Le rapport sur la santé et la sécuritéVol. 5, No. 5 mai 2007

Dans les nouvelles

Un emploi d'été devrait ouvrir les portes de l'avenir, et non les fermerprint this article

Le fait d'acquérir de l'expérience de travail à un jeune âge constitue une bonne façon de commencer sa carrière avec une longueur d'avance. Si les jeunes travailleurs se concentrent exclusivement sur l'apprentissage des compétences liées à un nouvel emploi et sur le fait de faire bonne impression, alors la sécurité passe par-dessus bord.

En 2005, 60 travailleurs canadiens de 15 à 24 ans ont été blessés mortellement à cause de dangers présents sur le lieu de travail. De plus, 52 920 jeunes travailleurs ont été blessés au travail. Chacune de ces personnes représente un être aimé. Un fils est mort écrasé entre un panneau de chalut et le rouleau principal de la poupe d'un bateau de pêche sur lequel il travaillait. La famille d'un jeune travailleur de la construction est dans le deuil à la suite de la chute de ce dernier. Celui-ci est tombé sur le sol d'une plate-forme de 20 pieds, par un trou qui était partiellement recouvert de contreplaqué.

Entrer sur le marché du travail est attrayant pour les jeunes travailleurs qui seront confrontés à un environnement inconnu, à de nouvelles personnes, à de nouvelles règles et à des risques inconnus jusqu'alors. La relation employé-employeur est nouvelle et peut-être intimidante. En tant qu'adultes, il est de notre responsabilité de s'assurer que les jeunes pensent à leur sécurité et qu'ils agissent en tant que tel.

Le rôle des parents

Il incombe aux parents de discuter avec leurs enfants des risques professionnels, tout comme ils l'ont fait pour leur apprendre à traverser la rue en toute sécurité. Il faut encourager les jeunes à penser aux risques éventuels sur un lieu de travail, tels que les machines sans garde de protection, les produits chimiques, les outils, le travail seul, le travail en hauteur et tout autre risque lié à leur travail.

Les parents doivent discuter avec leurs enfants du travail. Ils doivent s'informer au sujet des tâches que leurs enfants effectuent; de la formation reçue; et de l'équipement, des outils ou des produits chimiques avec lesquels ils travaillent et les moyens de protection. Ils doivent demander à leurs enfants si leur superviseur les informe régulièrement des moyens permettant d'éviter toute blessure.

Les parents doivent parler avec leurs enfants de leurs droits et de leurs responsabilités en matière de sécurité au travail, ainsi que des responsabilités de leurs superviseurs et de leurs employeurs. En particulier, les jeunes travailleurs doivent savoir qu'ils ont un droit légal d'être informés des risques professionnels auxquels ils sont exposés et des manières de se protéger; un droit de participer aux activités qui amélioreront leurs conditions de travail; et un droit de refuser d'effectuer un travail dangereux. Il faut dire à ses enfants de signaler immédiatement toute blessure ou maladie à leur superviseur - quelle que soit sa gravité.

Le rôle des employeurs

Les employeurs doivent s'assurer que des mesures et des procédures de sécurité sont en place et que les employés les respectent en tout temps afin de protéger les travailleurs. Ils doivent s'assurer que l'équipement, le matériel et les dispositifs de protection satisfont aux exigences énoncées dans la législation en matière de santé et de sécurité, et que les jeunes travailleurs ont reçu une formation sur ces mesures de protection et qu'ils les utilisent en tout temps. Il faut inciter les travailleurs, en particulier les jeunes, à signaler immédiatement à leur superviseur tout risque qui pourrait compromettre leur sécurité. De plus, l'employeur doit prendre des mesures rapidement pour régler les préoccupations de santé et de sécurité lorsqu'elles lui sont signalées.

L'embauche d'un jeune travailleur signifie qu'il faut prendre le temps d'offrir une formation poussée sur la sécurité qui est adaptée aux tâches, et qu'il faut déclarer que la sécurité est plus importante que la productivité. Lorsqu'il est manifeste qu'un patron se soucie de la sécurité, un jeune travailleur risque moins d'exécuter à toute allure une tâche et de négliger la sécurité dans le seul but de faire une bonne impression.

