Le rapport sur la santé et la sécuritéVol. 4, N^o. 4 avril 2006

Peu importe le nom qu'on lui donne - programme de prévention des risques, analyse de la sécurité des tâches ou évaluation des risques - le système de reconnaissance et de maîtrise des risques est une étape importante dans l'obtention d'un milieu de travail plus sûr. Depuis le 14 décembre 2005, c'est aussi prescrit par la Partie II du Code canadien du travail.

En vertu du nouveau Règlement, l'employeur doit effectuer une évaluation des risques en milieu de travail et des examens réguliers du programme, en plus d'en assurer continuellement le suivi.

On entend par " évaluation des risques " une analyse poussée du milieu de travail afin de cerner les objets, les situations et les procédés qui pourraient être dangereux, surtout pour les personnes. Muni de ces renseignements, l'employeur est plus apte à contrôler ou à éliminer les risques dans le milieu de travail.

L'évaluation des risques permet de définir les risques et les dangers dans votre milieu de travail, les personnes touchées, le caractère adéquat des mesures de contrôle existantes, le cas échéant, les risques auxquels on doit remédier sur-le-champ et les moyens de prévention des blessures et de la maladie. Voici comment faire :

Cerner les risques

Votre équipe d'évaluation des risques devrait être composée de superviseurs de même que de travailleurs qui connaissent bien les procédés. Cette équipe devra examiner tous les aspects du travail. Y a-t-il eu des accidents ou des accidents évités de justesse? Prenez-en note. Comment le travail est-il fait ou organisé? Qui fait le travail? Quel âge et combien d'années d'expérience ces personnes ont-elles? En cas d'urgence, y a-t-il risque de problème en raison de certains éléments manquants? La population ou les visiteurs sont-ils en danger? Étudiez tous les aspects de toutes les tâches dans leurs moindres détails.

L'analyse de la sécurité des tâches est une façon efficace de cerner les risques. Le document Analyse simplifiée de la sécurité des tâches, publié conjointement par le Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail (CCHST) et le Programme du travail de Ressources humaines et Développement des compétences Canada (RHDCC), fournit des lignes directrices utiles pour ce faire.

Classer les risques d'après leur degré de gravité

La gravité d'un risque dépend de plusieurs facteurs, y compris le nombre de personnes exposées, la fréquence d'exposition, la gravité des conséquences et la probabilité de lésions ou de dommages. Renseignez-vous autant que possible sur chaque risque.

Avoir un plan d'action

Décidez en équipe des façons de contrôler chacun des risques. Ce processus demande beaucoup de temps, mais est très efficace. Les quatre principaux moyens de maîtriser un risque sont : l'élimination ou la substitution, les mesures d'ingénierie, les mesures administratives et autres et, en dernier recours, le port d'équipement de protection individuelle.

Évaluer, assurer le suivi et rendre des comptes

Le ministre du Travail exige que l'employeur soumette, au moins tous les trois ans, un rapport des progrès de son programme de gestion des risques. Apportez des modifications à votre programme selon les besoins, quand vous entamez un nouveau projet, quand vous apportez un changement au déroulement des opérations ou aux procédés, quand vous intégrez de l'équipement ou des produits chimiques et autres substances dangereuses, quand vous embauchez de nouveaux employés, quand vous relocalisez vos installations ou que vous disposez de nouveaux renseignements sur un produit utilisé dans le milieu de travail. Gardez un dossier de toutes les évaluations des risques que vous faites. Documentez chaque risque cerné, les mesures de contrôle adoptées et la façon dont vous assurez le suivi.

Une fois l'évaluation en cours, vous aurez la satisfaction de contribuer à améliorer grandement la sécurité des travailleurs au sein de votre organisation. Vous serez également assuré d'être en règle par rapport à la réglementation sur la santé et la sécurité au travail.

Plus amples renseignements sur l'Analyse simplifiée de la sécurité des tâches

Une mauvaise soudure. Des souliers sans crampons. Une veste trop ample. Voilà des détails qui, à prime abord, semblent insignifiants et qui ont dernièrement causé deux graves accidents de travail en Colombie-Britannique.

