Le rapport sur la santé et la sécuritéVol. 3, No. 4 avril 2005

Dans les nouvelles

Se protéger contre le cancer professionnelprint this article

Le cancer professionnel n'a rien de nouveau. En effet, des livres d'histoire rapportent des cas de cancer professionnel qui remontent à 200 ans. On y mentionne l'augmentation du cancer du scrotum chez les ramoneurs, du cancer des poumons chez les mineurs et du cancer de la vessie chez les teinturiers. Au cours des deux siècles précédents, de nombreux rapports portant sur des cas semblables ont établi des liens entre le cancer et des époques, des endroits ou des professions spécifiques - certains se sont avérés concluants, d'autres non.

La recherche a permis d'identifier d'autres groupes de travailleurs fortement exposés à un risque de cancer en raisons d'expositions professionnelles. Ce type de recherches est nécessaire non seulement pour faire en sorte que les milieux de travail soit sécuritaires, mais aussi pour identifier les facteurs environnementaux pouvant causer le cancer dans la population en général.

On peut obtenir des listes de facteurs professionnels potentiellement cancérogènes pour les humains dans une série de monographies publiées par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC). Depuis 1971, le CIRC, une agence de l'Organisation mondiale de la Santé qui siège en France, a publié plus de 85 volumes traitant des risques de cancer associés aux produits chimiques simples et aux mélanges de produits chimiques dans des professions ou industries sélectionnées. Parmi plus de 900 produits chimiques, mélanges de produits chimiques, procédés industriels, expositions professionnelles et pratiques culturelles évalués à ce jour, le CIRC a recensé 95 facteurs qui sont reconnus comme causant le cancer chez les humains ainsi que 66 qui sont considérés comme probablement cancérogènes pour les humains.

Le National Institute for Occupational Safety and Health (NIOSH) des États-Unis estime que chaque année, aux État-Unis, environ 20 000 décès par cancer et 40 000 nouveaux cas de cancer sont imputables aux risques en milieu de travail.

On estime que de 2 à 8 % des décès par cancer au Canada sont causés par les risques en milieu de travail; ce pourcentage équivaut à un peu plus d'un dixième du nombre de décès causés par le tabac. Même si ce pourcentage peut sembler relativement faible, le nombre de décès par cancer professionnel est important : environ 1000 par année au Canada. Les travailleurs exposés à des cancérogènes en milieu de travail sont beaucoup plus à risque de contracter un cancer.

Parmi les procédés industriels et les expositions professionnelles que le CIRC définit comme causant le cancer, il y a :


  • La production d'aluminium
  • La fabrication d'auramine
  • La fabrication et la réparation de chaussures
  • La production de coke
  • La fabrication de meubles et l'ébénisterie
  • L'extraction souterraine d'hématite avec exposition concomitante au radon
  • Le tabagisme passif
  • La fonderie de fonte et d'acier

    Les données sur les cancers professionnels au Canada varient d'une province ou d'un territoire à l'autre. Un réseau de surveillance épidémiologique actif et davantage d'éducation auprès des médecins et des travailleurs au sujet des maladies reliées au travail pourraient améliorer le signalement des cancers professionnels.

    En attendant, que peut-on faire?

    Plusieurs s'accordent à dire que le meilleur moyen de prévention est d'éviter toute exposition aux cancérogènes. Si on veut réduire le nombre de cancers professionnels, il faut que tous les efforts de prévention visent le même but : réduire les expositions des travailleurs à risque.

    Au Canada, les règlements associés aux lois sur la santé et la sécurité au travail exigent l'évaluation ainsi que le contrôle de différentes substances chimiques, certaines étant connues comme cancérogènes pour les humains. Présentement, la Colombie-Britannique est la seule administration canadienne à exiger que tous les cancérogènes soient remplacés par des substances moins nocives.

    Il est possible de prévenir les cancers professionnels, surtout quand on sait que les matières et les substances utilisées sur le lieu de travail sont cancérogènes. Aussi souvent que possible, le cancérogène devrait être remplacé par une matière moins toxique, ou à tout le moins, les expositions aux cancérogènes devraient être réduites au minimum au moyen de mesures d'ingénierie et de modifications des procédés sur le lieu de travail. Si ces mesures ne peuvent être appliquées de façon satisfaisante, il faut utiliser un équipement de protection individuelle approprié. Enfin, il faut prendre les mesures nécessaires pour s'assurer que les matières cancérogènes ne sont pas rejetées dans l'environnement sans être traitées au préalable ou rapportées à la maison par les travailleurs (sur leurs vêtements ou par d'autres moyens).

