Le rapport sur la santé et la sécuritéVol. 3, No. 11 decembre 2005

Dans les nouvelles

L'échelon suivant : la sécurité des échellesprint this article

Les chutes de toute origine, y compris les chutes d'une échelle, constituent la seconde principale cause de mort accidentelle au Canada. Les échelles sont associées à environ 2 % de tous les accidents professionnels dans les pays industrialisés. Ainsi, chaque année, environ un travailleur sur 2000 subira une blessure grave qui aurait pu être prévenue si les travailleurs avaient suivi une formation et utilisé de l'équipement approprié.

La plupart des chutes sont imputables à trois principaux problèmes : le mauvais type d'échelle a été utilisé; l'échelle était en mauvais état ou la surface sur laquelle elle a été posée n'était pas appropriée; ou l'échelle a été utilisée de manière inadéquate.

Au Canada, les nouvelles échelles sont approuvées par l'Association canadienne de normalisation et sont classées en fonction de la charge qu'elles peuvent supporter (forte, moyenne ou faible) et de l'utilisation prévue (industrie, commerce ou usage domestique). La plupart des échelles utilisées actuellement sont en bois, en aluminium ou en fibre de verre. Si vous travaillez à proximité d'une source d'électricité, n'utilisez pas une échelle en aluminium puisque ce métal conduit l'électricité.

Il faut choisir une échelle avec soin, l'utiliser de manière appropriée, la nettoyer et la conserver en bon état. Les échelles ne durent pas éternellement et il faut les vérifier attentivement de façon à détecter tout signe d'usure : montants affaiblis ou tordus, échelons ou pièces de quincaillerie lâches, patins antidérapants en plastique ou en caoutchouc usés. Cette inspection est requise quelque soit le type d'échelle utilisée - échelle simple, échelle à coulisse, escabeau, escabeau à plate-forme, échelle articulée ou échelle fixe.

Choix de l'échelle appropriée : le premier pas vers la sécurité

Les échelles simples et à coulisse doivent être appuyées sur un mur. Elles servent habituellement pour effectuer des travaux à l'extérieur. Ces échelles doivent être placées très soigneusement; une mauvaise mise en place constitue la plus grande source d'accidents. Si la base de l'échelle glisse, vous tomberez. Il faut placer l'échelle sur une surface plate exempte de glace, de neige, d'eau et de sable. L'angle étant extrêmement important, il faut s'en tenir à un angle de 75-80 degrés. Pour obtenir cette inclinaison, il faut placer le pied de l'échelle à une distance horizontale de la base de la structure équivalant à un quart de la longueur utile de l'échelle déployée. Ne montez pas au-dessus du quatrième échelon à partir du haut d'une échelle à coulisse. Si l'échelle est utilisée pour accéder à un toit plat, elle doit dépasser d'environ 1 mètre (3 pieds) au-dessus de cette surface.

Les escabeaux sont fréquemment utilisés au travail et sont pratiques à la maison. Quant aux gros escabeaux à plate-forme en métal, ils sont employés dans les entrepôts et les bâtiments industriels où une grande surface de travail stable et plate est nécessaire. Les barres d'écartement doivent être verrouillées en position ouverte et les quatre pieds doivent reposer de niveau sur le sol. Ne vous tenez pas sur les deux dernières marches d'un escabeau et appuyez vos genoux sur l'escabeau pour garder l'équilibre. Ne vous tenez jamais sur la dernière marche de l'escabeau ou sur le plateau à seau/outils. Si une échelle simple est nécessaire, n'utilisez pas un escabeau fermé à la place.

Les échelles fixes assujetties à la paroi des bâtiments, des réservoirs et des tours doivent être munies d'une enceinte de protection si l'échelle mesure plus de trois mètres (dix pieds).

Une bonne prise

Il existe plusieurs règles pour travailler en toute sécurité sur une échelle mise en place de manière appropriée. Il faut toujours maintenir trois points de contact avec l'échelle. En d'autre terme, la personne doit garder deux pieds (bien chaussés) et une main, ou deux mains et un pied en contact avec l'échelle en tout temps. Lors de l'ascension ou de la descente, faites face à l'échelle et tenez les échelons et non les montants; ainsi si vous glissez, vous aurez une meilleure prise.