Vous pouvez contribuer à créer une génération proactive en matière de sécurité de jeunes travailleurs! Il existe beaucoup d'information de qualité sur les mesures permettant d'assurer la protection des jeunes travailleurs sur Internet.

Réponses SST

Être minutieux, un gage de sécuritéprint this article

La prévention des blessures et des maladies professionnelles comprend une étape importante : l'inspection des lieux de travail pour déceler les risques cachés ou quelquefois évidents. L'inspection des lieux de travail ne consiste pas seulement à regarder autour de soi. Il faut également écouter les préoccupations des gens, bien comprendre les emplois et les tâches, déterminer les causes sous?jacentes des dangers, faire le suivi des mesures et recommander des mesures correctives.

Des inspections des lieux de travail régulières et minutieuses effectuées par une équipe qualifiée et spécialisée peut faire la différence entre un environnement de travail dangereux et un milieu de travail sans blessure. L'inspection des lieux de travail comporte plusieurs étapes importantes. Le site Web des Réponses SST du Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail (CCHST) contient de l'information détaillée et complète à ce sujet.

Comment planifier une inspection des lieux de travail - Il s'agit de planifier quels aspects du lieu de travail il faut examiner (notamment qui, quoi, où, quand et comment) et quel équipement risque le plus de devenir dangereux ou nocif pour la santé en raison des contraintes, de l'usure, des impacts, des vibrations, de la chaleur, de la corrosion, des réactions chimiques ou d'une mauvaise utilisation. Il faut inspecter les lieux de travail où des tâches ne sont pas accomplies régulièrement, comme les stationnements, les aires de repos, les lieux d'entreposage des bureaux et les vestiaires. La planification exige un examen minutieux de l'environnement de travail, de l'équipement et des procédés.

Risques à déceler - Les inspecteurs doivent savoir en quoi consistent les risques biologiques (p. ex. moisissure), les risques chimiques (p. ex. produits nettoyants, adhésifs, peintures), les risques liés à l'ergonomie (p. ex. postes informatisés), les risques liés à la sécurité (p. ex. trébuchement et chute) et les risques physiques (p. ex. bruit, rayonnement) et savoir où les trouver.

Rédaction d'un rapport d'inspection - Cette étape demande des efforts et du temps. Les inspecteurs auront besoin d'un schéma de l'aire de travail, d'un inventaire complet de l'équipement, d'un inventaire des produits chimiques, ainsi que d'autres listes de vérification et de rapports.

Calendrier des inspections - Chaque lieu de travail devrait se doter d'un calendrier précisant la date des inspections, les endroits à inspecter, les inspecteurs et le niveau de détail des inspections.

Exécution d'une inspection - Les inspecteurs doivent porter l'équipement de protection individuelle (EPI) au besoin. Lorsqu'ils détectent un danger immédiat, ils peuvent devoir couper la source d'alimentation et cadenasser l'équipement dangereux qui ne peut pas fonctionner sans danger jusqu'à ce qu'il soit réparé. Ils mettront en évidence les éléments prioritaires qui présentent un danger immédiat pour les travailleurs. Les Réponses SST contiennent des conseils détaillés portant sur l'inspection des lieux de travail.

Contenu du rapport d'inspection final - Un rapport d'inspection permet de mettre en œuvre la prochaine étape : adopter des mesures correctives. Le rapport contient tous les points non réglés du rapport précédent, toutes les nouvelles conditions dangereuses observées et les recommandations en matière de sécurité. Le rapport précise l'emplacement exact de chaque danger et une description détaillée des problèmes, et des mesures à prendre. Il vise à informer la direction des problèmes d'une manière concise et factuelle.

