Le rapport sur la santé et la sécuritéVol. 6, No. 9 septembre 2008

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AS et la conduite automobile ne font pas bon ménageprint this article

Le sommeil est essentiel à la survie humaine. Que se passe-t'il lorsqu'on manque de sommeil? Posez la question à quiconque souffre d'apnée du sommeil, trouble caractérisé par un bref arrêt périodique de la respiration pendant le sommeil, ce qui rend impossible un sommeil réparateur.

Il arrive souvent que ce trouble menaçant le pronostic vital passe inaperçu et ne soit pas diagnostiqué. La somnolence, principal symptôme de l'apnée du sommeil, altère la capacité d'une personne de fonctionner efficacement à la maison, au travail et dans la communauté; elle met aussi en péril la santé et la sécurité de la personne atteinte et des autres.

Facteurs de risque de l'apnée obstructive du sommeil

L'apnée obstructive du sommeil (AOS) est un trouble du sommeil associé à de brèves interruptions de la respiration pendant le sommeil. Les tissus mous situés à l'arrière de la gorge s'affaissent brièvement et bloquent les voies respiratoires. L'obstruction peut aussi être causée par un relâchement des muscles de la gorge, l'étroitesse des voies respiratoires, la grande taille de la langue ou un excès de tissu adipeux à l'intérieur de la gorge. Ces pauses respiratoires peuvent durer de 10 à 30 secondes et survenir jusqu'à 400 fois par nuit. À chaque pause, le cerveau réveille brièvement le sujet afin de reprendre la respiration, ce qui entraîne un sommeil saccadé de piètre qualité.

L'obésité est un important facteur de risque d'apnée du sommeil, c'est pourquoi un bon contrôle du poids corporel est l'un des meilleurs moyens de prévenir ce problème. L'apnée du sommeil a également été associée à certains emplois qui entraînent une perturbation de la structure du sommeil. Ainsi, selon la National Sleep Foundation, les personnes qui travaillent par quarts risquent deux fois plus de souffrir d'apnée du sommeil que celles qui ont un horaire normal de travail (de 9 à 5). Des recherches indiquent en outre que l'AOS est plus répandue chez les conducteurs de véhicules à moteur commerciaux.

Parmi les autres facteurs de risque, citons des antécédents familiaux d'apnée du sommeil, le tabagisme et la consommation d'alcool et le fait d'être âgé de 40 ans et plus. Certaines caractéristiques, telles que des voies respiratoires supérieures étroites, un menton fuyant, une mâchoire étroite, une surocclusion importante ou un périmètre accru du cou, peuvent aussi être liées à l'apnée du sommeil.

Risques pour la santé et la sécurité

Si elle n'est pas traitée, l'apnée du sommeil, en particulier l'apnée obstructive du sommeil (AOS), peut menacer sérieusement la santé et la sécurité. Les personnes souffrant d'apnée du sommeil peuvent présenter des problèmes de santé, notamment : hypertension artérielle, accident vasculaire cérébral, cardiopathie ischémique (diminution de l'apport sanguin et, par conséquent, de l'apport en oxygène au muscle cardiaque), arythmie cardiaque et troubles de l'humeur.

Elles courent en outre un risque accru d'être victimes d'un accident de véhicule à moteur ou d'un autre type d'accident lié à la fatigue. Les hommes et les femmes souffrant d'une forme modérée ou grave d'AOS sont sept fois plus sujets aux collisions de la route ou aux accidents de travail provoqués par la somnolence diurne. La vigilance est essentielle à la sécurité de toute personne qui utilise au travail des matières ou des appareils dangereux. En fait, si vous souffrez d'apnée du sommeil et ne recevez aucun traitement, vous ne devriez probablement pas conduire un véhicule automobile.

Symptômes et traitement

Il n'est pas facile de reconnaître que l'on souffre d'apnée du sommeil. Si vous vivez avec quelqu'un, cette personne peut vous aider à reconnaître les signes de l'apnée du sommeil : elle a peut-être été témoin de vos ronflements bruyants, accompagnés de périodes d'apnée, de respiration haletante ou de suffocation pendant votre sommeil. Soyez également à l'affût d'autres signes, dont les suivants : présence de maux de tête ou de nausées le matin, baisse de la libido, impuissance, somnolence diurne excessive, somnolence au volant, irritabilité ou état dépressif, sommeil non réparateur, hypertension artérielle, troubles de la concentration et de la mémoire, levers fréquents pendant la nuit pour aller aux toilettes et douleurs thoraciques nocturnes.