Alors qu'il sortait un chargement de pierres d'un site de dynamitage, un jeune travailleur n'a pas réussi à faire ralentir le camion-remorque à pierres qu'il conduisait. Les freins ont lâché alors que le camion descendait un nouveau chemin d'exploitation abrupt. Le travailleur a essayé de ralentir son camion en le dirigeant dans le fossé. Mais le camion s'est renversé, a glissé le long du fossé et frappé un gros affleurement rocheux. Le conducteur a été projeté à l'extérieur du camion et une grosse pierre de son chargement l'a frappé. La blessure a été fatale. Le jeune travailleur en question n'avait pas un an d'expérience.

Selon l'enquête, les freins ont lâché parce que la barre stabilisatrice de l'essieu arrière s'est détachée du carter en raison d'une mauvaise soudure.

Dans une alerte publique au danger, WorkSafe BC recommande des pratiques de travail sûres aux travailleurs de la construction, dont les suivantes :

Former les conducteurs de camions-remorques à pierres sur les manœuvres sécuritaires dans les chemins d'exploitation et dans les fortes pentes. Plutôt que de réparer temporairement les pièces défectueuses pour en prolonger la durée de vie, les remplacer par des pièces neuves.

Toute soudure doit être faite par une personne qualifiée respectant les normes adéquates. L'équipement doit en outre être réparé et entretenu selon les recommandations du fabricant et les normes applicables. Enfin, veiller à ce que les conducteurs portent leur ceinture de sécurité.

De son côté, un travailleur forestier de la Colombie-Britannique a bien failli perdre la vie dans le cadre de son travail. On avait installé plusieurs dispositifs de tension pour soutenir l'arbre recevant le hauban arrière pour les activités de débusquage par câble-grue à grappin. Une fois le débusquage terminé, on a demandé au travailleur de retirer ces dispositifs. Alors qu'il enlevait le troisième, le travailleur a glissé et est tombé sur le terrain abrupt. Il a ainsi perdu le contrôle du dispositif et sa veste s'est enroulée autour de celui-ci.

L'opérateur de treuil de téléphérage à grappin a entendu la respiration irrégulière du travailleur sur son émetteur radio et il a alerté un collègue à proximité de l'accident. Quand celui-ci est arrivé sur les lieux, le travailleur ne respirait plus. Mais, à l'aide de techniques de base en premiers soins, il a pu ranimer le travailleur avant l'arrivée des secours.

Encore une fois, WorkSafe BC demande aux travailleurs forestiers de respecter les pratiques de sécurité suivantes :

Autant que possible, demander à deux travailleurs d'installer et d'enlever les dispositifs de tension. Communiquer avec l'opérateur de treuil de téléphérage à grappin avant de commencer cette tâche. S'assurer d'être en position stable. Utiliser un minimum de deux dispositifs (avantage mécanique 4 :1). Un câble de tension, s'il est bien installé, ne devrait nécessiter que de trois à quatre rotations pour donner la bonne tension. Les poteaux devraient être autant que possible à angle droit par rapport au câble afin de maximiser l'effet de levier et le contrôle. Éviter de porter des vêtements amples quand on travaille avec des dispositifs de tension. On recommande aux travailleurs forestiers de suivre une formation en premiers soins supérieure aux exigences minimales établies dans la réglementation.

Pour consulter les avis originaux :


Perte de contrôle fatale d'un camion (en anglais seulement)

Travailleur forestier pris dans un dispositif de tension (en anglais seulement)

Chaque fois que vous devez mettre votre main ou toute autre partie de votre corps près d'une zone dangereuse à proximité d'une machine - qu'elle soit ou non en marche - vous risquez de l'activer accidentellement. Aucune tâche ne vaut un tel risque.

Le cadenassage est une procédure de sécurité essentielle qui empêche l'équipement, la machine ou tout procédé de blesser les travailleurs. Les personnes responsables de l'entretien, de la réparation et du nettoyage de la machinerie et du remplacement des pièces risquent de se blesser gravement si celle-ci n'est pas cadenassée. Chaque année au Canada, des travailleurs sont blessés ou tués parce que l'équipement, la machinerie ou les procédés n'étaient pas cadenassés correctement.

