Le rapport sur la santé et la sécuritéVol. 3, No. 7 juillet 2005

Dans les nouvelles

Plus âgés, plus sages et prêts à prendre le relais print this article

En vieillissant, notre esprit n'est plus aussi vif et notre corps n'est plus aussi fort et agile que lorsque nous étions jeunes. Étant donné le vieillissement d'un grand nombre de " baby-boomers ", la moyenne d'âge des travailleurs passera à 41 ans en 2008, alors qu'elle était de 35 ans en 1980. Ce changement signifie que les entreprises doivent s'adapter en prévoyant un environnement et des pratiques de travail qui répondent aux besoins des travailleurs vieillissants et tiennent comptent de leur santé et de leur sécurité.

Aujourd'hui, les personnes vieillissantes, en plus d'éprouver des problèmes personnels et des problèmes de santé, qui surviennent avec l'âge, sont confrontées à d'autres difficultés, notamment les responsabilités familiales croissantes lorsqu'elles s'occupent de leur famille, de leur conjoint et de leurs parents âgés.

Que se passe-t-il lorsqu'on vieillit?

Le corps change constamment. Une personne atteint sa pleine maturité physique, ou son plein développement, vers l'âge de 25 ans. Puis, après une période de relative stabilité, l'organisme commence à montrer des signes de vieillissement. La plupart de ces changements sont observés pour la première fois à l'âge de 40 ans ou de 50 ans, mais en fait ils peuvent survenir dès l'âge de 20 ou 25 ans.

En prenant de l'âge, l'amplitude des mouvements et la flexibilité vont en s'amenuisant. En général, les personnes vieillissantes peuvent trouver difficile de maintenir une bonne posture et leur équilibre. Elles ne parviennent pas à réguler leur sommeil aussi bien qu'elles le faisaient auparavant et éprouvent plus de difficultés à supporter la chaleur ou le froid. La vue et l'audition changent également. Les personnes vieillissantes peuvent travailler plus lentement et ne pas penser aussi rapidement qu'autrefois. Cependant, elles font preuve d'une plus grande rigueur dans leur travail et prennent de meilleures décisions que leurs collègues plus jeunes et plus rapides. Les travailleurs dans la quarantaine ou la cinquantaine peuvent s'acquitter des mêmes tâches que les plus jeunes, mais, pour y parvenir, ils travaillent peut-être jusqu'à la limite de leur capacité.

Par ailleurs, les études révèlent que, en règle générale, les travailleurs vieillissants sont moins enclins à changer d'emploi, font preuve d'un plus grand dévouement envers l'entreprise et adoptent des valeurs de travail positives. Ils sont moins sujets aux accidents, mais lorsqu'ils se blessent, leurs blessures sont souvent plus graves et peuvent mettre plus de temps à guérir. Étant donné ce constat, il importe de prévenir les maladies et les blessures dès le départ.

Les jeunes travailleurs subissent surtout des blessures aux yeux et aux mains, tandis que les travailleurs plus âgés, qui ont de nombreuses années de service, signalent davantage de blessures au dos. Il va sans dire qu'un milieu de travail bien conçu profite à tous. Il est toujours préférable que les postes de travail et les tâches soient adaptés aux besoins de chaque employé. Des conditions différentes pour des travailleurs différents peuvent être nécessaires pour combler les besoins de chacun, pas seulement ceux des plus âgés.

Des mesures peuvent être prises pour répondre aux besoins des travailleurs vieillissants

Pour répondre aux besoins des travailleurs vieillissants et les aider à mieux concilier leurs responsabilités au travail et à la maison, les entreprises pourraient leur offrir :


  • des horaires variables sous forme de semaines de travail réduites, comprimées ou prolongées;
  • le partage d'emploi, le travail à temps partiel et les congés autofinancés;
  • le télétravail.


Les entreprises doivent adapter l'environnement de travail pour mieux répondre aux besoins des travailleurs vieillissants et assurer leur confort en revoyant l'éclairage, le chauffage et l'ergonomie. Elles doivent également faire preuve de souplesse en réorganisant les tâches et en restructurant les emplois pour assurer leur bien-être et leur sécurité.