Les accidents surviennent souvent lors du transport de matériaux sur l'échelle. Utilisez un câble de levage ou une ceinture de travail pour transporter les outils et l'équipement. En outre, demeurez au centre de l'échelle. En effet, une autre cause importante de chutes est la perte d'équilibre lorsqu'une personne tente d'atteindre quelque chose. Gardez votre poids entre les deux montants. Gardez à l'esprit que la boucle de votre ceinture ne doit pas dépasser les montants. En cas d'étourdissement, posez votre tête sur un échelon puis descendez lentement. La vitesse n'est définitivement pas l'élément essentiel lorsque vous utilisez une échelle.

Pour obtenir de plus amples renseignements :



Cours d'apprentissage en ligne sur la Sécurité des échelles du CCHST



Réponses SST sur la sécurité des échelles du CCHST



Alerte aux accidents émise par le Workers' Compensation Board of BC

Nouvelles du CCHST

Les Canadiens prennent position sur les maladies professionnelles print this article

Canadiens ont des opinions marquées sur le sujet et des centaines de citoyens ont saisi l'occasion de s'exprimer sur le sujet au cours d'un récent sondage effectué par le Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail (CCHST). Les résultats du sondage sont maintenant présentés sur le site Web du CCHST dans un document intitulé Reconnaître et prévenir les maladies professionnelles : stratégies et recommandations des Canadiens.

Au mois de mars 2005, le CCHST a accueilli les participants d'un forum de deux jours ayant pour thème " Nouvelles stratégies pour reconnaître et prévenir les maladies professionnelles ". Ce forum réunissait des conférenciers invités ainsi qu'une brochette de représentants des gouvernements, des employeurs, des travailleurs et employés qui participaient à des séances interactives au cours desquelles les délégués pouvaient exprimer leur opinion. Réunis en petites équipes, les participants ont proposé de nouvelles façons et soumis des recommandations se rapportant à cinq groupes de maladies professionnelles, soit les troubles musculo-squelettiques liés au travail (TMSLT), parfois appelés microtraumatismes répétés ou mouvements répétitifs, le stress, les maladies infectieuses, les affections respiratoires et les cancers professionnels. Les participants ont ainsi élaboré près de 125 recommandations en vue d'améliorer la reconnaissance des maladies professionnelles, la prévention et les méthodes de contrôle de l'exposition aux risques de même que les outils et les approches concrètes visant à prévenir ou à enrayer les maladies et blessures d'origine professionnelle.

Le CCHST a par la suite présenté ces recommandations sur un site Web consacré à la question, sous la forme d'une série de sondages, et il a invité tous les Canadiens à y répondre afin de faire connaître leur opinion. Le CCHST a reçu des Canadiens 911 propositions additionnelles et environ 17 000 votes au total concernant les maladies professionnelles.

Le CCHST s'est efforcé de lancer, à l'échelle nationale, une discussion franche et ouverte sur la question des maladies professionnelles qui ne se limitera pas à une mise en commun de l'information et à l'expression du souhait d'éliminer ce problème. L'objectif de cette rencontre devait être l'obtention de résultats et la définition de solutions concrètes pouvant un jour permettre d'enrayer les maladies professionnelles au Canada.

Les conclusions varient sensiblement selon qu'elles représentent des gouvernements, des employeurs, des travailleurs et des employés ou d'autres groupes, et portent tout autant sur des aspects généraux que sur des questions spécifiques. Le document du CCHST fournit des renseignements détaillés sur les diverses recommandations, en précisant l'importance qui leur a été accordée tant par les participants du forum que durant le sondage effectué en ligne sur le Web à l'échelle du pays.