Le nouveau cours en ligne du CCHST donne un aperçu général du cadenassage. Ce cours aide les personnes à reconnaître les situations dangereuses et à déterminer à quels moments ou dans quelles circonstances le cadenassage est nécessaire pour maîtriser les risques posés par les sources d'énergie électrique ou les autres formes d'énergie sous tension.

Le cours en ligne Le cadenassage montre comment cerner et contrôler l' énergie dangereuse dans le milieu de travail et explique l'importance de mettre en œuvre un système de cadenassage et le but de celui-ci. D'une formule conviviale, le cours illustre les concepts du cadenassage à l'aide d'études de cas et d'autres exemples inspirés de situations réelles. Des modèles de formulaires et de listes de vérification, de même que des questionnaires, rendent le cours pratique et interactif. Les participants doivent aussi se soumettre à un examen à la fin du cours pour évaluer les connaissances acquises.

Les gestionnaires, les superviseurs, les travailleurs, les gérants des installations, les membres de comités de santé et sécurité au travail, de même que toute autre personne qui souhaite en apprendre davantage sur les moyens de contrôler l'énergie dangereuse en milieu de travail bénéficieront de ce cours en ligne. La formule pratique des cours offerts sur le Web permet à tous les participants d'apprendre de leur ordinateur, à leur rythme. Il suffit de 50 à 60 minutes pour acquérir une bonne connaissance de l'énergie dangereuse et des moyens de la contrôler par l'intermédiaire de procédures de cadenassage. Les participants apprendront aussi à reconnaître l'importance des programmes de santé et sécurité au travail, y compris de la formation.

Tous les cours et les produits d'information du CCHST sont revus par des représentants des travailleurs, des employeurs et du gouvernement afin de veiller à leur exactitude et à leur objectivité.

Pour de plus amples renseignements sur les coûts et la façon de s'inscrire au cours en ligne Le cadenassage, veuillez consulter le site Web du CCHST :
www.cchst.ca/products/courses/lockout/

Qu'est-ce que le SGH?

Le sigle SGH désigne Système général harmonisé de classification et d'étiquetage des produits chimiques. Comme le SIMDUT, le SGH présente une approche systématique de la définition et de la classification des risques d'une part et, d'autre part, de la transmission des renseignements relatifs à la santé et à la sécurité sur les étiquettes et les fiches signalétiques (FS) des produits. Il a été conçu dans le but d'être adopté et utilisé dans l'ensemble du pays. Le Canada a fait partie de l'équipe internationale d'experts en matière de renseignements concernant les risques chargée de l'élaboration du SGH.

Quelle est la portée du SGH?

Le SGH est plus exhaustif que le SIMDUT en ce sens qu'il s'appliquera à un plus grand nombre de lieux de travail. Il vise aussi l'ensemble des produits chimiques au cours de leur transport, les produits chimiques destinés à la consommation et enfin les produits chimiques exemptés en partie ou en totalité aux termes du SIMDUT, tells que les produits antiparasitaires, les produits pharmaceutiques, les explosifs et les produits de consommation. Les groupes intéressés par le SGH comprennent les travailleurs, les ouvriers du secteur du transport, les intervenants en situation d'urgence et les consommateurs.

Quel est l'échéancier prévu pour la mise en application du SGH au Canada?

La date cible retenue en vue de la mise en application du SGH au Canada est l'année 2008. L'annonce officielle de l'adoption du SGH par le gouvernement canadien est attendue dans la dernière partie de l'année 2006.

Que signifie l'adoption du SGH , à l'égard du SIMDUT, pour votre organisation?

Chaque pays est libre de déterminer quelles parties du SGH seront utilisées dans divers secteurs - lieux de travail, industrie du transport, consommateurs _ et c'est précisément ce que le Canada est en train de faire. Si le SGH est adopté pour certaines catégories et certaines classes de risques, les règles correspondantes en matière de classification et de renseignements relatifs à l'étiquetage doivent également être utilisées. Il n'existe pas de tables d'équivalence comme telles entre les classifications SIMDUT et SGH; il est clair, néanmoins, que le SGH prévoit un plus grand nombre de catégories de risques que le SIMDUT actuellement en vigueur.