Il y a risque de blessures lorsqu'un travailleur, peu importe son âge, est contraint à fournir un effort de travail tel qu'il met en péril sa sécurité. Étant donné que les travailleurs vieillissants sont généralement blessés plus gravement lorsqu'un accident survient, il importe de revoir l'aménagement des postes de travail ou le régime de travail afin que ces derniers soient des plus sécuritaires. Il importe également de s'assurer qu'une personne a les capacités requises pour exécuter une tâche donnée et qu'elle peut s'en acquitter de façon sécuritaire.

On peut stimuler les intérêts et la créativité des employés en leur offrant de nombreuses expériences de travail. Les entreprises peuvent tirer profit des années d'expérience de leurs employés en les encourageant à encadrer les jeunes travailleurs ou à faciliter la formation des autres travailleurs vieillissants.

Les programmes de bien-être en milieu de travail, qui donnent accès notamment à des services d'aide aux employés, de conditionnement physique et de nutrition, sont devenus très populaires ces dernières années et leur importance augmentera à mesure que les travailleurs (et chacun de nous) vieilliront.

La main-d'œuvre vieillit. La compréhension des problèmes et des défis s'y rattachant profitera à chacun de nous. En adaptant le milieu de travail pour répondre aux besoins changeant des travailleurs vieillissants, les employeurs se doteront d'un bassin d'employés potentiellement solide, expérimenté et spécialisé, et les travailleurs disposeront d'un environnement de travail qui tiendra compte de leurs besoins et leur assurera bien-être et sécurité.




Réponses SST

SARM - La survie des mieux adaptés?print this article

SARM signifie Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline. L'infection à SARM est devenue une cause de décès de plus en plus courante au Canada depuis la première flambée de cas en 1981. Le Staphylococcus aureus (SA), parfois tout simplement appelé " staphylocoque doré " ou " S. aureus ", est une bactérie commune non nuisible qui se fixe sur la peau. Cependant, si cette bactérie pénètre dans l'organisme, elle peut causer des infections cutanées légères, telles que des furoncles ou des boutons, ou des infections graves, comme une pneumonie ou une infection du sang.

La méthicilline (un type de pénicilline) est un antibiotique couramment utilisé pour traiter les infections dues au staphylocoque doré et est très efficace dans la plupart des cas. Malheureusement, certaines souches de S. aureus ont développé une résistance à la méthicilline et ne sont plus affectées par cet antibiotique, d'où son nom Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline ou SARM. C'est la survie des mieux adaptés! Combien d'entre nous avons ignoré les conseils du médecin de toujours suivre l'antibiothérapie jusqu'à la fin, même si on se sent mieux? Lorsque nous cessons le traitement, il existe un risque que même si la plupart des bactéries ont été tuées, celles qui survivent sont probablement celles qui résistent le mieux aux antibiotiques.

SARM infecte rarement les personnes en bonne santé. Il infecte habituellement des personnes âgées ou très malades qui séjournent dans les hôpitaux, ou des personnes qui ont utilisé des antibiotiques de façon fréquente, prolongée ou assidue. Le risque d'infection est également élevé chez les utilisateurs de drogues injectables et les personnes atteintes de maladies chroniques ou dont le système immunitaire est affaibli. L'infection peut se développer dans une plaie ouverte, notamment une escarre de décubitus (plaie de lit), ou lorsqu'il y a insertion d'un tube dans le corps, par exemple, une sonde urinaire.

La peau est rouge et enflammée autour de la plaie. Dans les cas graves, les symptômes suivants peuvent être présents : fièvre, léthargie et maux de tête. SARM peut causer des infections urinaires, des pneumonies, le syndrome du choc toxique et même la mort.