Si vous présentez au moins deux de ces symptômes, votre médecin pourrait vous recommander de passer une nuit dans une clinique du sommeil afin d'y subir des tests. Selon la gravité du trouble, il y existe trois niveaux de traitement de l'apnée du sommeil.

Chez les patients souffrant d'une forme légère à modérée d'apnée du sommeil et présentant des symptômes diurnes bénins, les appareils dentaires qui aident à ouvrir les voies respiratoires en exerçant une pression vers l'avant sur la mâchoire inférieure ou en empêchant la langue de tomber vers l'arrière et d'obstruer la trachée peuvent s'avérer un traitement efficace.

La ventilation spontanée avec pression expiratoire positive (VSPEP) constitue, pour l'instant, le traitement de choix pour les formes modérées à graves d'apnée du sommeil. Le patient porte un masque branché à une pompe, laquelle fait doucement pénétrer l'air ambiant dans les conduits nasaux avec une pression suffisamment élevée pour garder les voies respiratoires ouvertes et empêcher le ronflement et les pauses respiratoires (apnée). Cette technique permet de traiter, mais non de guérir l'apnée du sommeil et elle n'agit que pendant son utilisation.

On peut aussi envisager une chirurgie correctrice chez les patients qui ont essayé, sans succès, la VSPEP ou les appareils buccaux. La chirurgie vise à ouvrir les voies aériennes suffisamment pour éliminer ou réduire les obstructions, et elle peut comprendre une plastie de la luette, du palais ou de la mâchoire.

Si vous pensez souffrir d'apnée du sommeil, ne perdez pas une minute de sommeil de plus et consultez sans tarder un médecin pour obtenir un diagnostic et un traitement. Entre?temps, limitez certaines activités comme conduire une auto ou faire fonctionner des machines dangereuses.

Nouvelles de nos partenariats

Octobre est le Mois national de la santé au travail au Canadaprint this article

De retour pour une huitième année consécutive, la Semaine nationale de la santé au travail sera dorénavant célébrée pendant un mois au Canada. Le Mois national de la santé au travail au Canada encourage les employeurs et les employés à collaborer pour améliorer la santé au travail et bâtir une culture fondée sur la confiance et le respect, où les employés sont heureux et en santé, et veulent venir travailler. Du 29 septembre au 26 octobre, vous et votre organisation êtes invités à participer aux nombreuses activités proposées et à relever le Défi de créer un lieu de travail sain - un concours amusant où vous disputerez une lutte amicale contre d'autres participants au Canada.

Pourquoi participer? Tout simplement parce que tout le monde en profite lorsque le milieu de travail est en santé. Lorsque les systèmes de santé au travail assurent un appui sur les plans physique, social, personnel et professionnel, les travailleurs se sentent davantage respectés, valorisés et satisfaits, ce qui se traduit souvent par des employés plus productifs et plus consciencieux. Si le milieu de travail est stressant ou malsain, ou encore s'il n'est pas sécuritaire, les employés tout comme l'organisation en souffrent.

Le Mois national de la santé au travail au Canada est présenté par La Great-West, compagnie d'assurance-vie, et géré par l'Institut national de la qualité (INQ), en collaboration avec le Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail (CCHST). GoodLife Fitness est le fournisseur officiel de produits et services de santé.

Inscrivez-vous au webinaire gratuit

Suivez ensemble dans vos salles de réunion la présentation d'une heure Journey to a Healthier Workplace, webinaire gratuit offert par le CCHST. Joignez-vous à Karen Jackson du Trillium Health Centre et à Allan Smofsky, président du Conseil canadien pour un milieu de travail sain. Apprenez l'historique de la santé au travail : ce qui a débuté comme une simple initiative fait désormais partie de la vie quotidienne au Trillium Health Centre de Mississauga. Découvrez à quelles stratégies vous pouvez recourir et quelles mesures vous pouvez prendre pour contribuer à bâtir chez vous une culture de la santé au travail.