Les fabricants de produits chimiques devront classifier leurs produits en fonction des nouvelles règles du SGH en ce qui concerne les catégories et les classes de risques employées au Canada. Vous devrez trouver et interpréter les données d'après les nouvelles règles de classification. Vos fiches signalétiques (FS) devront être révisées et modifiées ou encore réécrites, selon leur ressemblance actuelle au format et au contenu exigés pour les nouvelles fiches signalétiques. Si vous utilisez déjà le format ANSI à 16 rubriques, les modifications requises pour rendre vos fiches conformes aux exigences du SGH seront moins importantes, les fiches du SIMDUT contenant seulement 9 rubriques. Vous devrez préparer de nouvelles étiquettes conformément aux instructions du SGH en matière d'étiquetage, puisque ces dernières diffèrent de celles du SIMDUT.

De plus, les fabricants qui exportent leurs produits chimiques devront déterminer quelles sont les exigences en vigueur dans les pays auxquels sont destinées ces exportations. Des efforts sont accomplis en vue d'assurer la plus grande uniformité possible entre les partenaires commerciaux, mais l'on estime que certaines variations seront observées d'un pays à un autre, selon les catégories et les classes de risques que chaque pays, voire chaque secteur de l'industrie du pays, choisira d'utiliser.

La révision et la modification des nouvelles fiches signalétiques constitueront une très grosse tâche pour les fabricants de produits chimiques Les utilisateurs de ces produits devraient s'attendre à recevoir une grande quantité de fiches nouvelles au fur et à mesure que le nouveau système sera mis en application. La gestion de ces fiches signalétiques posera un défi de taille tant aux fabricants qu'aux utilisateurs de produits chimiques.

La formation représentera également une entreprise considérable pour les fabricants des produits chimiques et leurs utilisateurs. Les travailleurs devront se familiariser avec les nouvelles catégories de risques et la disposition différente des FS du SGH, en plus de comprendre les renseignements devant figurer sur les nouvelles étiquettes et sur les FS.

Ressources additionnelles :


CCHST - Réponses SST

Nations Unies - Information sur la classification, les étiquettes et les fiches signalétiques SGH

Santé Canada - Détails relatifs à l'adoption du SGH au Canada

Chacun de nous ne souhaite-t-il pas être valorisé, respecté et heureux dans son milieu de travail? Ne désirons-nous tous pas travailler dans un environnement sain et sécuritaire? Les études ont à maintes reprises démontré que nous sommes habituellement plus travaillants et plus productifs lorsque notre lieu de travail peut être qualifié de " milieu de travail sain ". La création de milieux de travail où les gens peuvent évoluer sans risque pour leur santé et travailler en toute sécurité demeure le principal objectif d'un programme d'activités s'échelonnant sur toute une semaine, appelée la Semaine nord-américaine de la sécurité et de la santé au travail. Ainsi, du 30 avril au 6 mai, les entreprises et les collectivités de tous les coins du Canada, des États-Unis et du Mexique multiplient leurs efforts pour sensibiliser davantage leur entourage aux questions de santé et de sécurité au travail, et pour aider à prévenir les blessures et les maladies professionnelles.



Le slogan de la Semaine nord-américaine de la sécurité et de la santé au travail 2006 est Revoir. Renouveler. Revitaliser. C'est, pour chacun d'entre nous, une occasion privilégiée d'examiner en profondeur nos milieux de travail et de veiller à ce que les politiques, les méthodes et les marches à suivre appropriées soient respectées afin de bâtir une culture de la santé et de la sécurité, et de cerner les changements qui contribueront à prévenir les blessures et les maladies éventuelles. Avec ce thème présent à l'esprit, la ressource oeuvrant à l'échelle nationale, le Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail (CCHST) offre une gamme de webinaires gratuits à tous les Canadiens afin de les inciter à participer à la Semaine de la sécurité et de la santé au travail.