En général, SARM se transmet par contact physique. Les travailleurs de la santé doivent utiliser des mesures de prévention des infections uniformisées. Ne jamais toucher du sang, des fluides organiques et des articles contaminés sans porter de gants. Les mains doivent être lavées immédiatement après avoir enlevé les gants, entre les contacts avec différents patients et entre les tâches et les interventions. On doit porter un masque, un écran facial et une blouse lors des interventions qui risquent de causer des éclaboussures ou la projection de gouttelettes de sang ou de fluides organiques. Il faut bien nettoyer, désinfecter et stériliser le matériel servant à soigner les malades, de manière à limiter la contamination. Enfin, il faut manipuler, transporter et laver la literie souillée de sang et de fluides organiques, de façon à éviter tout contact avec la peau, ainsi que la contamination des vêtements et la transmission de micro-organismes aux autres patients.

Nouvelles de nos partenariats

Partenariat pour prévenir les accidents et les maladies professionnelles dans le domaine des nanotechnologies print this article

Les bonnes choses arrivent dans des " nano-emballages ". Vous ne connaissez peut-être pas d'objets fabriqués par l'industrie des nanotechnologies - il est difficile de les remarquer parce qu'ils sont microscopiques - pourtant elle est en plein essor. Les fabricants de shorts kaki, de cravates et de chemises traitent leurs tissus avec des " nanofilaments " pour prévenir les taches. Les créateurs d'écrans solaires utilisent des nanoparticules. Ces écrans solaires absorbent le rayonnement ultraviolet plus efficacement que d'autres écrans, s'étendent plus facilement et couvrent mieux. La capacité de maîtriser ou de manipuler des structures, des dispositifs et des systèmes à l'échelle atomique est sur le point de transformer l'industrie.

Les autorités en matière de santé et de sécurité du travail gardent un œil sur ce domaine de pointe afin d'évaluer les risques éventuels pour la santé et la sécurité des travailleurs. Au Québec, l'Institut de recherche Robert-Sauvé en santé et en sécurité du travail (IRSST) s'est joint récemment à NanoQuébec, une société sans but lucratif oeuvrant à la structuration et à la planification de la nanotechnologie au Québec. Les organismes ont signé une entente de partenariat pour développer et diffuser des connaissances afin de prévenir les accidents et les maladies professionnelles dans le domaine des nanotechnologies, et ce, avant même que ces technologies aient atteint leur plein développement.

La nanotechnologie est un domaine d'étude relativement nouveau pour les experts en matière de santé et de sécurité au travail. Le National Institute of Occupational Safety and Health (NIOSH), aux États-Unis, effectue actuellement une recherche pour en savoir davantage sur les effets sur les travailleurs des industries se rapportant aux nanotechnologies.


  • Les travailleurs sont-ils exposés aux nanomatériaux (si oui, dans quelle mesure) dans la fabrication et l'utilisation de ces derniers?
  • Les nanomatériaux ont-il des effets potentiellement nocifs sur la santé des travailleurs?
  • Quels pratiques de travail, équipement de protection individuelle, mesures d'ingénierie sont offerts et quelle est leur efficacité pour réduire ou éliminer les expositions aux nanomatériaux?


Les nanomatériaux qui peuvent être ingérés, inhalés ou absorbés par la peau soulèveront vraisemblablement des questions sur les effets potentiels sur la santé. Les procédés qui rejettent dans l'air des particules nanométriques, des particules nanostructurées respirables (généralement inférieures à 4 micromètres), des gouttelettes respirables de nanomatériaux en suspension, ainsi que les solutions et les boues liquides suscitent des inquiétudes particulières en ce qui concerne les expositions potentielles par inhalation.

Les personnes qui travaillent dans des industries se rapportant aux nanotechnologies pourraient être exposées à des matériaux ouvrés uniques, de dimensions, formes et propriétés physiques et chimiques nouvelles, dont les niveaux dépassent largement les concentrations ambiantes. Cependant, il n'y a pas de données concluantes à l'heure actuelle sur la façon dont les nanoparticules ouvrées peuvent avoir une incidence sur la santé des travailleurs.

L'IRSST et NanoQuébec collaboreront dans un premier temps à la rédaction d'un guide de bonnes pratiques. Ils envisagent également d'effectuer une revue de la littérature sur les risques pour la santé et la sécurité, et de mettre sur pied un mécanisme de vigie stratégique concernant les nanomatériaux. L'entente prévoit également la diffusion de ces connaissances auprès des entreprises, des chercheurs et autres intervenants concernés par le développement d'applications en nanotechnologie.