Cette présentation d'une heure sera diffusée en direct sur le Web le mardi 21 octobre à 13 h, HAE. Si vous la manquez, vous pouvez visionner l'enregistrement en tout temps.

Réservez dès maintenant votre place au webinaire.

Lancez un défi à votre lieu de travail

Relevez le Défi de créer un lieu de travail sain


Motivez vos collègues et aidez-les à être en meilleure santé. Chaque semaine, le Défi souligne un aspect différent de la santé au travail. Voyez comment votre organisation se mesure à ses concurrents ailleurs au Canada.



  • Semaine 1 : Se maintenir en forme au travail - Encouragez vos employés à accroître leur niveau d'activité physique.

  • Semaine 2 : Une culture saine au travail - Évaluez la culture de votre milieu de travail.

  • Semaine 3 : Vert au travail - À quel point votre organisation est-elle écologique?

  • Semaine 4 : Maintenez le rythme pendant toute l'année - Racontez une histoire, procédez à une évaluation et continuez sur votre lancée.


" Nous espérons que les employeurs et les employés tireront parti des défis et des activités que nous proposerons chaque semaine du Mois, déclare Allan Ebedes, PDG de l'Institut national de la qualité, partenaire pour le Mois national de la santé au travail au Canada. Nous espérons que, en voyant la joie et le bien-être éprouvés par leurs employés pendant ce mois, les employeurs seront portés à poursuivre leur politique de santé au travail durant le reste de l'année. "

Pour en savoir plus long sur le Défi de créer un lieu de travail sain et pour vous inscrire dès maintenant, visitez le site www.moissanteautravail.ca/

Réponses SST

Des doigts complètement déformés? print this article

Connaissez-vous cette rare maladie des mains

Pour des raisons que l'on s'explique mal, cette affection de la main qui entraîne la flexion et l'immobilisation des doigts contre la paume apparaît au fil du temps chez certaines personnes. Bien que l'annulaire et l'auriculaire soient les doigts les plus souvent atteints, cette affection peut toucher n'importe quel autre doigt ou s'étendre à toute la main.

La maladie de Dupuytren (prononcer du-puits-train) progresse lentement et généralement sans douleur. Cette affection apparaît lorsque les tissus sous-cutanés de la paume épaississent, et forment des nodules et des bandes fibreuses. Ces bandes de tissus peuvent alors raccourcir et entraîner une contracture irréversible d'un ou de plusieurs doigts en position fléchie.

Cette maladie se manifeste habituellement par un nodule au niveau de la paume (semblable à un durillon ou à une simple callosité) apparaissant à la base de l'annulaire ou de l'auriculaire. Une bande fibreuse devient progressivement plus proéminente. Après un certain temps, la peau qui la recouvre se plisse, forme des fossettes et durcit. Les bandes épaissies se contractent lentement et replient les doigts contre la paume de la main. Dans certains cas, cette contracture touche aussi les doigts voisins.

La maladie de Dupuytren peut nuire à l'exécution de certaines manœuvres. Les activités exigeant une préhension fine, l'écriture par exemple, peuvent être poursuivies tant et aussi longtemps que le pouce et l'index ne sont pas affectés. Mais au fur et à mesure que la maladie de Dupuytren, parfois appelée contracture de Dupuytren, progresse, elle peut limiter la capacité de saisir de grands objets ou d'introduire la main dans de petits espaces.

Facteurs de risque associés à la maladie de Dupuytren

La progression de cette affection est souvent aléatoire et désordonnée, et l'on ne connaît pas encore sa cause exacte. Certains facteurs ont néanmoins été associés à cette affection, notamment :


  • l'âge et le sexe (plus courante chez les hommes de 50 ans et plus),

  • les antécédents familiaux,

  • l'alcoolisme et/ou l'usage du tabac (peut-être attribuable à des modifications microscopiques au sein des vaisseaux sanguins, causées par le tabac),

  • le diabète,

  • l'épilepsie (association possible, mais controversée, avec des médicaments anticonvulsivants),

  • les traumas de la main.


