Le rapport sur la santé et la sécuritéVol. 3, No. 9 septembre 2005

Dans les nouvelles

Les grands organismes responsables de la santé dans le monde se préparent au retour de la grippe et d'une éventuelle flambée épidémique print this article

L'Agence de santé publique du Canada (ASPC) signale que le ministre de la Santé de l'Indonésie a annoncé, le 20 juillet 2005, le premier décès au pays attribuable à la grippe aviaire A. La victime était un homme de 38 ans dont les filles respectivement âgées d'un an et de 8 ans, ont également été infectées et sont décédées au cours du mois de détresse respiratoire attribuable à des symptômes pseudo-grippaux. D'autres cas d'infections chez l'homme attribuables à cette souche ont été déclarés au Vietnam, en Thaïlande et au Cambodge.

L'OMS et son réseau de 112 centres nationaux de lutte contre la grippe assurent une surveillance globale continue de la grippe en effectuant le suivi de l'activité grippale et en isolant les virus sur tous les continents. Le but visé par les intéressés est d'empêcher toute flambée de grippe de se transformer en pandémie.

Ces dernières années, de nombreuses souches ayant les caractéristiques de celles qui se sont transformées en épidémie sont apparues dans différents coins du monde et l'OMS prévoit la propagation d'une nouvelle pandémie d'un moment à l'autre. La grippe pandémique de 1918-1919 a certainement été la plus meurtrière et les ravages qu'elle a causés dans le monde entier sont évalués à près de 40 millions de décès.

Malgré les progrès des soins de santé au cours des dernières décennies, les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis estiment à l'heure actuelle, compte tenu de l'augmentation du trafic mondial constatée à l'échelle de la planète, qu'une nouvelle épidémie tuerait de 2,0 à 7,4 millions de personnes, les pays à faible revenu étant les plus touchés. Santé Canada considère que de 2 à 5 millions de personnes auraient besoin de soins en consultation externe et que près de 11 000 à 58 000 habitants succomberaient à une grippe pandémique.

La probabilité de grippe pandémique varie en fonction de certaines conditions : un virus grippal A issu d'une importante mutation génétique, une population n'ayant peu ou pas d'immunité à ce virus, un virus facilement transmissible d'une personne à une autre, et un virus pouvant engendrer une pathologie grave et la mort.

Contrairement à la moyenne, les épidémies annuelles de grippe de nos hivers canadiens affectant de 5 à 20 pour 100 de la population par exemple, une grave pandémie causée par un virus grippal A pourrait affecter de 30 à 50 pour 100 des habitants. Les enfants sont les personnes les plus susceptibles de contracter la maladie, mais les personnes âgées sont particulièrement exposées au risque de complications graves et de décès.

L'OMS indique que nous devons nous attendre aux situations qui suivent s'il arrive qu'une grippe pandémique se déclare :


  • propagation rapide du virus pandémique à cause du trafic mondial, ce qui nous laisse peu de temps pour s'y préparer;
  • faibles stocks de vaccins, d'agents antiviraux et d'antibiotiques pour traiter les infections secondaires;
  • attente de plusieurs mois avant l'obtention d'un vaccin;
  • surcharge, voir incapacité de traiter, des établissements médicaux;
  • manque de personnel dans les services essentiels à la communauté attribuable à la propagation de la maladie;
  • effets prolongés de la grippe au sein de communautés particulières avec récurrence de certaines flambées.


Le Canada s'est doté du Plan d'urgence canadien de lutte contre la pandémie de la grippe qui prévoit des mesures relatives aux préparatifs d'urgence, aux interventions nécessaires et à la poursuite des activités, de même que les principes généraux d'une intervention en situation d'urgence. Le Plan d'urgence canadien de lutte contre la pandémie de la grippe a été élaboré par le Centre de prévention et de contrôle des maladies infectieuses, l'Agence de santé publique du Canada et Santé Canada, en collaboration avec le Centre de mesures et d'interventions d'urgence, sous la direction du Comité de la grippe pandémique.

La grippe et le milieu de travail

Vous pouvez contribuer à la lutte contre la propagation de la grippe dans votre milieu de travail en offrant gratuitement des vaccins antigrippaux administrés sur place aux employés et aux membres de leur famille au mois d'octobre ou de novembre de chaque année. De plus, la politique de votre organisation en matière de maladie et d'absentéisme devrait inciter les membres de votre personnel à se reposer à la maison lorsqu'ils sont malades et à ne pas traiter défavorablement ceux qui s'y conforment. Éduquer vos employés sur l'importance de se laver les mains et favoriser de saines habitudes d'hygiène; il peut tout simplement s'agir de leur rappeler de se couvrir la bouche lorsqu'ils toussent ou qu'ils éternuent. Dans les zones où il est impossible ou difficile de se laver les mains avec de l'eau et du savon, un désinfectant pour les mains à base d'alcool offre une solution de remplacement acceptable pour maîtriser la propagation de l'infection.