Le nombre de propositions soumises étonne à prime abord; toutefois une discussion à laquelle participent un aussi grand nombre d'intéressés est une indication très claire de la priorité que les travailleurs canadiens, leurs gouvernements, leurs employeurs et leurs représentants syndicaux accordent à la question des maladies professionnelles.

Cliquer sur ce lien pour télécharger les résultats du sondage présentés dans le document du CCHST intitulé Reconnaître et prévenir les maladies professionnelles : stratégies et recommandations des canadiens.

Réponses SST

Les dangers publics, fiers-à-bras et tyrans : prière de s'abstenirprint this article

Il est toujours triste de rappeler que les employés et le travailleurs peuvent parfois croiser ou côtoyer une personne hostile, voire même dangereuse, sur les lieux de travail. Bien que la menace d'agression physique ou de sévices émotionnels existe depuis aussi longtemps de l'homme, le monde de la santé et de la sécurité au travail de même que la loi et les employeurs reconnaissent maintenant que toutes les formes de violence - même les moins évidentes, celles qui relèvent de l'aspect émotif ou psychologique - sont inacceptables sur les lieux de travail.

Aucun travailleur ne devrait craindre ni anticiper l'une ou l'autre forme d'abus, de menaces, de manœuvres d'intimidation ou d'agression pendant qu'il s'acquitte de ses taches. La définition de violence au travail englobe beaucoup plus que les gestes et les actes physiques tels que frapper, pousser, bousculer ou brutaliser. Sont tout aussi inadmissibles les comportements menaçants tels que de saisir les poignets d'une personne et de la secouer; de lancer ou de briser des objets; d'exprimer verbalement ou par écrit l'intention de faire du mal; les attitudes qui humilient, embarrassent, importunent, alarment, effraient ou exploitent verbalement une personne; les insultes, les injures et les propos condescendants.

Bien que la reconnaissance constitue la première étape en vue de trouver des solutions au problème de la violence au travail, l'engagement de la direction est le composant principal de tout programme de prévention. Le meilleur moyen, pour la direction d'une entreprise, de faire connaître cet engagement consiste à rédiger une politique officielle à ce sujet.

La politique élaborée par des représentants des employés et de la direction énonce, en termes clairs, la position de l'organisation à l'égard de la violence en milieu de travail ainsi que son engagement à en assurer la prévention.

Cette politique doit définir ce qu'est la violence en milieu de travail dans un langage précis et concret, et elle doit fournir des exemples clairs de comportements et de conditions de travail inacceptables, en indiquant les conséquences que peuvent entraîner d'éventuelles menaces ou actes de violence. Elle doit faire référence aux prescriptions des réglementations applicables et viser les gestionnaires, les employés , les clients, les entrepreneurs indépendants ainsi que toute personne traitant avec l'entreprise.

Une politique de prévention de la violence en milieu de travail doit favoriser la déclaration de tous les actes de violence et préciser de quelle manière et à quelle personne les employés peuvent signaler un incident en toute confidentialité. Elle doit comprendre une marche à suivre détaillée concernant les modalités d'enquête et de résolution des plaintes. La direction de l'entreprise doit enfin garantir aux employés, dans le texte même de la politique, qu'ils ne feront l'objet d'aucune mesure de représailles s'ils déclarent un incident de cette nature.

La politique est un moyen privilégié pour la direction de faire connaître certains engagements, tels que transmettre à ses employés divers renseignements relatifs aux risques de violence, élaborer des mesures de prévention, offrir un programme d'aide aux employés (PAE) confidentiel, fournir des services de soutien aux victimes de violence, assurer la formation des employés en matière de prévention de la violence et enfin assurer un suivi et une révision périodiques de la politique sur la prévention de la violence.

Une politique écrite sur la violence au travail informe tous les membres du personnel sur les types de comportements (violence, intimidation, harcèlement, agressivité ou autres) que l'entreprise juge inappropriés ou inadmissibles dans un milieu de travail. Elle expose comment procéder en cas d'incident et énumère les personnes-ressources qu'il faut aviser, le cas échéant.