    Les travailleurs ont le droit de savoir qu'ils travaillent en présence de cancérogènes et ils doivent être informés sur la façon de protéger leur santé. Pour lutter contre le cancer professionnel, le meilleur moyen de défense demeure la prudence. Grâce à une sensibilisation accrue, on espère que les politiques et les règlements visant les milieux de travail favoriseront l'adoption de nouvelles pratiques visant à protéger les travailleurs d'aujourd'hui et de demain.

    Le site Web du CIRC comporte des liens vers les monographies du CIRC sur l'évaluation des risques de cancérogénicité pour l'homme

    Liste des cancérogènes du NIOSH

Nouvelles du CCHST

L'exposition à la chaleur : un nouveau guide pour ceux qui travaillent à la chaleurprint this article

Que vous soyez dans un bureau sans système de climatisation ou dans une fonderie, entouré de cuves de métal en fusion, travailler à une extrême chaleur peut causer plus qu'un simple inconfort; il s'agit d'un risque pour votre santé.

La réaction du corps humain à la très grande chaleur dépend de plusieurs facteurs, y compris de la température de l'air, de l'humidité relative et de la circulation d'air. La quantité de chaleur transmise au corps par l'environnement dépend aussi de vos vêtements, de votre état de santé général, de la capacité d'acclimatation de votre organisme et du niveau d'effort physique requis - tous ces facteurs sont expliqués en détail dans le Working in Hot Environments: A Health and Safety Guide [Guide de santé et de sécurité : Travailler à la chaleur].

Cette publication de 96 pages du Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail (CCHST) est une ressource pratique pour les membres et les représentants de comités de santé et de sécurité au travail ainsi que pour les superviseurs, gérants, ingénieurs et autres professionnels de la santé et de la sécurité.

L'exposition à la chaleur peut être contrôlée. Le guide décrit comment utiliser les mesures d'ingénierie et administratives pour améliorer le confort thermique sur le lieu de travail, recommande quel équipement de protection individuelle utiliser et donne des exemples de pratiques de travail sécuritaires.

Une section portant sur les divers malaises causés par la chaleur, comme le stress thermique et les coups de chaleur, explique la gravité de ces malaises potentiellement mortels, comment en reconnaître les symptômes et que faire lorsqu'une personne manifeste ces symptômes.

Le livre renseigne le lecteur sur les lois en santé et sécurité, et décrit brièvement les droits et les responsabilités de l'employeur et de l'employé en ce qui concerne la prévention du stress thermique. Le lecteur pourra se familiariser avec les limites d'expositions professionnelles et les lignes directrices sur le confort thermique conformément aux normes portant sur les limites d'exposition à la chaleur, et apprendre de quelle façon sont mesurées les limites d'exposition à la chaleur. Une section traitant des organismes responsables au Canada et aux États-Unis énumère des personnes-ressources et des liens vers des sites Web faciles à consulter.

" L'objectif principal du présent guide," indique l'auteur, "est de souligner l'importance de mettre au point des pratiques de travail sécuritaires et d'appliquer des mesures de prévention pour éliminer et/ou minimiser l'exposition des travailleurs à la chaleur extrême. "

Une version française du Working in Hot Environments: A Health and Safety Guide [Guide de santé et de sécurité : Travailler à la chaleur] sera publiée cette année.

Pour toute question concernant la SST, appelez le Service de demandes de renseignements du CCHST au 1 800 263-8466 (sans frais).

Plus d'information sur le Guide de santé et de sécurité : Travailler à la chaleur



Réponses SST

Pour prévenir l'asthme professionnel, évitez toute expositionprint this article

Personne ne sait vraiment pourquoi l'asthme professionnel affecte un petit pourcentage de travailleurs et épargne les autres. Cette maladie respiratoire est causée par certaines poussières, émanations ou vapeurs présentes sur le lieu de travail, et qui enclenchent une réaction anormale de l'organisme. Le travailleur peut souffrir d'éruptions cutanées, de symptômes semblables à ceux du rhume des foins ou d'une combinaison de ces symptômes.

L'agent déclencheur peut être la poussière de tabac dans une usine de cigarettes, la poussière de thé dans une usine de thé, le carmin dans une usine de fabrication de produits cosmétiques, les plumes pendant le déplumage de la volaille ou les acrylates qui se trouvent dans les produits d'étanchéité et les adhésifs d'un atelier de débosselage, pour n'en nommer que quelques-uns. Des cas d'asthme professionnel ont aussi été signalés dans le milieu des soins de santé, les usines de produits pharmaceutiques, l'industrie du bois et dans pratiquement tout autre secteur industriel où il y a des substances aéroportées.

Le milieu médical reconnaît deux types principaux d'asthme : l'asthme allergique, où les anticorps se fixent sur des cellules spécifiques du poumon et réagissent contre l'agent déclencheur, et l'asthme non allergique, où une exposition répétée à un produit chimique industriel provoque la libération de leucotriènes et d'autres substances dans les poumons, ce qui cause le rétrécissement des voies respiratoires. L'asthme peut se déclencher des semaines, des mois ou des années après l'exposition aux agents irritants.