Suivi - Une fois l'inspection terminée, il reste du travail à faire. Une équipe spécialisée en matière de santé et de sécurité examine régulièrement l'information recueillie afin d'identifier les mesures correctives nécessaires. Examiner les rapports d'inspection constitue une bonne manière de relever des tendances et de bien déterminer les forces et les faiblesses en santé et en sécurité d'une organisation particulière.

Bonnes inspections des lieux de travail!

Alertes au danger

Pentes et étincelles - Mesures de protection contre les dangers imprévisiblesprint this article

Au milieu d'une petite pente, vous entendez des grincements horribles provenant de sous le capot de votre camion. Vous laissez le moteur tourner, ouvrez la porte…. Arrêtez tout de suite! Vous ne devriez pas sortir pour vérifier la provenance du problème et vous ne devriez certainement pas marcher devant votre camion.

Ne pensez même pas à ouvrir le capot et à tenter de trouver la cause du problème. À la place, pensez aux trois incidents distincts survenus récemment en Colombie-Britannique où trois travailleurs ont été happés mortellement par leur propre véhicule après être sortis de la cabine pour diagnostiquer une panne ou effectuer des réparations. Comme vous, ils avaient laissé tourner le moteur de leur camion sans avoir appliqué le frein à main. Comme vous, ils étaient stationnés sur une rue en pente.

Worksafe BC a publié une alerte au danger pour rappeler les pratiques sécuritaires de travail. Les camions sont lourds. Les roues roulent. Gardez toujours ces faits élémentaires à l'esprit. Lorsque vous tentez de diagnostiquer une panne, d'effectuer des travaux d'entretien ou de réparation, le système de freinage de votre véhicule ne suffit pas à vous protéger ainsi que les autres personnes à proximité. Éteignez le moteur, mettez le levier de vitesse en première ou à " park ", et/ou insérez des cales sous les roues. Appliquez le frein de stationnement sur le tracteur et la remorque avant de sortir du camion; le robinet de freinage à main se relâche quelquefois, il ne faut donc pas se fier uniquement à ce dispositif.

Inspectez les freins au début de votre quart de travail au cours de l'inspection avant le départ et au besoin. Lorsque cela est possible, stationnez le véhicule sur un terrain plat et insérez des cales sous les roues.

Le risque posé par un camion en mouvement est très différent de celui présenté par une accumulation de charbon pulvérisé dans une usine de ciment. Toutefois, la règle est la même : pensez plus loin que ce qui semble immobile et essayez toujours d'anticiper les dangers imprévisibles.

Sur un sujet complètement différent, le United States Department of Labor, Mining Safety and Health Administration (MSHA), a récemment publié une alerte concernant les explosions de carburant dans les usines de ciment et a proposé des meilleures pratiques d'exploitation en vue de prévenir les blessures futures.

Dans l'industrie minière métallique et non métallique, les explosions de carburant ne sont pas rares. Dans l'industrie du ciment, 80 % de ces explosions surviennent au cours de la manipulation, de la préparation et de l'allumage du charbon. Aux États-Unis, on dénombre 36 explosions de carburant dans l'industrie du ciment depuis 2001. D'innombrables travailleurs ont souffert de blessures mineures ou s'en sont échappés de peu, et sept personnes ont été brûlées grièvement ou ont inhalé des flammes ou des gaz surchauffés.

À chaque endroit où l'on trouve de la poussière de charbon, notamment les pulvérisateurs de charbon, les dépoussiéreurs, les cyclones, les fours, les conduits de transport et les conduits, il existe un risque d'explosion. Au cours du processus de fabrication du ciment, le charbon est habituellement rendu inerte au moyen d'un gaz tel que l'azote, pour ne pas qu'il réagisse, s'enflamme et explose. Toutefois, des problèmes surviennent quelquefois au cours du démarrage ou de l'arrêt du système, ou lorsque le système d'inertage est défectueux. L'inflammation peut être causée par des morceaux de métal qui sont alimentés dans les broyeurs de charbon, ce qui génère des étincelles, ou par de l'électricité statique ou d'autres sources.