Le Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail (CCHST) offre davantage de renseignements sur les divers facteurs liés au travail pouvant accroître le risque de violence, les groupes professionnels les plus exposés à ce types de risques, la façon d'évaluer si votre lieu de travail est propice à de tels incidents et des exemples de mesures de prévention et enfin la législation portant spécifiquement sur la prévention de la violence au Canada.

Ouvrez l'œil afin de ne pas manquer l'annonce, d'ici le printemps 2006, de deux nouveaux cours en ligne offerts sous peu par le CCHST : " La violence en milieu de travail - savoir reconnaître le problème " et " La violence en milieu de travail - comment l'enrayer ".

Réponse SST intitulée Violence en milieu de travail



Guide du CCHST intitulé Prévention de la violence en milieu de travail

Alertes au danger

Le NIOSH émet de nouvelles recommandations visant le port de lentilles cornéennesprint this article

Depuis 1978, le National Institute for Occupational Safety and Health (NIOSH) recommande aux travailleurs de ne pas porter de lentilles cornéennes s'ils travaillent avec des produits chimiques pouvant irriter ou endommager les yeux. Toutefois, au cours des dernières années, plusieurs organismes (y compris l'American Optometric Association, l'American College of Occupational and Environmental Medicine, l'American Academy of Ophthalmology, l'American Chemical Society et Prevent Blindness America) ont émis de nouvelles lignes directrices qui suppriment la plupart des restrictions antérieures visant le port de lentilles cornéennes lorsqu'il y a un risque d'exposition à des produits chimiques.

À la lumière de ces nouvelles lignes directrices, et en raison du manque de données prouvant que le port de lentilles cornéennes en présence de produits chimiques est dangereux, le NIOSH a émis un Current Intelligence Bulletin (CIB) afin de diffuser les nouvelles données scientifiques et d'émettre de nouvelles recommandations.

Le NIOSH recommande de permettre aux travailleurs qui manipulent des produits chimiques de porter des lentilles cornéennes, à la condition que les lignes directrices suivantes soient respectées :


  1. Effectuer une évaluation du risque de blessure aux yeux sur le lieu de travail, laquelle comprend une évaluation de l'exposition aux produits chimiques (tel qu'exigé par la norme de l'OSHA sur l'équipement de protection individuelle [Standards 29 CFR * 1910.132]); une évaluation des lentilles cornéennes; et une évaluation de l'équipement de protection des yeux et du visage destiné aux porteurs de lentilles cornéennes.



    L'évaluation du risque de blessure aux yeux devrait être effectuée par une personne compétente et qualifiée, comme un hygiéniste industriel agréé, un professionnel de la sécurité agréé ou un toxicologue.


  2. Fournir l'équipement de protection des yeux et du visage approprié à tous les travailleurs exposés à un risque de blessure aux yeux, qu'ils portent des lentilles cornéennes ou non.


  3. Établir une politique écrite qui présente les mesures de sécurité générales visant le port de lentilles cornéennes, y compris l'équipement de protection des yeux et du visage requis et toutes les restrictions sur le port de lentilles cornéennes applicables à certains espaces de travail ou à certaines tâches.


  4. Se conformer à la réglementation en vigueur de l'OSHA sur le port de lentilles cornéennes et sur la protection des yeux et du visage.


  5. Avertir les travailleurs et les visiteurs lorsqu'il y a des zones où le port de lentilles cornéennes est restreint.


  6. Donner les noms de tous les porteurs de lentilles cornéennes qui sont exposés à des produits chimiques aux superviseurs pour s'assurer que l'évaluation du risque est complète et que l'équipement de protection des yeux et les fournitures de premiers soins appropriés sont disponibles.


  7. Donner une formation au personnel médical et aux secouristes sur la façon d'enlever les lentilles cornéennes et s'assurer que l'équipement approprié est disponible.