World Health Organization on Pandemic Preparedness en anglais seulement

Plan canadien de lutte contre la pandémie d'influenza

Plans de lutte contre la grippe adoptés dans d'autres pays en anglais seulement

Nouvelles de nos partenariats

La Semaine nationale de la santé au travail sera célébrée du 24 au 30 octobre 2005!print this article

Imaginez que vous travaillez dans un environnement qui vous permet de vous épanouir sur les plans physique, mental, émotif, social et spirituel. Si les experts canadiens de la santé professionnelle ont vu juste, un milieu de travail contribuant au mieux-être général des employés et des travailleurs ne sera plus le lointain idéal vers lequel tendent les entreprises - il deviendra la norme.
Selon le Conseil canadien pour un milieu de travail sain, des éléments tels que le leadership, la communication, la conception des tâches et les modes de prise de décisions appropriés favorisent sensiblement la santé globale d'un employé. À son tour, une main-d'œuvre en santé joue, à toutes fins pratiques, un rôle déterminant dans la santé de l'organisation ou de l'entreprise.

En vue de promouvoir la santé des organisations canadiennes, la semaine du 24 au 30 octobre est désignée, cette année, la Semaine nationale de la santé au travail. Votre entreprise est donc invitée à y participer et le site Web de la Semaine nationale de la santé au travail, créé et mis à jour par le Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail en collaboration avec Health Work and Wellness Conference Inc. et l'Institut national de la qualité, vous propose divers moyens.

Les " Résultats en matière de santé au travail " constituent non seulement le thème de la Semaine nationale pour la promotion de la santé en milieu de travail (SNPSMT) 2005 mais font également partie des déterminants des " Critères canadiens pour un milieu de travail sécuritaire " élaborés par l'Institut national de la qualité et Santé Canada. Créer un milieu de travail plus sain permet d'améliorer les résultats ainsi que le rendement des employés et, partant, de l'ensemble de l'entreprise. Le site Web de la Semaine nationale de la santé au travail présente une panoplie de projets et d'activités en vue d'accroître le mieux-être des travailleurs et employés, et d'aider les gestionnaires à les mettre en place au sein de leur organisation - autant de suggestions destinées à faciliter votre démarche et celle de votre entreprise en vue d'instaurer et de préserver une culture de mieux-être au travail.


Si vous souhaitez planifier à l'avance les activités que vous organiserez l'an prochain durant la Semaine nationale de la santé au travail, explorez la section Stratégies d'avenir que vous trouverez très utile pour définir les principaux éléments d'une démarche stratégique exhaustive en ce qui a trait à la santé au travail au sein de votre organisation. La section Archives du site présente différents défis et diverses activités choisies par d'autres organisations dans le passé. Vous trouverez encore sur le site une foule de modèles de rapports et autres outils plus administratifs pouvant vous faciliter la tâche dans la section Ressources.

Vous connaissez maintenant les dates et avez tous les outils en main : amusez-vous! La promotion de la santé devrait être amusante, tout comme votre travail quotidien devrait être source d'expériences saines sur les plans tant physique que mental, émotif, social et spirituel.

Réponses SST

Avoir bon nez, c'est aussi le fondement médical des politiques de travail sans parfum!print this article

Si vous songez que la plupart d'entre nous passons de 80 à 90 pour 100 de notre temps à l'intérieur, il devient soudainement pertinent de savoir que l'air intérieur peut être de deux à cinq fois plus pollués que l'air extérieur. Les contaminants (ou agents polluants) de l'air intérieur sont toutefois bien différents de l'idée traditionnelle que nous nous faisons de la pollution - nous sommes bien loin des nuages encrassés de rejets atmosphériques polluants. Pour certaines personnes, la pire " pollution " provient en fait des odeurs et des parfums initialement conçus pour le plaisir du nez.

Qu'il s'agisse d'un assouplisseur annonçant l'odeur printanière des fleurs sauvages ou d'un parfum coûteux, certaines personnes sont atteintes de crises d'asthme et de divers autres malaises lorsqu'elles sont exposées à des produits odorants ou parfumés. Ces produits déclenchent dans de tels cas une combinaison de symptômes pouvant comprendre maux de tête, étourdissements, nausée, fatigue, inconfort général, insomnie, difficultés respiratoires, anxiété et autres.

Au Canada, un nombre de plus en plus important de lieux de travail, d'établissements d'enseignement et d'hôpitaux tentent de remédier à ce problème en se dotant d'une politique interdisant l'emploi de produits parfumés ou odorants. Le Kingston General Hospital, par exemple, a depuis peu interdit dans tout l'hôpital l'emploi de parfums en réponse à des plaintes provenant d'employés souffrant d'importantes affections respiratoires de type réactionnelles attribuables au parfum, eau de toilette et autres produits parfumés utilisés par des collègues. Un employé a ainsi été admis à l'urgence de l'hôpital à la suite d'une réaction en présence de produits parfumés.

