Le rapport sur la santé et la sécuritéVol. 9, No. 10

Alertes et bulletins

Un outil essentiel pour la gestion des risquesprint this article

Les rudiments de la SST peuvent vous aider à élaborer un plan de gestion des risques présents dans votre milieu de travail


Les lieux de travail peuvent comporter des risques de tous les types - des risques ergonomiques, des risques physiques et des risques sur le plan de la sécurité, pour ne nommer que ceux-ci - qui peuvent causer des préjudices à vos employés ou les rendre malades. Pour améliorer la santé et la sécurité dans votre milieu de travail, la gestion des risques est un excellent point de départ. Le CCHST a créé Les rudiments de la SSTMC, un nouvel outil en ligne qui vise à faciliter l'élaboration de votre plan de gestion des risques dans votre milieu de travail.

Les rudiments de la SST

Avec Les rudiments de la SST, vous pouvez facilement suivre un processus étape par étape qui vous permet de cerner, d'évaluer et de maîtriser les risques en milieu de travail, afin d'obtenir un milieu de travail sain et sécuritaire.
Cet outil en ligne interactif réunit une foule de renseignements pratiques conçus pour vous aider à reconnaître, à évaluer et à maîtriser les risques présents sur votre lieu de travail. Des listes de vérification vous indiquent les étapes à suivre en vue d'examiner les activités du milieu de travail, de cerner les dangers potentiels et de vous informer de la réglementation pertinente en consultant les articles clés. Choisissez parmi les mesures de maîtrise suggérées pour vous créer un plan d'action définitif qui vous aidera à éliminer les risques présents dans votre milieu de travail.

Voici les 10 thèmes de l'outil Les rudiments de la SST parmi lesquels il est actuellement possible de choisir (d'autres suivront) :


  1. Bruit excessif

  2. Niveaux d'éclairement inadéquats

  3. Manutention manuelle des matériaux : prévention des troubles musculo-squelettiques

  4. Manutention manuelle des matériaux : travail en position assise

  5. Glissades et trébuchements

  6. Travailler seul

  7. Travailler à l'intérieur à des températures élevées

  8. Travailler à l'extérieur à des températures élevées

  9. Travail dans les échelles

  10. Violence au travail


Lorsque vous payez les droits correspondant à un thème parmi Les rudiments de la SST, vous y avez automatiquement accès sur le Web, et ce, durant 30 jours consécutifs.

Accédez à la réglementation

Si vous devez consulter la réglementation canadienne sur un sujet particulier, sachez que Les rudiments de la SST sont accompagnés d'un sommaire et de listes détaillées des textes législatifs fédéraux, provinciaux et territoriaux pertinents.

Vous pouvez choisir parmi les deux options de réglementation suivantes :

  1. Réglementation fédérale, plus une sphère de compétence de votre choix (20 $ pour un accès durant 30 jours)

  2. Réglementation fédérale, plus toutes les sphères de compétence (25 $ pour un accès durant 30 jours)


Tout le contenu de ce nouvel outil appelé Les Rudiments de la SST est mis au point et revu par l'équipe de spécialistes techniques du CCHST.

Renseignez-vous sur Les rudiments de la SST ainsi que sur chaque thème présenté.

Balados

Travail prolongé en position assise et violence au travail print this article

Le CCHST produit chaque mois des balados GRATUITS conçus pour vous informer des derniers renseignements, conseils, études et avis d'experts diffusés en ce qui concerne la santé, la sécurité et le mieux-être des travailleurs canadiens. Cette collection de balados que vous pouvez télécharger et écouter au moment et à l'endroit de votre choix vous offre vraiment De la SST pour emporter!

Dans l'édition de ce mois-ci, De la SST pour emporter! propose un balado intitulé Maintien de la position assise : les risques de demeurer assis trop longtemps. Ce balado expose les enjeux liés à la santé que soulève le travail prolongé en position assise ainsi que les mesures que peuvent prendre les travailleurs pour éviter de demeurer assis trop longtemps.