Alertes au danger

Éclatement de pneus et peur des oursprint this article

Des incidents récents dans deux milieux de travail ont mis à jour deux risques professionnels réels. Les autorités en matière de santé et de sécurité au travail demandent aux travailleurs canadiens de prendre garde aux ours et aux pneus, qui peuvent éclater.

Ours

Ce ne sont pas tous les travailleurs qui doivent se protéger contre des quadrupèdes, mais ceux qui travaillent en pleine nature se doivent de connaître les risques qu'ils courent en présence d'animaux sauvages. L'an dernier, trois travailleurs d'une mine située dans les Territoires du Nord-Ouest se sont fait attaquer par un grizzly. Un d'entre eux a été blessé gravement et son état a nécessité des soins médicaux prolongés.

La Commission des accidents du travail des Territoires du Nord-Ouest et Nunavut a diffusé un avis de danger pour prévenir tous les travailleurs et les employeurs que les ours peuvent représenter un risque professionnel important. Les grizzlys et les ours noirs fréquentent les mines et les sites d'exploration situés dans les T.-N.-O. et le Nunavut. On trouve habituellement les ours polaires sur les côtes et dans le Grand Nord.

Dans toutes les régions du Canada, les employeurs, quel que soit leur secteur d'activités, doivent prendre toutes les précautions ainsi que toutes les techniques et mesures raisonnables pour assurer la santé et la sécurité de toutes les personnes se trouvant sur les lieux de travail. Cette directive vise également les milieux de travail où des travailleurs risquent de se trouver en présence d'un ours. Dans les Territoires du Nord-Ouest, le Règlement sur la santé et la sécurité dans les mines exige que les employeurs assurent la sécurité des travailleurs en élaborant et en mettant en œuvre un programme de sécurité concernant les ours. On peut communiquer avec la division sécurité de la Commission des accidents du travail pour obtenir de plus amples renseignements sur les ours, sur la façon de les éviter ou de les maîtriser, sur la façon de survivre à leur attaque, et sur des directives concernant la sécurité dans les camps.

Éclatement de pneus

L'Alberta Forest Products Association a diffusé un avis de danger à la suite d'un incident qui a causé des dommages à la propriété et au cours duquel un travailleur aurait pu être gravement blessé s'il s'était trouvé sur place à ce moment-là.

Au cours d'une inspection prévue de sécurité après mission, le conducteur d'un grumier a remarqué la présence d'une hernie sur un des pneus. Après avoir inspecté le pneu, un mécanicien de machinerie lourde a décidé de le remplacer par un pneu en bon état. Une fois le travail terminé, le pneu endommagé, monté sur jante, a été roulé jusqu'à l'atelier voisin, près de la zone de réparation des pneus, puis déposé par terre, du côté de la hernie.

Le pneu déposé sur le plancher a éclaté et fracassé un ensemble de deux tubes fluorescents situé à 10 pieds au-dessus du sol, et a déblayé les outils et les pièces d'un établi voisin. Heureusement, aucun travailleur ne se trouvait sur les lieux.

Une enquête a révélé que la hernie de 4 po sur 2 po, sur le flanc du pneu, ainsi que des procédures inadéquates étaient à l'origine de l'incident. L'enquête a révélé également les faits suivants : une doublure avait été placée sur le flanc intérieur du pneu rechapé; la zone de réparation où le pneu a été déposé, côté hernie, est chauffée par rayonnement à partir du plancher; la température extérieure au moment de l'éclatement était d'environ -15 °C.

Lorsque la pression d'un pneu est d'environ 100 lb/po2 (comme le pneu dont il est question ici) et que l'air dans le pneu est chaud, l'air se dilate, augmentant davantage la pression dans le pneu. Si le pneu est chauffé à une température de 20 °C, la pression dans le pneu peut atteindre jusqu'à 112,5 lb/po2.