Les travailleurs du ciment doivent savoir qu'il existe un risque d'explosion et doivent s'assurer que les systèmes de charbon sont conçus pour comprendre des silos de stockage à écoulement en masse; des conduits et des canalisations en pente pour prévenir les accumulations de charbon; des capteurs pour détecter le charbon couvant; un système de ventilation approprié; un système d'extinction des incendies et d'autres mesures de sécurité.

Lorsqu'on travaille avec de la poussière de charbon, les pratiques sécuritaires de travail comprennent de garder une basse température à la sortie du broyeur, d'éviter les redémarrages des systèmes chauds, de refroidir le système avant de l'ouvrir pour une inspection ou des travaux d'entretien, de réparer les fuites, de nettoyer les déversements, et de porter l'EPI lors des diagnostics de panne. Tout le personnel d'exploitation, d'entretien et de soutien doit suivre une formation sur les risques associés à l'allumage du charbon et sur les meilleures pratiques.

Nouvelles de nos partenariats

Fini, le vacarme!print this article

Dans des installations industrielles en Ontario, les limites d'exposition au bruit passeront de 90 dBA pour une période de huit heures à une moyenne pondérée dans le temps de 85 dBA à partir du 1er juillet 2007. La Gazette de l'Ontario I (numéro du 30 décembre 2006) présente ces changements, qui modifient l'article 139 du Industrial Establishments Regulation (Règlement 851) pris en vertu de la Loi sur la santé et la sécurité au travail.

C'est de la musique aux oreilles des travailleurs. Ce changement représente la première actualisation importante des limites de bruit depuis leur entrée en vigueur il y a 30 ans. Il comprend une nouvelle méthode d'estimation moyenne pondérée dans le temps qui permet de déterminer avec plus de précision le niveau de bruit auxquels les travailleurs sont exposés.

Les travailleurs qui sont exposés à des niveaux élevés de bruit provenant de la machinerie et d'autres sources risquent de souffrir d'une perte auditive et d'autres effets indésirables, tels que le stress physique et psychologique, qui réduisent leur productivité et compromettent leur sécurité. Les environnements bruyants peuvent contribuer aux incidents et aux blessures étant donné qu'il est difficile pour les travailleurs d'entendre les signaux d'avertissement. La gravité des dommages passe quelquefois inaperçue pendant un certain temps, puisque la perte auditive n'est pas un état douloureux, mais un problème " silencieux " qui se manifeste graduellement. Toutefois, une fois les dommages causés, la perte auditive est permanente.

Une exposition quotidienne plus faible au bruit contribue à prévenir la perte auditive. Les changements apportés aux limites d'exposition au bruit de l'Ontario réduisent la limite de 90 dBA à 85 dBA, avec un facteur de bissection de 3 dB, et permettent de mesurer avec plus de précision l'exposition au bruit pendant une période de huit heures.

Selon la Commission de la sécurité professionnelle et de l'assurance contre les accidents du travail (CSPAAT), la perte d'audition causée par une exposition à des niveaux élevés de bruit au travail a occasionné des coûts d'indemnisation estimés à 100 millions de dollars pour les entreprises entre 1995 et 2004. Il s'agit d'une maladie professionnelle grave.

Les limites d'exposition au bruit s'appliqueront à tous les lieux de travail en Ontario visés par le Regulations for Industrial Establishments et le Regulations for Offshore Oil and Gas Operators. D'autres secteurs industriels, tels que les secteurs des mines et de la construction, n'ont pas établis de limites d'exposition au bruit. Cependant, les employeurs doivent toujours prendre toutes les précautions raisonnables pour protéger la santé et la sécurité des travailleurs.

Onze provinces/territoires au Canada ont fixé leur limite de bruit à 85 dBA, et la plupart utilisent un facteur de bissection de 3 dB, ce qui signifie que la durée d'exposition permise au travail est réduite de moitié lorsque le niveau de bruit augmente de 3 dB(A). De plus, huit provinces/territoires ont adopté une valeur plafond.