Récemment, un autre type d'asthme - le syndrome de dysfonction réactive des voies aériennes - est apparu dans les milieux de travail. Les symptômes de ce type d'asthme peuvent apparaître soudainement, dans les 24 heures suivant l'inhalation d'agents irritants comme de la fumée, de la poussière, des émanations ou des vapeurs. Les travailleurs touchés présentent souvent les symptômes en fin de journée. Les symptômes peuvent persister pendant des mois ou des années, lorsque la personne sensibilisée est exposée de nouveau aux irritants. Ce type d'asthme est encore relativement rare, et les experts en santé et sécurité l'étudient encore pour mieux le comprendre.

Une gêne respiratoire, une sensation d'oppression du thorax, de la toux et une respiration sifflante sont souvent des signes avertisseurs d'asthme. En général, ces symptômes s'aggravent durant les jours de travail, réveillent souvent le patient la nuit et s'améliorent pendant les arrêts de travail. En dehors du travail, la gêne thoracique peut se manifester lorsque le travailleur est exposé à des substances irritant les voies respiratoires comme des poussières ou certaines émanations, ou lorsqu'il fait de l'exercice. Souvent, l'asthmatique a aussi des picotements aux yeux, des larmoiements, des éternuements, de la congestion nasale avec écoulement de sécrétions et des éruptions cutanées.

Même si les médicaments font disparaître les symptômes de l'asthme, il est important que l'exposition cesse, sinon les troubles respiratoires risquent de devenir permanents. Un masque anti-poussières ou un appareil de protection respiratoire bien entretenu et bien ajusté, des mesures d'ingénierie, comme la ventilation, ou une formation adéquate sur la façon de manipuler les produits chimiques, d'éviter les déversements accidentels et de veiller au bon ordre des installations peuvent aider à limiter les expositions sur le lieu de travail. Toutefois, la seule façon de s'assurer qu'il n'y aura plus d'exposition est de changer d'emploi ou de remplacer les matières dangereuses par des produits moins nocifs.

Pour lire l'intégralité du document Réponses SST sur l'asthme professionnel, visiter le site Web suivant :
www.cchst.ca/reponsessst/diseases/asthma.html
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Alertes au danger

Des travailleurs écrasés par la chute de matérielsprint this article

Un jeune homme à l'emploi d'une marina depuis seulement une semaine est mort écrasé par un remorqueur de 30 tonnes.

Le remorqueur, suspendu par deux élingues, avait été sorti de l'eau par une grue mobile (portique de levage). La grue était en train de placer le remorqueur sur des cales dans la cour. Des tréteaux servant de cales étaient en place sous l'étrave et la poupe, et ce jeune assistant posait une deuxième cale à l'avant du bateau.

L'assistant, penché près d'une élingue de levage et sa boucle de fixation métallique, n'était plus directement à la vue de l'opérateur de la grue. Lorsque celui-ci a abaissé la poupe du bateau vers la cale arrière, l'élingue de levage qui se trouvait tout près du jeune travailleur a glissé le long de la coque. L'assistant a été heurté par l'élingue et la boucle de fixation métallique, et il est décédé à la suite de lésions par écrasement subies à la tête.

Le Centre de la santé et de la sécurité (Health and Safety Centre) a diffusé une alerte pour rappeler aux travailleurs les méthodes de sécurité qui auraient pu permettre d'éviter cet accident. Cette alerte contient des recommandations, y compris l'identification des zones très dangereuses (points de traction), l'éducation des travailleurs afin qu'ils respectent les consignes de sécurité écrites, le rappel aux opérateurs d'engins de levage de vérifier la position des travailleurs avant de déplacer une grue ou de modifier la répartition de la charge ou la position d'un bateau ou d'une charge. L'opérateur de la grue et les travailleurs au sol doivent communiquer entre eux à l'aide de signaux manuels ou d'autres moyens de communication efficaces, précise l'alerte au danger, et ils doivent toujours porter un casque de sécurité en présence d'un risque de blessure à la tête.

Lors d'un autre accident en Colombie-Britannique, un conducteur d'excavatrice âgé de 64 ans travaillait seul à la construction des fondations d'une maison en billes de bois. Ce conducteur possédant 30 ans d'expérience levait des billes au moyen de câbles fixés à un crochet du godet de son excavatrice. La fenêtre de cet engin n'était pas munie de gardes et de vitrages du côté de la flèche, et le vitrage avant était ouvert. Les câbles assujettis à chaque extrémité de la bille étaient tendus vers le vitrage avant de l'excavatrice, où le conducteur pouvait les manœuvrer.