Les odeurs et les parfums doivent-ils être traités comme des produits posant un risque pour la santé? Bien que certains s'opposent à la vague d'interdiction visant l'emploi de produits parfumés - à leurs yeux, aucune preuve scientifique ne démontre que l'exposition secondaire à des odeurs puisse avoir des effets sur la santé d'une personne - des organismes tels que l'Association pulmonaire du Canada et le Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail (CCHST) estiment que les politiques visant à garantir un milieu de travail sans parfum constituent une option valable.

Dans le cas de lieux de travail où l'on soupçonne que les agents chimiques entrant dans la fabrication de certains produits odorants ou parfumés pourraient causer des problèmes de santé, le CCHST conseille aux employeurs d'envisager l'adoption d'une politique assurant un milieu de travail sans parfum en plus d'avoir recours aux autres mesures efficaces, notamment l'identification précise de la source du problème et, dans la mesure du possible, la réduction de toutes les émanations provenant de matériaux de construction, de produits de nettoyage et autres sources d'odeurs. Le CCHST rappelle également l'importance de conserver une bonne qualité de l'air intérieur (par des appareils de ventilation) pour prévenir la propagation des odeurs et des parfums dans l'ensemble du bâtiment.

Une autre façon de résoudre le problème, bien qu'elle puisse être difficile à appliquer selon les défenseurs d'un milieu de travail sans parfum, consiste à demander à la personne responsable de limiter l'emploi du produit parfumé déclenchant cette réaction ou d'en adopter un autre ayant une odeur moins soutenue. Comme point de référence pour évaluer ce qui représenterait " un excès ", le CCHST suggère qu'aucune odeur ne devrait être perceptible à plus d'un bras de distance de la personne utilisant un produit odorant ou parfumé.

Lisez la Réponse SST traitant des politiques pour un milieu de travail sans parfum

Alertes au danger

La métallisation au pistolet : un risque important pour la santéprint this article

Les revêtements métalliques sont utiles pour remettre en état des pièces usées, pour appliquer une pellicule résistant à la corrosion ou encore pour exécuter le soudage ou le brasage de métaux d'apport. Le procédé servant à leur application génère cependant des rayonnements, des gaz, des fumées et des poussières nocives pouvant exposer les travailleurs à un danger mortel.

Dans l'état de Washington, aux États-Unis, un homme est décédé en 2003 après avoir appliqué pendant 2 jours, à l'aide de l'équipement portable de métallisation au pistolet de son poste de travail, des revêtements à base de chrome et de nickel. Le lieu de travail provisoire n'était pas muni d'appareils de ventilation adéquats. Le travailleur n'avait pas un appareil de protection respiratoire adéquat et ne portait aucun autre équipement de protection individuelle durant l'exécution de son travail.

La métallisation au pistolet, aussi appelée simplement métallisation, métallisation par projection, projection à chaud (THSP pour thermal spraying), projection à la flamme, projection plasma ou projection au plasma, projection à l'arc ou rechargement dur, désigne le procédé par lequel les métaux sont fondus et projetés sur une surface pour former un revêtement pelliculaire. Les métaux peuvent être portés en fusion par divers procédés de chauffe. Les métaux projetés sont utilisés à l'état pur ou à l'état d'alliages prenant la forme de poudres, de fils ou de tiges. L'aérospatial, l'agriculture, l'automobile, l'électronique, les ateliers d'usinage, le secteur maritime, les pâtes et papiers, et le transport sont au nombre des industries faisant appel aux procédés de métallisation au pistolet.

L'opérateur exécutant le travail et toute autre personne se trouvant à proximité peuvent être exposées à différents voies d'absorption de matières dangereuses. En plus de constituer un risque respiratoire, la métallisation au pistolet est un procédé bruyant qui peut endommager l'ouie. Ce procédé pose également d'autres risques, notamment des risques mécaniques et électriques, des risques d'incendie et d'explosion, des risques de travail à la chaleur ou à des températures extrêmes, des risques d'exposition à des gaz comprimés et à des infrasons (fréquences infra-acoustiques).

Pour protéger les travailleurs des risques liés à la métallisation au pistolet, consulter le fabricant de votre équipement et les fournisseurs des métaux de projection au sujet de la manière de vérifier que l'équipement est employé selon le mode d'utilisation recommandé. Apprenez comment évaluer les risques avant le début des travaux et quelles mesures de précautions doivent être prises. Les milieux de travail ayant recours à la métallisation par projection devraient fournir à leurs employés une formation adéquate en matière de sécurité, assurer une ventilation appropriée des locaux, établir un programme de protection respiratoire et auditive, et enfin fournir l'équipement de protection individuelle supplémentaire jugé utile.