Des présentations effectuées par le personnel expert du CCHST traiteront, tout au long de la Semaine, d'une vaste gamme de sujets. Le seul équipement dont vous avez besoin pour participer est un ordinateur équipé de hauts-parleurs et un accès au réseau Internet (Web). Le nombre de " places " virtuelles est limitée; nous vous invitons donc à vous inscrire rapidement!

Réunissez les membres de votre comité de santé et de sécurité au travail, les gestionnaires, les superviseurs ainsi que les professionnels de la santé et de la sécurité autour de la table de votre salle de réunion ou de votre salle de conférence en vue de participer à une séance. Une telle rencontre peut même servir de point de départ pour lancer votre propre activité en vue de souligner la Semaine nord-américaine de la sécurité et de la santé au travail 2006 ou, tout au moins, constituer la trame de discussions fructueuses.

Le calendrier des webinaires offerts et des sujets dont ils traiteront est affiché sur le site Web du CCHST. Bien que d'autres sujets s'ajouteront au cours des jours qui viennent, vous pouvez dès maintenant vous inscrire aux webinaires suivants :

Codes de bonnes pratiques SST (1 heure)

Depuis près de dix ans, les " codes de bonnes pratiques " en milieu de travail ont été au cœur des efforts accomplis en vue d'améliorer la performance en matière de santé et de sécurité. Le CCHST a lancé au fil des ans un certain nombre de projets afin de faire connaître les bonnes pratiques s'appliquant à différents aspects de la santé et de la sécurité au travail. Le CCHST a ainsi défini les principales ressources offertes sur le Web, les stratégies permettant de définir les bonnes pratiques et divers moyens de partager vos codes de bonnes pratiques avec d'autres professionnels canadiens du réseau SST.

Programme d'orientation des travailleurs au Canada (1 heure)

Aux termes de la loi, des programmes d'orientation en matière de santé et de sécurité doivent obligatoirement être offerts aux travailleurs et ils constituent une occasion unique de donner une formation pratique parfaitement adaptée aux nouveaux employés et aux employés à qui l'on a confié de nouvelles responsabilités. Toutefois, de nombreux employeurs de petites et moyennes entreprises ne savent pas très précisément quels sujets doivent être abordés au cours de ce type d'orientation et quels sont les meilleurs moyens de donner une telle formation. Le CCHST étudie la situation canadienne ainsi que différentes stratégies visant à permettre à votre entreprise d'identifier systématiquement ses besoins en matière d'orientation en santé et sécurité, et d'appui à la formation.

La violence en milieu de travail : sensibilisation (20 minutes)

Le CCHST présente un survol des conseils et des méthodes de prévention de la violence en milieu de travail! Ce webinaire est une visite virtuelle de ce cours d'apprentissage en ligne du CCHST, lequel vous aide à promouvoir la sensibilisation à cette importante question. La violence en milieu de travail : sensibilisation prépare la voie aux autres cours en ligne du CCHST respectivement intitulés La violence au travail : reconnaître les risques et prendre les mesures appropriées et La violence au travail : établir un programme de prévention.

Autres activités

Au Canada, le lancement de la Semaine nord-américaine de la sécurité et de la santé au travail aura lieu à Vancouver, en Colombie-Britannique, lundi le 1er mai 2006.

La Semaine de la sécurité et de la santé peut devenir, pour les entreprises, une occasion privilégiée de parfaire leurs connaissances relatives à la sécurité des lieux de travail en organisant ou en participant à une activité SST - depuis les ateliers de formation aux activités communautaires en passant par divers types de concours - conçue en vue de favoriser une sensibilisation accrue. Le site Web de la Semaine nord-américaine de la sécurité et de la santé au travail fourmille d'idées, de suggestions et de ressources que chacun de nous peut télécharger.

Visitez le site Web de la santé et de la sécurité : www.naosh.ca/french/


Les modalités d'inscription et autres détails relatifs aux webinaires figurent sur le site Web du CCHST : www.cchst.ca/education/webinars/