Bien que le lien avec le travail ne soit pas encore reconnu, certaines recherches indiquent que les travaux manuels très exigeants et l'exposition à des vibrations pourraient être associés à la maladie de Dupuytren. D'autres études ne démontrent pas une telle association.

Possibilités de traitement

Certaines méthodes ont été étudiées en vue de traiter la maladie lorsqu'elle occasionne des douleurs et limite l'usage de la main. Ces méthodes englobent l'administration de médicaments, la physiothérapie, l'injection d'enzymes, la vitamine E, la radiothérapie ou le traitement par les ultrasons, l'injection de stéroïdes et les agents collagénolytiques. Certains de ces traitements se sont montrés plus efficaces que d'autres, mais la performance d'aucun d'entre eux n'a pu être scientifiquement établie.

Un autre traitement consiste en une intervention peu effractive (peu invasive) appelée aponévrotomie. Cette technique fait appel à une aiguille pour perforer et " délier " ou briser la bande de tissus qui entraîne la contracture du doigt, permettant le redressement de ce dernier. On constate souvent que cette contracture réapparaît après un certain temps, ce qui exige la répétition de l'intervention.

Le traitement largement reconnu lorsque le diagnostic de la maladie de Dupuytren est confirmé demeure encore aujourd'hui la chirurgie visant à extraire le fascia malade. En retirant les bandes durcies et les fascias, la tension sur les doigts est éliminée. Les éventuelles complications chirurgicales telles que lésions aux artères et aux nerfs, infection, douleur chronique et modifications de la peau doivent être prises en compte, particulièrement chez les malades sévèrement atteints.

Alertes au danger

Roulements et chutesprint this article

Un roulement a provoqué des blessures chez un travailleur et une chute a été la cause de blessures mortelles chez un autre. Les alertes au danger publiées récemment par WorkSafe BC et le ministère du Travail de l'Ontario expliquent les causes de ces incidents et recommandent des pratiques de travail sécuritaires afin de prévenir une récidive.

Un jeune travailleur de la Colombie-Britannique travaillait dans un entrepôt. Il déchargeait un équipement d'une rampe de chargement à l'aide d'une transpalette à main. La rampe avait une pente de 9 pour 100. Le travailleur guidait la transpalette à main par la poignée de commande en descendant la pente à reculons.

La charge de 1000 livres était dans les limites acceptables de la transpalette à main. La pente a exercé une force vers le bas, provoquant le roulement plus rapide de la transpalette à main. Les roues de la transpalette ont frappé les pieds du travailleur et lui ont fracturé la cheville.

WorkSafe BC recommande aux travailleurs d'entrepôt les pratiques de travail sécuritaires ci-après pour éviter des incidents similaires.

S'assurer que l'équipement est utilisé de façon sécuritaire. Fournir les renseignements, la formation et la supervision nécessaires afin de s'assurer que les travailleurs utilisent l'équipement de façon sécuritaire et suivent les consignes de sécurité du fabricant. L'équipement conçu pour être utilisé seulement sur des surfaces planes et de niveau, par exemple, ne doit pas être utilisé dans des pentes ou des rampes. Il peut être nécessaire de fournir aux jeunes et aux nouveaux travailleurs une formation additionnelle jusqu'à ce qu'ils puissent effectuer leur travail de façon sécuritaire. La performance d'un opérateur d'équipement doit être évaluée régulièrement.

Aménager une zone de travail sécuritaire. Identifier les zones de travail qui présentent des risques pour les travailleurs qui utilisent un équipement comme une transpalette à main. Corriger les conditions dangereuses immédiatement.

Fournir l'équipement de protection individuelle (EPI) approprié. S'assurer que les travailleurs portent l'EPI approprié à la tâche qu'ils ont à effectuer. Les personnes qui utilisent une transpalette à main ou qui travaillent près de cette dernière doivent porter des chaussures de sécurité.

Inspecter l'équipement. Inspecter l'équipement tous les jours et effectuer son entretien de façon régulière en suivant les consignes d'entretien du fabricant.

Lors d'un autre incident, un travailleur de l'Ontario a subi des blessures mortelles après être tombé d'un pylône d'une ligne électrique que l'on s'affairait à ériger. Pour escalader le pylône et en descendre, le travailleur portait un système anti-chute composé d'une corde d'assurance à enrouleur et d'une ceinture de sécurité qui étaient fixées à un croc anti-chute.

