Le rapport sur la santé et la sécuritéVol 23, No. 10

Sujet d'actualité

Changer d’air : Comprendre la qualité de l’air intérieur au travailprint this article

Un lundi matin, Maryam s’est installé à son bureau avec un café frais et une longue liste de tâches à accomplir. Toutefois, en milieu d’après-midi, ses yeux piquaient, sa gorge était irritée et elle souffrait d’un mal de tête sourd. Elle a donc informé son supérieur qu’elle avait l’impression d’être enrhumée et est rentrée chez elle pour limiter la propagation. Étrangement, ses symptômes se sont dissipés lorsqu’elle est arrivée à la maison et n’ont réapparu qu’une fois de retour au bureau.

Après avoir vécu le même scénario quelques jours de suite, Maryam a remarqué que d’autres collègues toussaient et se frottaient les yeux; elle a donc commencé à soupçonner que ses symptômes étaient liés au bâtiment. Elle a décidé d’en parler à son supérieur hiérarchique. Par la suite, l’employeur a amorcé une enquête sur la qualité de l’air intérieur du bâtiment. 

L’importance de la qualité de l’air intérieur

La qualité de l’air intérieur (QAI) correspond à la qualité (bonne ou mauvaise) de l’air à l’intérieur d’un bâtiment. Elle est influencée par la ventilation, les matériaux de construction, l’air extérieur, le mobilier, les équipements, les produits, le climat et les personnes qui utilisent l’espace.

Pour être qualifié de « bonne qualité », l’air intérieur ne doit pas contenir de niveaux inacceptables de contaminants. De plus, la température, l’humidité et la circulation de l’air doivent rendre l’environnement confortable, ce qui aide les travailleurs à se concentrer sur leur travail en plus de réduire le stress. Lorsque la qualité de l’air intérieur est médiocre, les effets peuvent aller d’une légère irritation des yeux, du nez ou de la gorge à la fatigue, aux maux de tête, à l’essoufflement et aux nausées. Les travailleurs qui présentent ces symptômes peuvent avoir des difficultés à mener leur journée de travail à terme.

Sources fréquentes de problèmes

Les lieux de travail contiennent de nombreuses sources potentielles de contamination. Les matériaux de construction, les tapis et les équipements de bureau peuvent émettre des gaz dans l’air, tandis que les produits de nettoyage, les peintures et les adhésifs dégagent souvent des odeurs et des vapeurs fortes. Les zones humides peuvent favoriser le développement de moisissures et de bactéries, et la poussière et les fibres peuvent circuler dans les systèmes de ventilation. Même les odeurs de nourriture, de parfum ou de tabac peuvent rendre les conditions de travail désagréables.

Dans certains cas, des problèmes de santé plus graves peuvent apparaître à la suite d’une exposition à l’amiante, au radon, au monoxyde de carbone ou à des bactéries telles que la Legionella.

Reconnaître les signes

Les symptômes d’une mauvaise qualité de l’air ressemblent souvent à ceux d’un rhume ou d’une grippe. Les travailleurs peuvent alors se sentir congestionnés, fatigués, étourdis ou nauséeux après plusieurs heures passées à l’intérieur, puis se sentir mieux dès qu’ils quittent le bâtiment. Si plusieurs personnes dans la même zone signalent des problèmes similaires, en particulier lorsque les symptômes s’atténuent pendant les fins de semaine ou les vacances, la qualité de l’air peut être une cause à envisager.

Invitez les travailleurs à noter le début et la fin de leurs symptômes et à faire part de leurs inquiétudes à leur superviseur, au comité de santé et de sécurité ou à leur représentant. Ces signalements peuvent être les premières manifestations d’un problème plus important, il faut donc les prendre au sérieux.