  8. En cas d'exposition à des produits chimiques, procéder immédiatement à l'irrigation oculaire et enlever les lentilles cornéennes aussi rapidement que possible. Ne pas attendre que les lentilles soient enlevées pour commencer. l'irrigation


  9. Demander aux travailleurs qui portent des lentilles cornéennes d'enlever ces dernières dès les premiers signes de rougeur ou d'irritation. Les travailleurs ne doivent enlever leurs lentilles cornéennes que dans un endroit propre et qu'après s'être lavé les mains à grande eau.


  10. Évaluer les restrictions visant le port de lentilles cornéennes au cas par cas, en prenant en compte les exigences concernant la vue de chaque travailleur établies par un ophtalmologue ou un optométriste professionnel.


Ces recommandations s'appliquent aux milieux de travail présentant des risques chimiques. Elles ne tiennent pas compte des risques causés par la chaleur, les rayonnements ou des milieux à taux élevés de poussières ou de particules. Le NIOSH recommande ces mesures seulement si le port de lentilles cornéennes n'est pas interdit par un règlement ou contre-indiqué par des recommandations médicales ou industrielles.

Lire le Current Intelligence Bulletin en vigueur du NIOSH (anglais seulement)

Obtenir plus d'information sur les premiers soins à prodiguer en cas d'exposition à des produits chimiques dans la fiche du CCHST intitulée La fiche signalétique - Un guide pratique en matière de premiers soins

Lire la Réponse SST intitulée Le port de lentilles cornéennes au travail

Lire le American College of Occupational and Environmental Medicine Guideline on: The Use of Contact Lenses in an Industrial Environment (anglais seulement)

Nouvelles sur nos partenariats

Pour ne pas sombrer dans la mer de l'information: La Bibliothèque des inspecteurs de navire sur CD-ROMprint this article

Pour ceux qui travaillent dans la sécurité maritime, La Bibliothèque des inspecteurs de navire sur CD-ROM est un outil précieux, tout particulièrement pour les personnes à bord de navires dans des régions éloignées et qui n'ont pas accès à l'Internet. Il était peu pratique, auparavant, d'emmener avec soi des publications imprimées, et obtenir de l'information précise prenait beaucoup de temps. Reconnaissant le besoin de rendre cette information accessible à ces travailleurs maritimes, le Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail (CCHST) et Transports Canada, Sécurité maritime, ont créé en collaboration un CD-ROM d'information personnalisé, accessible en tout temps, partout où l'on peut utiliser un ordinateur.

Contenant plus de 11 000 documents, la Bibliothèque des inspecteurs de navire est une collection complète de publications, formulaires, lois et normes, personnes-ressources et sources liées, soit de l'information essentielle en une seule source. La plupart des documents sont disponibles en français et en anglais et les utilisateurs peuvent choisir de travailler dans la langue de leur choix. Il est facile de trouver de l'information particulière sur le CD; on peut choisir une catégorie, telle que les publications de la Sécurité maritime et en parcourir la liste, ou faire une recherche dans toute la collection. Mise à jour deux fois par an, la Bibliothèque des inspecteurs de navire est diffusée aujourd'hui pour la 7e fois.

La Bibliothèque des inspecteurs de navire a été très bien reçue par ses utilisateurs, qui en font les louanges.
"The inspector bookshelf .. is the best tool I have seen in a long time. It provides quick reference to an incredible amount of information. I hope the inspectors out there will learn to use it to its full extent." Berthier Pineau, Ottawa. C'est aussi l'outil de référence par défaut utilisé par le Programme national de formation de Transports Canada (maritime) pour la prestation de cours de formation des inspecteurs maritimes.

Nommée en 2004 pour un prix GTEC (technolgoie du gouvernement) dans la catégorie intitulée " Améliorer les opérations gouvernementales ", la Bibliothèque des inspecteurs de navire est un exemple parfait de la façon dont le CCHST et ses partenaires de la Sécurité maritime ont travaillé ensemble pour créer une solution innovatrice et éprouvée d'amélioration de l'accès à l'information.

Le CCHST a un long passé de collaboration avec ses partenaires en vue de personnaliser et de créer des produits et des services qui répondent à leurs besoins particuliers en matière de santé et de sécurité au travail, de ressources, et de formation.

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