Pour prévenir l'éclatement des pneus, l'Alberta Forest Products Association recommande que les employés suivent une formation et soient accrédités pour réparer et entretenir les pneus, les jantes et les pièces d'assemblage. Ces derniers doivent porter un équipement de protection individuelle et éviter de se tenir directement à la sortie de l'échappement de l'air. Avant d'enlever un pneu d'un véhicule, on doit le dégonfler en enlevant l'obus de valve et en laissant échapper l'air par la tige. Le pneu doit être rendu inutilisable une fois qu'il a été démonté.



Nouvelles du CCHST

Ressources en santé et en sécurité pour les ressources humaines print this article

Qu'est-ce qui vous vient immédiatement à l'esprit quand vous pensez aux ressources humaines, aussi appelées RH?

Pour beaucoup d'entre nous, les RH sont associées à l'embauche, aux congédiements et à la paie. Mais pour certains professionnels des ressources humaines, ces responsabilités ne représentent que la pointe de l'iceberg de leur travail. Les dossiers et responsabilités qui leur incombent sont variés et souvent complexes. Ils peuvent inclure beaucoup d'éléments, de l'élaboration de politiques pour le milieu de travail au perfectionnement des aptitudes de leurs employés en passant par la mise en place de programmes pour protéger la santé et la sécurité de ces personnes au travail.

Les gestionnaires, spécialistes et coordonnateurs de ressources humaines bénéficient, à ce sujet, d'un point d'observation unique dans l'organisation. Ils connaissent le milieu de travail, les employés et les exigences de leur emploi. Bien qu'on ne s'attende pas toujours à ce qu'ils connaissent les aspects techniques de la santé et de la sécurité au travail, ils ont un rôle important à jouer dans la mise en oeuvre et l'application de politiques et de programmes de santé et de sécurité en milieu de travail. Afin d'accomplir leurs tâches en matière de santé et de sécurité, les membres du personnel des ressources humaines doivent :


  • comprendre les responsabilités en matière de santé et de sécurité des employeurs, des gestionnaires, des superviseurs et des employés de l'organisation;

  • mettre en oeuvre et appliquer des politiques de gestion des ressources humaines pour faire en sorte que toutes les personnes du milieu de travail connaissent leurs responsabilités;

  • établir des moyens efficaces pour assumer les responsabilités en matière de santé et de sécurité;

  • faire en sorte que les employeurs, les gestionnaires, les superviseurs et les employés accomplissent leurs tâches en matière de santé et de sécurité, telles que décrites dans les politiques et programmes de l'organisation.


L'aide est là!

Le Health and Safety Guide for Human Resources Professionals, publié par le CCHST, est un guide en format de poche essentiel, rempli de renseignements pratiques. Écrit dans une langue simple, non technique, le guide de 150 pages est conçu pour aider les professionnels des ressources humaines à accomplir efficacement, et en conformité avec les lois sur la santé et la sécurité applicables, leurs tâches en matière de santé et de sécurité au travail.

Le guide couvre tous les aspects de l'intégration de la santé et de la sécurité au travail dans les pratiques de gestion des ressources humaines, dont :

  • prévenir les blessures et maladies liées au travail;

  • favoriser une culture de sécurité au travail où les employés et leurs superviseurs travaillent de concert;

  • établir des procédures administratives qui encouragent les employés à dénoncer les conditions et les pratiques dangereuses sans crainte de représailles;

  • s'assurer que les politiques et procédures en santé et sécurité sont conformes aux lois applicables en matière de santé et de sécurité et aux pratiques exemplaires acceptées dans des organisations semblables;

  • établir des procédures visant l'application des règles de sécurité de l'entreprise;

  • tenir des dossiers sur les blessures, les maladies ainsi que sur les indemnités versées aux employés;

  • coordonner la formation en soins d'urgences et la prestation d'aide d'urgence aux employés;

  • conseiller les employeurs et les employés en matière de santé et de sécurité au travail.


Vous avez une idée pour un nouveau guide?

Le CCHST est toujours à la recherche d'idées pour de nouveaux guides qui répondent aux besoins des Canadiennes et des Canadiens que nous servons. Si vous avez une idée concernant un sujet qui pourrait vous aider à satisfaire vos besoins en matière de santé et de sécurité, n'hésitez pas à en faire part à notre Service à la clientèle. Courriel : serviceclientele@cchst.ca




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