Enquêter sur les préoccupations

Commencez par une visite du lieu de travail. Prêtez une attention particulière aux systèmes de ventilation, à l’humidité ou à la formation de moisissures. Servez-vous des informations fournies par les travailleurs sur leurs symptômes pour trouver des points communs. Les symptômes sont-ils plus fréquents dans une zone? S’aggravent-ils au cours de la journée ou apparaissent-ils après des activités comme le cirage ou la peinture? Des enquêtes sur la santé des travailleurs, des listes de vérification et des organigrammes d’évaluation et de résolution sont des outils qui peuvent s’avérer utiles. Les registres d’entretien des systèmes de ventilation et de l’entretien général du bâtiment peuvent également être utiles pour mieux comprendre les problèmes de qualité de l’air intérieur. Si la source du problème est difficile à identifier, il peut être nécessaire de faire appel à un expert-conseil qualifié.

Stratégies pour une meilleure qualité de l’air

Pour améliorer la qualité de l’air intérieur, il faut s’attaquer à la source de contamination et comprendre la façon dont les gens utilisent l’espace. Santé Canada recommande de commencer par la source pour identifier, éliminer ou isoler la source des contaminants de l’air avant qu’il n’y ait un problème de qualité de l’air. Il faut remédier rapidement aux fuites avant que les moisissures n’aient le temps de se développer. Lorsqu’ils achètent de nouveaux produits, les employeurs peuvent choisir des produits de nettoyage, des tapis, des meubles et des équipements à faibles émissions.

Si les sources de contaminants ne peuvent pas être éliminées ou supprimées, les systèmes de ventilation par aspiration à la source peuvent évacuer les contaminants à l’extérieur à partir de l’endroit où ils sont produits, par exemple dans les cuisines, les salles de bain ou les salles de stockage. La ventilation joue également un rôle important, car elle fait entrer de l’air frais extérieur, ce qui permet de diluer les contaminants présents dans l’air intérieur. Cette étape est particulièrement utile lors d’activités comme la peinture ou le nettoyage avec des produits chimiques puissants. Une bonne qualité de l’air extérieur au niveau des entrées d’air contribue également à garder l’air intérieur propre. Par conséquent, les entrées d’air ne doivent pas se trouver près de véhicules dont le moteur tourne au ralenti, de zones pour fumeurs, de déchets ou d’autres contaminants. La ventilation est plus efficace lorsqu’elle est combinée à d’autres mesures de contrôle des contaminants à la source.

Des gestes concrets peuvent également réduire l’exposition. Par exemple, les employeurs peuvent planifier des tâches comme le décapage et le cirage des sols lors des fins de semaine pour que les vapeurs puissent se dissiper avant le retour des travailleurs. Les systèmes d’épuration de l’air, comme les filtres dans les systèmes de ventilation, peuvent aider à capturer les particules. Cependant, l’élimination des gaz nécessite généralement un équipement plus complexe.

Enfin, la sensibilisation est la pièce maîtresse des différentes mesures. Les travailleurs qui comprennent l’origine des contaminants, le fonctionnement de la ventilation et les mesures à prendre s’ils soupçonnent un problème peuvent contribuer à améliorer la qualité de l’air et à protéger leur propre santé.

Obligations et normes juridiques

Au Canada, la plupart des provinces et territoires n’ont pas de lois dédiées à la qualité de l’air intérieur dans les lieux de travail non industriels. Toutefois, en raison de la « disposition d’obligation générale », les employeurs doivent fournir un environnement sûr et sain, ce qui inclut l’obligation d’assurer une qualité de l’air acceptable. Il peut également y avoir des exigences concernant les enquêtes sur les plaintes et la correction des problèmes. Les codes du bâtiment, les normes comme la norme ASHRAE 62.1 Ventilation for Acceptable Indoor Air Quality, les directives de Santé Canada sur l’amélioration de la qualité de l’air intérieur dans les immeubles de bureaux, et les niveaux de référence pour les contaminants intérieurs constituent des documents d’orientation. Votre province ou territoire peut également avoir ses propres lignes directrices sur la qualité de l’air intérieur.