Les nouvelles modifications en Ontario sont le fruit d'une consultation entre des associations de l'industrie, des syndicats, des partenaires en santé et sécurité (y compris des associations liées à l'ouïe), les médias et les membres de l'équipe de surveillance du ministère du Travail. La Société canadienne de l'ouïe soutient les modifications apportées.

Nouvelles du CCHST

Urgences et légalités - dernières suggestions du CCHST sur les cours en ligneprint this article

Le CCHST a le vent dans les voiles! L'éventail de cours en ligne sur la santé et la sécurité profite d'une grande popularité et les gens en redemandent. Quiconque possède un ordinateur et a accès à Internet peut apprendre à son propre rythme, dans son propre environnement, grâce à ces cours en ligne passés en revue par des experts des gouvernements, des employeurs et des syndicats. Voici les derniers cours en ligne du CCHST, offerts dans le même format que les cours précédents et dont l'information est fiable à jour :

Code canadien du travail, Partie II : un aperçu

Les employés qui travaillent pour une entreprise ou un organisme de compétence fédérale obtiendront une compréhension de base des exigences du Code et de leur application sur le lieu de travail. Ce cours d'une heure contient des études de cas et d'autres exemples, qui illustrent les concepts. Il s'agit d'un point de départ utile pour toute personne qui suivra une formation plus poussée sur les comités de santé et de sécurité, le SIMDUT et d'autres sujets en matière de santé et de sécurité au travail.

Ce cours en ligne présente le système de responsabilité interne, ainsi que les droits et les responsabilités des gestionnaires, des superviseurs, des employés et des membres des comités de santé et de sécurité au travail. Il vise à aider les participants à relever et à maîtriser les risques professionnels, à résoudre les plaintes et les refus de travailler, et à mener des enquêtes sur les accidents.

Préparatifs d'urgence à l'intention des travailleurs

Ce cours en ligne d'une heure permettra aux travailleurs d'apprendre à prévoir des préparatifs et à intervenir en cas d'urgence au travail. Il aborde les droits et les responsabilités des employeurs et des travailleurs, et la manière de déceler des urgences potentielles, de mettre en branle l'intervention et de procéder à l'évacuation, de même que d'autres renseignements sur la planification d'urgence, l'intervention et la formation.

Le cours Préparatifs d'urgence à l'intention des travailleurs s'adresse à tous ceux qui travaillent avec un plan d'intervention d'urgence sur leur lieu de travail. Les membres des comités de santé et de sécurité au travail qui proposent des recommandations informées pour leur plan d'intervention d'urgence profiteront également de ce cours en ligne.

Planification des interventions d'urgence

Se préparer en cas d'urgence protège des vies, les biens et le futur de l'organisation. Ce cours d'initiation traite d'une partie essentielle d'un programme de santé et de sécurité au travail de l'entreprise.

Les participants à ce cours d'une heure recevront des conseils sur l'élaboration et la mise en œuvre d'un plan d'intervention d'urgence au travail, qui peut comprendre les urgences survenant à l'extérieur des lieux de travail qui influent sur le personnel de l'organisation. Le cours aborde également la manière d'identifier et d'évaluer les urgences potentielles et la manière dont pourraient intervenir les organisations.

Les sujets abordés englobent les étapes clés concernant les préparatifs d'urgence; la création de l'équipe de planification; l'identification des urgences potentielles et l'évaluation des risques; l'évaluation des capacités d'intervention en cas d'urgence de l'organisation; l'élaboration d'un plan d'intervention d'urgence; la mise en œuvre du plan; la préparation avant l'intervention; et l'évaluation de l'efficacité et des améliorations continues.

Le cours n'aborde pas les urgences dans la communauté (planification en cas de pandémie) qui ne sont pas directement associées au travail.

Le cours en ligne Planification des interventions d'urgence s'adresse à toute personne ayant la responsabilité d'élaborer, de mettre en œuvre et de tenir à jour des plans d'intervention d'urgence; aux gestionnaires et aux administrateurs; aux membres des comités de santé et de sécurité au travail; et aux superviseurs.

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