La durée du balado est de 7 min 07 s. Écoutez le balado maintenant.

Reprise du balado : « Violence and Harassment in the Workplace »

Dans ce balado, Mme Jessie Callaghan, spécialiste technique principale au service du CCHST, traite de la violence et du harcèlement au travail - et explique en outre comment protéger vos employés, donne des conseils de prévention et explique les nouvelles exigences prescrites aux termes du projet de loi 168 de l'Ontario.

D'une durée de 7 min 13 s, le balado est offert en anglais seulement. Écoutez le balado maintenant.

Parcourez la liste complète des sujets traités dans les balados. Mieux encore, abonnez-vous sur iTunes afin de ne pas manquer un seul épisode!

Conseils et outils

Se préparer à la transition au SGH print this article

Depuis plusieurs années, on en parle, on spécule à son sujet et on l'anticipe, et maintenant le Système général harmonisé de classification et d'étiquetage des produits chimiques (SGH) est plus près que jamais de devenir réalité. La date exacte n'est pas encore connue; cependant, avec la réglementation visant la mise en œuvre du SGH qui approche, les fournisseurs de produits chimiques commencent à se préparer au changement. Pour eux, le plus grand obstacle à surmonter sera de déterminer comment effectuer la transition au nouveau système tout en assurant leur conformité à la réglementation qui établit le Système d'information sur les matières dangereuses utilisées au travail (SIMDUT).

Au Canada, l'étiquette de fournisseur doit contenir les éléments suivants :


  • bordure hachurée;

  • symboles de danger SIMDUT

  • identificateur du produit et identificateur du fournisseur;

  • mentions de risque;

  • mesures de prévention, notamment les mesures de premiers soins;

  • renvoi à la fiche signalétique.


Pour commencer

Pour commencer la transition au SGH, la première étape devrait consister à vous familiariser avec les critères de classification des dangers selon le SGH, puisque ceux-ci constituent le fondement de l'ensemble du Système général harmonisé. Dans le cas de nombreuses catégories du SIMDUT, il existe une corrélation directe entre les catégories de risques actuelles du SIMDUT et les catégories de dangers du SGH. Par exemple, il y a une bonne corrélation entre la classe D2A du SIMDUT (cancérogénicité) et la classe SGH sur la cancérogénicité. Des mentions de danger ont été utilisées pour chaque classe de dangers du SGH. Dans les cas où les critères des classes du SGH correspondent à ceux des classes du SIMDUT, envisagez dès maintenant l'utilisation des mentions de danger du SGH (p. ex. " Peut provoquer le cancer. " ou " Susceptible de provoquer le cancer. ") comme mentions de risques pour votre étiquette du SIMDUT.

Conseils de prudence

Il existe cinq types différents de conseils de prudence : conseil général, mesure de prévention, marche à suivre avant une intervention (notamment en matière d'incendies, de rejet accidentel et de premiers soins), conseil relatif à l'entreposage et mesure d'élimination. Lorsqu'ils sont présents, les conseils de prudence du SGH peuvent aider à satisfaire aux exigences liées aux mesures de précaution du SIMDUT. Vous devez garder en tête qu'il vous faudra peut-être ajouter de l'information aux conseils de prudence du SGH puisqu'ils ne sont pas complets en ce qui concerne certaines classes de dangers. Par exemple, pour ce qui est de la classe des " gaz sous pression ", on n'offre qu'un seul conseil de prudence relatif à l'entreposage et aucune mesure de prévention, marche à suivre avant une intervention ou mesure d'élimination. Vous pouvez ajouter des conseils de prudence en consultant la liste complète (établie pour toutes les classes de dangers du SGH) et/ou en utilisant les mentions de votre choix. Pour ce qui est de l'exemple susmentionné, un conseil de prudence comme " Tenir à l'écart de la chaleur. " (emprunté d'une autre classe de dangers du SGH) peut très bien convenir.

En vue de réduire les coûts associés à la traduction, toutes les mentions du SGH sont offertes en français ainsi que dans de nombreuses autres langues.