L’amélioration de la qualité de l’air intérieur passe par un mélange de prévention et d’intervention. Choisissez des matériaux et des équipements qui libèrent moins de contaminants, assurez-vous que les systèmes de ventilation fournissent suffisamment d’air extérieur et planifiez les tâches comme la peinture ou le nettoyage à des moments où moins de personnes seront présentes. Veillez à entretenir les filtres et les systèmes d’échappement pour empêcher les contaminants de se répandre. Les travailleurs peuvent contribuer en utilisant les produits de manière responsable, en gardant les zones de travail propres et sèches et en signalant rapidement toute fuite, humidité ou odeur inhabituelle. Une main-d’œuvre qui sait reconnaître les signes précoces et signaler ses préoccupations contribuera à garantir une bonne qualité de l’air intérieur pour tous.

Ressources

Conseils et outils

Prévenir les expositions chimiques au travail print this article

Avant de travailler avec des produits chimiques et d’autres substances, il est important de connaître les risques connexes et comment protéger toutes les personnes qui y sont exposées. Non seulement les produits chimiques peuvent toucher la santé de vos travailleurs, mais les substances inflammables et explosives peuvent également représenter un risque pour la sécurité physique, entraînant des incendies et des explosions. Les blessures et les maladies comprennent tout, des irritations oculaires et des brûlures aux dommages aux organes et au cancer. Si vous avez des produits chimiques sur le lieu de travail, ces mesures de contrôle peuvent aider à réduire les risques associés aux expositions chimiques.

  • Effectuer une évaluation des dangers et des risques. Évaluez votre lieu de travail pour cerner les dangers chimiques, évaluer le risque pour vos travailleurs et introduire des mesures en suivant la hiérarchie des mesures de contrôle pour traiter chaque danger. Une équipe compétente qui a une bonne connaissance de vos opérations devrait effectuer l’évaluation.
  • Choisir des produits chimiques plus sûrs, si possible. Faites l’inventaire des produits dans votre lieu de travail et envisagez de remplacer les produits chimiques par des solutions de rechange moins ou non dangereuses. Une évaluation des risques devrait être effectuée pour déterminer si un autre produit est une solution de rechange appropriée.
  • Améliorer la ventilation. Des systèmes de ventilation appropriés peuvent aider à prévenir l’inhalation de fumées, de vapeurs et de poussières dans votre lieu de travail. Ouvrez les fenêtres et les portes pour améliorer naturellement la circulation de l’air. Les options mécaniques, comme les ventilateurs et autres équipements d’évacuation, permettent également d’améliorer la qualité de l’air intérieur. Envisagez le type de ventilation approprié pour votre lieu de travail et l’utilisation de produits chimiques.
  • S’assurer que les travailleurs suivent les procédures de travail sécuritaires. Les travailleurs devraient connaître et comprendre les procédures opérationnelles normalisées, y compris lire les fiches de données de sécurité et les étiquettes avant de travailler avec des produits dangereux. Ils devraient également savoir comment stocker les produits chimiques en toute sécurité, en particulier les substances inflammables et réactives.
  • Auditer votre programme de sécurité chimique. Les travailleurs ont le droit de connaître les produits chimiques auxquels ils peuvent être exposés sur le lieu de travail. Assurez-vous que les travailleurs savent comment manipuler les produits chimiques en toute sécurité et comment réagir en cas d’urgence. Pour les produits dangereux, assurez-vous de respecter les exigences du Système d’information sur les matières dangereuses utilisées au travail (SIMDUT) concernant la classification des produits, l’étiquetage, les fiches de données de sécurité et la formation et la sensibilisation des travailleurs.
  • Avoir un plan d’intervention en cas d’urgence en place. Formez des travailleurs sur les mesures à prendre en cas de déversement ou d’exposition chimique, y compris avec qui communiquer, comment contenir l’incident, et les procédures de nettoyage ou de décontamination sécuritaires.
  • Installer des bassins oculaires et des douches d’urgence. En cas d’exposition de la peau et des yeux, les 10 à 15 premières secondes sont critiques. Ayez un plan de réponse aux premiers secours en place et un moyen immédiat de décontamination pour aider à réduire le risque de blessures graves, comme une brûlure chimique.
  • Connaître les limites. Comprenez les limites d’exposition professionnelle aux produits chimiques dans votre secteur et votre région, et mesurez de manière proactive les concentrations dans l’air sur votre lieu de travail. Des niveaux égaux ou supérieurs à la limite peuvent augmenter le risque d’effets néfastes sur la santé.
  • S’assurer que les travailleurs ont le bon équipement de protection pour le travail. Fournissez aux travailleurs des équipements de protection individuelle bien ajustés, qui peuvent inclure des gants résistants aux produits chimiques, des lunettes de sécurité, des écrans faciaux, des combinaisons et des respirateurs ajustés. Formez les travailleurs à savoir quand l’équipement de protection individuelle est nécessaire, comment le mettre et l’enlever correctement, comment reconnaître les défauts, quand le remplacement est requis, et comment entretenir et éliminer l’équipement en toute sécurité.