Nouvelles du CCHST

L'apprentissage de la sécurité en ligne : efficace et convivial!print this article

Au Canada, de nombreux milieux de travail ont appris à tirer profit des sources d'information fiables et abordables qu'offrent le Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail (CCHST). À l'écoute des besoins de sa clientèle, le CCHST a lancé récemment une série de nouveaux cours en ligne pour aider les Canadiens à travailler en toute sécurité et de façon plus efficace.

Ces cours en ligne permettent aux employés de s'inscrire via Internet et de travailler à leur rythme, au moment qui leur convient le mieux. Les gestionnaires peuvent suivre la formation donnée aux employés dont ils sont responsables et être certains qu'ils ont tous reçus les mêmes renseignements et obtenu la même formation. Le coût relativement faible des cours en ligne permet aussi aux employeurs de réaliser des économies grâce aux sommes qui, selon la formule traditionnelle, auraient été dépensées en frais d'avions et d'hôtels, sans mentionner la perte de productivité associée au temps de déplacement.

Les cours offerts en français et en anglais englobent des commentaires verbaux, des études de cas, des listes de vérification et divers types d'exemples illustrant de façon concrète les notions abordées. Des questionnaires soumis tout au long du cours et un examen final à la fin de chaque formation assurent l'évaluation des progrès effectués et de l'apprentissage global. Le CCHST a récemment lancé les cours en ligne qui suivent :

Sécurité des échelles

Le cours en ligne Sécurité des échelles intéressera toute personne qui utilise une échelle sur les lieux de travail ou à la maison, ou supervise des personnes qui le font. Ce cours expose les rudiments de l'emploi sécuritaire des échelles - échelles simples, échelles coulissantes et escabeaux - dans le cadre de son travail. Il enseigne aux employés la façon appropriée d'inspecter et de mettre en place une échelle avant de s'en servir, comment travailler en toute sécurité après avoir monté à l'échelle et, enfin, les règles à suivre concernant l'entretien et l'entreposage des divers types d'échelles.

La santé et la sécurité au bureau

Ce cours destinés aux gestionnaires, aux superviseurs, aux employés, aux professionnels des ressources humaines ainsi qu'aux membres des comités de santé et sécurité au travail présente, sous un angle pratique, les notions élémentaires de la santé et de la sécurité dans les bureaux.

L'atelier traite des composants d'un programme de santé et de sécurité au travail ainsi que des moyens permettant d'identifier les risques professionnels présents dans les locaux à bureau. Les sujets abordés comprennent l'ergonomie, l'éclairage, le stress lié au travail, la qualité de l'air intérieur de même que les questions plus générales associées à la sécurité telles que les méthodes de levage et d'entreposage sécuritaires, les chutes, les glissades et les trébuchements, le matériel et l'équipement dangereux, les risques chimiques et électriques, la sécurité incendie et les procédures d'évacuation.

Le SIMDUT pour les gestionnaires et les superviseurs

Le CCHST offre maintenant un cours en ligne rédigé spécialement pour les gestionnaires et les superviseurs. Ce cours a pour but d'aider ces derniers à bien comprendre leurs responsabilités, et à s'en acquitter correctement, en ce qui a trait à l'utilisation sécuritaire des produits chimiques et au respect des exigences définies dans le SIMDUT (Système d'information sur les matières dangereuses utilisées au travail) en vigueur au Canada.

Les participants étudieront leurs obligations et leurs responsabilités en ce qui concerne le SIMDUT, les symboles et les classes de produits du SIMDUT, les étiquettes du fournisseur et celles du lieux de travail, et enfin la composition et la terminologie des fiches techniques (FS). Le cours réunit divers trucs et conseils concernant l'élaboration de programmes de formation en milieu de travail efficaces, et définit les mesures élémentaires à prendre pour protéger la santé et assurer la sécurité des employés d'une part et, d'autre part, pour prévenir les blessures et maladies professionnelles.

Ce n'est pas tout!

Le CCHST prépare d'autres ateliers auxquels vous devriez avoir accès cet automne, notamment les cours en ligne Risques électriques, Équipement de protection individuelle : les rudiments, et Chutes, glissades et trébuchements.

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Votre rétroaction et vos idées de sujets sont les bienvenues.

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Préparé par le Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail, le Rapport sur la santé et la sécurité est un bulletin de nouvelles mensuel qui fournit des renseignements, des conseils et des ressources pour aider à maintenir un milieu de travail sain et sécuritaire, et assurer le mieux-être global des travailleurs.

Vous pouvez annuler votre inscription en tout temps. Si vous avez reçu ce bulletin de nouvelles par l'intermédiaire d'un ami, pourquoi ne pas vous inscrire vous-même?

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