Assurez votre conformité au SIMDUT

Pour assurer votre conformité au SIMDUT, n'oubliez pas que les étiquettes du fournisseur doivent employer des éléments du SIMDUT, comme les symboles de danger du SIMDUT, la bordure hachurée du SIMDUT et une référence à la FS. Il faut noter que, à l'heure actuelle, les pictogrammes SGH ne peuvent pas être utilisés sur les étiquettes au Canada. Cependant, vous pouvez vous rapprocher du SGH en adoptant dès maintenant les énoncés du SGH pour ce qui est des mentions de risques et des conseils de prudence figurant sur vos étiquettes SIMDUT.


Ressources liées au SGH


Guide mauve du SGH - Annexe 3, Nations unies (PDF)

Démonstration gratuite de l'outil en ligne CANLabel : permet de créer des étiquettes du fournisseur et du lieu de travail conformes (mentions du SGH utilisées pour les étiquettes de l'OSHA et du SIMDUT)

Réponses SST, Système général harmonisé (SGH), CCHST

Le SIMDUT après le SGH : introduction, cours en ligne offert gratuitement par le CCHST

Le SIMDUT après le SGH : comment les fournisseurs peuvent s'y préparer, cours en ligne offert gratuitement par le CCHST

Le SIMDUT après le SGH : se préparer au changement, publication

Affiche de référence FS ->FDS : il ne suffit pas d'ajouter un " D "

Nouvelles de nos partenariats

Invitons nos jeunes au travailprint this article

Le 2 novembre, plus de 200 000 élèves de 9e année ou du 3e secondaire de partout au Canada se joindront à leurs parents pour la journée Invitons nos jeunes au travail. Ce programme national annuel de The Learning Partnership donne aux jeunes l'occasion de se jumeler avec un de leurs parents ou un autre adulte pour une journée de travail, afin de voir de près en quoi consiste la vie au travail. En outre, toute la collectivité des parents, des enseignants et des employeurs a la possibilité de participer au développement professionnel des jeunes Canadiens.

Chacun y trouve son compte


Élèves : Le fait de passer une journée dans un milieu de travail fait ressortir l'importance d'une bonne éducation et donne un aperçu concret des compétences requises aujourd'hui dans le monde du travail. Les élèves pourront explorer concrètement des choix de carrière. Ils pourront même en arriver à mieux apprécier la façon dont leurs parents gagnent leur vie et soutiennent leur famille.

Employeurs : Grâce à Invitons nos jeunes au travail, les employeurs peuvent manifester leur engagement envers l'éducation des jeunes - la population active de l'avenir - et présenter la gamme complète d'emplois offerts dans leur entreprise. Cette participation peut également contribuer à rehausser le moral des employés et à cultiver leur esprit d'équipe ainsi que leur fierté à l'égard de leur travail.

Parents : Le programme donne aux parents l'occasion de partager avec leur enfant une expérience qui pourra servir de point de départ à des discussions sur les choix de carrière. Ils ont ainsi la chance de lui présenter leur lieu de travail et leurs collègues. Les parents pourront enrichir l'expérience de leur enfant en s'efforçant de lui parler avant, pendant et après la visite.

Assurez la sécurité des jeunes au travail

Il est important de donner aux jeunes de l'information sur la santé et la sécurité avant leur visite du lieu de travail. Ils doivent connaître et comprendre leurs droits et leurs responsabilités à l'égard des emplois qu'ils pourraient occuper aujourd'hui et dans l'avenir. Les parents ont aussi besoin de cette information; ils doivent être au courant du travail que font leurs enfants. Ils ont intérêt à poser des questions sur les enjeux en matière de santé et de sécurité au travail ainsi que sur la façon d'y faire face en milieu de travail.

Les enseignants doivent encourager tous les participants du programme Invitons nos jeunes au travail à s'engager à passer une journée en toute sécurité. Incluez dans le formulaire d'inscription une section où les élèves attesteront avoir lu des documents sur la santé et la sécurité au travail et en avoir discuté avant de participer au programme.