Le travail avec des produits chimiques peut comporter des risques importants pour la santé et la sécurité. En adoptant une approche proactive, vous pouvez aider à prévenir l’exposition aux risques et protéger vos travailleurs.

Ressources du CCHST

Nouvelles de nos partenariats

Un outil gratuit pour aider les dirigeants à bâtir une équipe plus efficace et plus résilienteprint this article

Si vous êtes dirigeant·e en milieu de travail et que vous cherchez à protéger et à favoriser la santé et la sécurité psychologiques de votre équipe, n’hésitez pas à utiliser dès maintenant l’outil en ligne gratuit d’Évaluation d’équipe psychologiquement sécuritaire. Il est maintenant plus facile que jamais de transmettre les résultats d’évaluation aux membres de votre équipe et de les aider à prendre des mesures pour améliorer la cohésion, l’inclusion et la résilience au sein de l’équipe. 

Présentation du rapport d’équipe 

  • Bien que le rapport complet regorge de stratégies et de ressources destinées à aider les dirigeants à prendre des mesures, le nouveau rapport d’équipe constitue une version axée uniquement sur les résultats que vous pouvez facilement transmettre à votre équipe. 
  • Le rapport d’équipe propose également les prochaines étapes à suivre pour tous les membres, comme partager leurs idées sur la façon dont ils peuvent contribuer à améliorer l’expérience de l’équipe. 
  • Une fois l’évaluation terminée, vous pouvez accéder au rapport complet et au rapport d’équipe à partir du tableau de bord de votre compte.  

Pour en savoir plus sur l’Évaluation d’équipe psychologiquement sécuritaire et vous créer un compte, consultez la page https://equipepsychologiquementsecuritaire.com/ 

Cet outil fait partie d’une série de ressources gratuites visant à promouvoir la santé et la sécurité psychologiques au travail, qui sont offertes dans le cadre d’un partenariat entre Stratégies en milieu de travail pour la santé mentale de Canada Vie et le CCHST. 

Balados

« Psychological Health and Safety in Action »print this article

Les épisodes de notre balado vous permettent de demeurer au courant des questions touchant la santé, la sécurité et le bien-être au Canada. 

Balado en vedette : « Psychological Health and Safety in Action »

Lorsque l’on pense à la santé et à la sécurité au travail, la sécurité physique est ce qui nous vient d’abord à l’esprit. Mais pour qu’un lieu de travail soit réellement sain et sûr, la sécurité psychologique est également une composante essentielle. Troy Winters, coordonnateur national de la santé et de la sécurité pour le SCFP, se joint à nous pour discuter de ce que cela signifie en pratique.

Écoutez le balado dès maintenant.

Balado en rappel : « The Gender Gap in Personal Protective Equipment »

L’adoption d’une approche « taille unique » en matière d’équipement de protection individuelle peut avoir des conséquences. Dans cet épisode, la consultante en santé au travail et en santé publique Anya Keefe discute du manque de représentation et de la nécessité de tenir compte du genre et du sexe dans le cadre de la production et de l’offre d’équipement de protection individuelle.

Écoutez le balado dès maintenant.

Parcourez la liste complète des sujets traités dans les balados. Mieux encore, abonnez-vous sur iTunes afin de ne pas manquer un seul épisode. 

