorologiques au cours de votre itinéraire. Évitez de conduire lorsque vous êtes fatigué. Prévoyez suffisamment de temps pour votre déplacement, et informez quelqu'un de votre itinéraire et de l’heure prévue de votre arrivée.

La visibilité est d’une importance capitale pour votre sécurité sur la route, alors prenez le temps de réchauffer votre véhicule pour empêcher la formation de buée sur la face intérieure des vitres et enlevez la neige et la glace accumulée sur votre véhicule, qui réduiraient votre visibilité. Apportez un téléphone cellulaire avec vous, si vous en possédez un, ainsi que vos verres fumés.

Habillez-vous chaudement et portez des vêtements confortables. Si vous voulez ajouter ou enlever un vêtement, immobilisez d’abord le véhicule dans un endroit sûr.

Conduisez prudemment. Il est important de conduire d’une manière sûre et responsable dans toutes les conditions, mais en hiver, il faut redoubler de prudence. Autrement dit, il faut réduire sa vitesse, être encore plus vigilant et prévoir une distance deux fois plus grande entre votre véhicule et celui qui vous précède. Ralentissez à l’approche d’un pont, car le tablier du pont pourrait être glacé même si la route ne l’est pas.

Vous pouvez relever le défi de la conduite hivernale!

Des renseignements additionnels sur la conduite hivernale sûre, de même que des conseils pour la survie, sont fournis dans les Réponses SST

Nouvelles de nos partenariats

Le gouvernement de l’Ontario ouvre un portail d’information sur les milieux de travailprint this article

Toute personne qui cherche de l’information sur la manière d’assurer un milieu de travail sûr, équitable et harmonieux trouvera des réponses claires sur le Portail d’information sur les milieux de travail, un site Web du gouvernement de l’Ontario. Le site regroupe des renseignements sur la santé et la sécurité au travail, les normes d’emploi et la protection des consommateurs, fournissant tant aux employeurs qu’aux travailleurs un accès centralisé à diverses ressources Internet. Le portail fournit également des renseignements sur certains secteurs industriels particuliers, allant de la construction au tourisme, en passant par la restauration.

« Cette initiative favorisera la sensibilisation et la formation de l'ensemble de la collectivité », a dit Chris Bentley, ministre du Travail, lorsque le site a été lancé l’automne dernier, « particulièrement les employeurs en ce qui a trait aux questions liées aux normes d'emploi et à la santé et sécurité au travail. Il s'agit d'une plate-forme sur laquelle nous pourrons nous appuyer pour aider les entreprises à devenir plus efficientes et le gouvernement, plus efficace. »

Les personnes qui consultent le site Portail d’information sur les milieux de travail peuvent s’inscrire à la Commission de la sécurité professionnelle et de l’assurance contre les accidents du travail (CSPAAT) et à l’Impôt-santé des employés. Elles peuvent également présenter une demande à l’assurance-emploi, accéder à des formulaires en ligne, s’inscrire aux fins de la notification des projets de construction par voie électronique, et télécharger des documents, comme l’affiche des normes d’emploi. Le site comprend divers renseignements sur le monde du travail, allant d’information sur les risques liés au milieu de travail et les mesures de contrôle au travail, les risques pour la santé, les règlements qui s’appliquent aux personnes qui travaillent à l’extérieur de l’Ontario, jusqu’à de l’information sur les microtraumatismes répétés, les entorses, les alertes au danger émises par le ministère du Travail de l’Ontario, et les nouvelles au sujet des lois et de leur application.

Les petites entreprises en particulier tireront parti de la facilité d’accès à de l’information gouvernementale sur les exigences liées à la santé et la sécurité au travail et sur d’autres pratiques d’emploi. Le lien Lancer et gérer un projet de construction, par exemple, mène à des renseignements détaillés sur la manière de lancer une entreprise ou un projet, sur les permis et les qualifications professionnelles, les lois et règlements régissant la santé et la sécurité au travail, de même que sur d’autres sujets.

Une section Foire aux questions fournit des renseignements sur des questions courantes comme les salaires et les heures de travail, la santé et la sécurité au travail, l’assurance contre les accidents du travail et les prestations, et la productivité des entreprises.

Voir le site Web.

Vous pouvez également y accéder par le biais du site Web du ministère du Travail de l’Ontario

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