Lorsque l'opérateur s'est penché par la fenêtre ouverte du côté de la flèche pour replacer un câble, il a accidentellement bouger le levier de commande de la flèche. Celle-ci s'est abaissée, lui écrasant la tête entre le cylindre de l'arbre de levage et la cabine de l'excavatrice. Un autre conducteur d'excavatrice a été écrasé dans des circonstances semblables, deux ans auparavant.

Worksafe BC recommande donc aux opérateurs de ne jamais utiliser de matériel dont les gardes ou les sécurités ont été retirés. Le garde ou la fenêtre du côté de la flèche d'une excavatrice protège le conducteur d'une éventuelle chute de la flèche. Personne ne devrait vendre ni louer un équipement sur lequel les gardes de sécurité prévus par le fabricant ont été retirés ou modifiés. Les opérateurs devraient travailler avec un co-équipier si leur sécurité l'exige, ou s'assurer qu'une autre personne effectuera régulièrement une vérification avec eux.

Lisez les comptes rendus détaillés aux adresses suivantes :

Boom crushes excavator operator

Young worker crushed when boat shifts while being lowered

Nouvelles de nos partenariats

Révision de la Liste des maladies professionnelles de l'OITprint this article

L'Organisation internationale du Travail évalue à au moins 1,6 million le nombre annuel de décès dans le monde attribuables à des maladies d'origine professionnelle. C'est l'équivalent de rayer, chaque année, la population complète de la ville de Montréal à cause de maladies contractées au travail. On appelle maladie professionnelle une pathologie (ou maladie) résultant des conditions de travail, des tâches à effectuer ou du milieu de travail en soi plutôt que des risques habituels auxquels est exposée la population en général. Il s'écoule généralement un certain temps entre l'exposition à la cause de la maladie et l'apparition des premiers symptômes; il arrive même que les manifestations de la maladie ne soient pas décelées avant 20 ans, et même plus.

Depuis 1964, l'OIT a tenu à jour une liste des maladies professionnelles reconnues à l'échelle mondiale afin d'offrir un document de référence aux pays qui désirent constituer leur propre liste nationale et de les inciter à inclure les maladies répertoriées dans la Liste de l'OIT; d'harmoniser l'élaboration de politiques visant les maladies professionnelles et de favoriser la prévention de ces dernières; et de faire en sorte que les maladies ajoutées à la liste servent de moteurs de prévention et encouragent l'adoption de mesures en vue de limiter l'emploi de matières nocives et d'imposer une meilleure surveillance de l'état de santé des travailleurs.

La Liste des maladies professionnelles de l'OIT est en cours de révision et pourrait être mise à jour. Le docteur Shengli Niu, spécialiste principal de la santé professionnelle au service du Bureau international du Travail, a passé en revue les modifications proposées à cette liste et leurs répercussions durant la Conférence du CCHST sur les maladies professionnelles tenue en mars à Toronto.

L'OIT a établi deux listes : la première révisée en 1980 est annexée à la Convention 121 qui lie légalement les pays signataires et la seconde, présentée au début des années 1990 et adoptée en 2002, a été jointe à sa Recommandation no 194. La réunion tripartite des experts de l'OIT, qui aura lieu en décembre 2005, soumettra une version révisée de cette liste qui devrait remplacer la liste de 2002, après son approbation par le Conseil d'administration de l'OIT prévue pour mars 2006.

Cette Liste doit être mise à jour régulièrement afin de rendre compte des nouveaux facteurs de risques, des dernières technologies de diagnostic, des nouvelles maladies apparues, des maladies davantage reconnues à l'échelle nationale et des dernières découvertes dans le monde. Les principaux motifs justifiant la mise à jour de la Liste des maladies professionnelles de l'OIT peuvent comprendre l'importance de la relation exposition-effets entre un milieu de travail et/ou une activité spécifique et une maladie particulière, la gravité des facteurs de risque et enfin l'inscription d'une maladie sur un grand nombre de listes nationales.

Les divers éléments ou maladies pouvant être répertoriés sur cette liste sont les suivants :


  • les produits chimiques (les pesticides?)
  • les agents physiques (les champs électromagnétiques?)
  • les agents biologiques (le tétanos, la brucellose, les virus de l'hépatite B et de l'hépatite C, la tuberculose, le VIH?)
  • les maladies touchant les organes cibles (les maladies mentales et les troubles de comportement tels que le syndrome de stress post-traumatique à la suite d'une situation traumatisante, et les troubles psychiatriques et psychosomatiques attribuables au houspillage, les blessures musculosquelettiques?)
  • les cancers professionnels (l'arsenic, le béryllium, le cadmium, l'érionite, les oxydes d'éthylène, la silice, les virus de l'hépatite B et de l'hépatite C?)
  • les autres maladies (le nystagmus des mineurs?)

    Parcourir la Recommandation no 194 de l'OIT

    Obtenir la Liste des maladies professionnelles de l'OIT

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