Nouvelles du CCHST

Cours mis à jour : Prévention du harcèlement et de la violence dans les milieux de travail sous réglementation fédéraleprint this article

Avez-vous besoin d’approfondir votre compréhension de la prévention du harcèlement et de la violence dans un milieu de travail sous réglementation fédérale et de la réponse à ceux-ci?

Nous avons mis à jour trois cours pour aider les employeurs, les gestionnaires, les comités et représentants de la santé et de la sécurité, les destinataires désignés et les employés à comprendre leurs rôles et responsabilités en vertu du Code canadien du travail, Partie II, y compris le Règlement sur la prévention du harcèlement et de la violence dans le lieu de travail. Les voici :

Tout le monde au Canada a droit à un lieu de travail exempt de harcèlement et de violence. Ces cours peuvent vous permettre de réduire le risque dans votre organisme.

Bourses d'études

Appel de candidatures pour la bourse d’études Dick Martinprint this article

Nous acceptons maintenant les candidatures pour la bourse d’études Dick Martin. Le concours est ouvert à tout étudiant inscrit, soit à temps plein, soit à temps partiel, à un cours ou un programme dans le domaine de la santé et de la sécurité au travail dans un collège agréé ou une université reconnue au Canada qui mène vers l’obtention d’un certificat, d’un diplôme ou d’un grade en santé et sécurité au travail.  

Deux étudiants recevront un prix de 3000$ (et leurs établissements d’enseignement recevront un prix de 500$). Pour poser leur candidature, les étudiants doivent remplir une demande en ligne et envoyer une lettre de présentation décrivant leurs aspirations liées à la poursuite d’une carrière dans le domaine de la santé et de la sécurité.  

  • Composition sur la prévention:Choisissez un danger à haut risque en milieu de travail. Comment feriez-vous pour résoudre la situation et favoriser la sensibilisation envers ce problème?  
  • Composition technique:Procédez à des recherches sur un danger ou un risque existant ou émergent (peut comprendre comment reconnaître, évaluer et maîtriser les risques).  

Nous accepterons les candidatures jusqu’au 31 janvier 2026. Les règles relatives à la bourse, les critères des compositions et d’autres lignes directrices sont affichés sur notre site Web à : www.cchst.ca/scholarships/dmartin. Les gagnants seront annoncés au début du printemps 2026. 

Événements

« Workplace Hazards: Frighteningly Common, Easily Preventable »print this article

Ne laissez pas les dangers hanter votre lieu de travail. Inscrivez-vous à notre webinaire gratuit et agissez en faveur d’un environnement plus sûr et plus sain pour votre équipe.

Workplace Hazards: Frighteningly Common, Easily Preventable

Le mercredi 29 octobre 2025
11 h (HAE)
45 minutes

Qu’il s’agisse de glissades, de trébuchements ou de l’exposition à des produits chimiques ou à des énergies dangereuses, les risques qui se cachent dans les environnements de travail quotidiens peuvent entraîner des blessures graves s’ils ne sont pas pris en compte.

Joignez-vous au Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail (CCHST) pour prendre part à un webinaire spécial de la saison de l’effroi au cours duquel vous apprendrez des stratégies pratiques et des mesures préventives permettant d’assurer la sécurité de votre lieu de travail.

Des services d’interprétation audio en français seront disponibles.

Le nombre de places est limité. Inscrivez-vous dès aujourd’hui. Téléchargez l'affiche

Dernière parole

Séance d’information sur le Portail pour la sécurité en entrepriseprint this article

Cherchez-vous de l’information, des outils et des ressources en matière de santé et de sécurité qui sont pertinents à votre secteur d’activité et à votre région?

Le CCHST vous invite à découvrir la nouvelle version du Portail pour la sécurité en entreprise. La séance portera notamment sur la façon de créer un compte, de trouver des ressources adaptées à un secteur ou à une région et de conserver ces ressources dans un seul endroit facile à utiliser.

En ligne via Zoom
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La séance sera offerte en anglais uniquement.

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