L'enquête sur la chute a déterminé que l'extrémité inférieure de la perche peut rester prise dans des objets, tels que des porte-outils, des sacs contenant des boulons et des ceintures de sécurité, puis se libérer de l'endroit où son crochet est fixé. Le fait que le croc peut se libérer par inadvertance explique probablement la cause de la chute. Le croc n'était pas muni d'un dispositif pouvant garantir qu'il ne sera pas libéré accidentellement.

Le ministère du Travail de l'Ontario rappelle aux employeurs qu'ils sont tenus, en vertu de la Loi sur la santé et la sécurité au travail, d'assurer la sécurité de leurs travailleurs. Le règlement de l'Ontario relatif aux chantiers de construction stipule qu'un travailleur qui risque de faire une chute de plus de trois mètres, ou qui est exposé à d'autres dangers notés dans le règlement, doit être protégé par un système anti-chute adéquat.

Le ministère précise que les crocs anti-chute qui peuvent se libérer accidentellement de l'endroit où ils sont accrochés, sans action intentionnelle de la part du travailleur, sont dangereux à utiliser lorsqu'ils sont associés à un dispositif anti-chute. Les systèmes de protection anti-chute utilisés sur le lieu de travail doivent fournir une protection adéquate. De plus, tout travailleur qui utilise un système de protection anti-chute doit recevoir une formation adéquate pour utiliser ce dernier de façon sécuritaire. En vertu de la loi de l'Ontario, la personne qui donne la formation doit rédiger, pour chaque travailleur qu'elle forme, un compte rendu de la formation et des directives transmises au travailleur.

Nouvelles du CCHST

Commencer à répandre la nouvelle print this article

Affiches pour aider à améliorer la sécurité au travail

Vous voulez que votre personnel ait toujours à l'esprit ces importants messages sur la sécurité? Et peut-être ajouter en même temps une touche de couleur au mur de votre entrepôt, de votre usine ou de votre bureau? Les nouvelles affiches du CCHST peuvent vous y aider!

Les affiches peuvent être un moyen facile et efficace de renforcer les messages de santé et de sécurité et donc d'accroître la sécurité de tout le monde au travail. Le CCHST a diffusé la première série d'affiches destinées aux lieux de travail, à savoir : Signaux de danger de SIMDUT et Grues et palans - Signaux manuels courants.

L'affiche Signaux de danger de SIMDUT illustre les six différentes classes de groupes de produits chimiques présentant des dangers ou des propriétés semblables, ainsi que leurs symboles respectifs. Elle contribuera à rappeler aux gens de votre lieu de travail les signaux de danger de SIMDUT ainsi que leur signification.

Un grutier doit toujours déplacer la charge conformément au code de signaux établi et suivre les instructions d'un signaleur. L'affiche Grues et palans - Signaux manuels courants constitue, pour les signaleurs de votre lieu de travail, un outil de référence pratique sur les huit signaux manuels les plus couramment utilisés.

Les affiches, qui devraient faire partie de votre programme de santé et de sécurité au travail, peuvent illustrer et promouvoir les pratiques de travail sécuritaires et aider à faire mieux connaître les dangers importants et les symboles de sécurité.

Le CCHST ajoute continuellement de nouvelles affiches afin d'accroître la sensibilisation aux questions existantes et nouvelles en santé et en sécurité au travail. Deux nouvelles affiches sont en cours d'élaboration, l'une portant sur le lavage des mains et l'autre sur les milieux de travail sans parfum. Leur diffusion est prévue pour la fin octobre.

Ces affiches accrocheuses sont à double face, le français sur un côté et l'anglais sur l'autre. Vous pouvez les télécharger gratuitement, ou en acheter des exemplaires de 16 x 25 po sur papier lustré.

Les affiches sur la sécurité peuvent renforcer vos activités de sensibilisation en contribuant à répandre les messages et à les faire entrer dans l'esprit des gens. Toutefois, les affiches ne remplacent pas la formation à fournir aux travailleurs pour qu'ils connaissent les dangers dans leur lieu de travail et la façon de travailler en toute sécurité.

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