À titre de préparation à la journée Invitons nos jeunes au travail, les responsables des lieux de travail doivent mener une inspection préalable dans l'optique de la sécurité des jeunes sur les lieux de travail. L'une des premières choses que doit faire l'employeur au cours de la journée Invitons nos jeunes au travail est de présenter aux élèves une séance d'orientation axée sur les questions de santé et de sécurité pertinentes à l'environnement de travail. Les élèves doivent être sous supervision pendant toute la durée de leur séjour sur le lieu de travail et ils doivent être autorisés à exécuter uniquement les tâches et les expériences pour lesquelles ils ont reçu une orientation adéquate. Dans le milieu de travail, les élèves doivent être encouragés à exprimer leurs préoccupations en matière de santé et de sécurité, à poser des questions et à faire des commentaires sur les situations qu'ils observeront au cours de la journée.

Renseignements supplémentaires

Sur le site The Learning Partnership, vous pourrez vous inscrire, télécharger des documents de même que des affiches et obtenir un complément d'information sur le programme Invitons nos jeunes au travail.

La Zone des jeunes travailleurs du CCHST propose des ressources à l'intention des jeunes travailleurs, des parents, des employeurs et des enseignants afin d'aider les jeunes à assurer leur santé et leur sécurité au travail.

Dans les nouvelles

Une ordonnance pour réduire les absences du travail chez les infirmières canadiennesprint this article

Dans un domaine où le risque d'invalidité est élevé chez les employés, les travailleurs de la santé au Canada présentent un taux d'absence du travail et de réclamations avec perte de temps de travail plus élevé que dans tout autre secteur d'activités au pays. Cette réalité est particulièrement vraie pour les infirmières qui enregistrent des taux élevés d'absence prolongée, parmi lesquelles 14 % (2005) étaient absentes des lieux de travail pour au moins 20 jours en raison d'une maladie ou d'une blessure. Une étude récente réalisée par l'Institut de recherche sur le travail et la santé (IRTS) montre que la création de milieux de travail non violents et positifs dans le domaine de la santé pourrait aider à réduire les absences prolongées au sein du personnel infirmier.

Les absences des travailleurs pour des raisons de santé constituent un problème coûteux qui donne lieu à un fardeau financier sous forme de coûts d'indemnisation et de perte de productivité, qui s'ajoute à la détérioration de l'état de santé du travailleur. Cette situation est de plus en plus fréquente. Au cours des dix dernières années, la durée des absences et les coûts qui y sont associés ont augmenté et, avec une main-d'œuvre vieillissante qui risque de présenter un nombre croissant de maladies chroniques, cette tendance devrait se poursuivre.

L'étude

L'étude, intitulée Examining the Impact of Worker and Workplace Factors on Prolonged Work Absences Among Canadian Nurses, a été publiée dans le numéro d'août 2011 du Journal of Occupational and Environmental Medicine (vol. 53, no 8, pp. 919 927). L'article réunit les données obtenues auprès de 11 762 infirmières canadiennes en soins directs dans le cadre de l'Enquête nationale sur le travail et la santé du personnel infirmier, réalisée en 2005, par Statistique Canada. Des facteurs liés à la santé individuelle et au milieu de travail des infirmières ont été examinés en tenant compte de trois catégories d'absences du travail : aucune absence, absence à court terme (de un à 10 jours) et absence prolongée (11 jours ou plus).

Dans le cadre de l'étude, on a examiné l'incidence des facteurs de santé suivants sur les travailleurs :


  1. a multimorbidité liée à la douleur (maladies chroniques simultanées);

  2. la dépression;

  3. l'intensité de la douleur liée au travail et de la douleur non liée au travail;

  4. l'interférence de la douleur dans le travail.


Sept facteurs liés au milieu de travail ont été pris en compte :

  1. la culture organisationnelle, l'autonomie au travail;

  2. le respect et le soutien sur les lieux de travail;

  3. la violence physique ou psychologique de la part de collègues de travail, de patients ou de visiteurs;

  4. l'insécurité d'emploi;

  5. la syndicalisation;

  6. le type d'établissement;

  7. les états de service.


Conclusions de l'étude

L'étude de l'IRTS montre que les conséquences les plus importantes sur la durée des absences des infirmières sont les facteurs de santé comme la douleur qui interfère avec la capacité de travailler, la douleur intense, la dépression, ainsi qu'un nombre plus élevé de maladies chroniques (comme l'arthrite, les migraines et les maux de dos). Bien que les facteurs liés au milieu de travail aient une moins grande incidence, la violence physique et la violence psychologique de la part de collègues ou de patients/de visiteurs, de même que le manque de respect et de soutien sur les lieux de travail contribuent aux absences prolongées.

L'étude se penche non seulement sur les répercussions des facteurs liés au travailleur et au milieu de travail sur l'absentéisme, mais également sur la relation qui existe entre les deux. L'effet combiné des facteurs liés au travailleur et des facteurs liés au milieu de travail représente le résultat le plus intéressant de cette étude. Par exemple, l'interférence de la douleur dans le travail, soit le facteur le plus fortement associé aux absences prolongées chez les infirmières, semble découler de facteurs liés à la fois au travailleur et au milieu de travail. Déterminer à quel point la douleur interfère dans le travail pourrait dépendre non seulement du niveau de douleur ressenti par l'infirmière, mais aussi des exigences, physiques et sociales, liées au milieu de travail. En ce qui concerne le respect et le soutien sur les lieux de travail, l'étude montre également des liens à faire entre les facteurs liés au travailleur et les facteurs liés au milieu de travail. En effet, les infirmières qui percevaient plus de respect et de soutien de la part de leurs collègues de travail ou de leurs superviseurs ont déclaré une moins forte intensité de la douleur liée au travail et elles étaient moins susceptibles de souffrir de dépression, et donc, de s'absenter du travail pour des périodes prolongées.

Comment les employeurs peuvent-ils réduire les absences prolongées?

Les conclusions de l'étude et de l'adjointe scientifique de l'IRTS, docteure Renée-Louise Franche, psychologue clinicienne de l'hôpital général de Vancouver ayant dirigé l'étude, suggèrent aux organisations de soins de santé de nombreux moyens que les peuvent utiliser pour aider à réduire les absences liées au travail en santé chez les infirmières. Parmi ceux-ci, on compte les suivants :

  • Mettre en œuvre des programmes de prévention de la violence ou améliorer ceux déjà en place. Parmi les personnes ayant participé à l'Enquête de 2005 réalisée par Statistique Canada, 57 % ont déclaré avoir été victimes de violence psychologique au travail et 31 % ont déclaré avoir été victime de violence physique au travail au cours de l'année précédente.

  • Se pencher sur les questions liées au respect, au soutien et à la culture organisationnelle. Pour les infirmières, cela peut comprendre le fait d'être autonome et le sentiment d'avoir la maîtrise de leur pratique au travail, de même que de leurs relations avec les médecins et leurs collègues de travail.

  • Axer les pratiques de gestion de l'invalidité sur les travailleurs qui sont toujours au travail, mais qui sont aux prises avec de multiples troubles de santé physique et mentale.

  • Offrir des services de gestion de la douleur et des programmes qui abordent la dépression en mettant l'accent sur le milieu de travail. Même s'il est impossible d'utiliser le milieu de travail pour maîtriser totalement la douleur et prévenir la dépression chez les travailleurs, y offrir des méthodes d'autogestion peut faciliter la résolution des problèmes. Par exemple, de plus en plus d'endroits offrent des cours de relaxation et de méditation, et ceux-ci pourraient être élargis pour comprendre des stratégies de gestion des symptômes ou des difficultés au travail.


Pour faire la lecture de l'étude, consultez le Journal of Occupational and Environmental Medicine (vol. 53, no. 8, pp. 919-927) (en anglais seulement).

Consultez aussi le site Web de l'Institut de recherche sur le travail et la santé.

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