Le rapport sur la santé et la sécuritéVol. 6, No. 3 mars 2008

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Mieux respirer au travailprint this article

La respiration sifflante, la toux, l'essoufflement et la sensation d'oppression dans votre poitrine sont tous des symptômes d'asthme. Et votre travail est peut-être ce qui vous rend malade.

Il peut s'avérer difficile de savoir si votre travail provoque l'asthme. Mais si en travaillant vous inhalez des fumées, des gaz, de la poussière ou d'autres substances potentiellement nocives, vous pourriez être à risque de souffrir d'asthme professionnel. Les symptômes peuvent apparaître des heures après votre arrivée au travail ou même après l'avoir quitté. En ce qui concerne l'asthme professionnel, un travailleur, préalablement en bonne santé, peut manifester des symptômes d'asthme pour la première fois, ou une personne déjà asthmatique peut aggraver son état à la suite d'expositions en milieu de travail. Des symptômes qui s'intensifient au cours de la semaine de travail, régressent la fin de semaine ou en vacances, et reprennent de plus belle dès votre reprise du travail pourraient être le signe que vous souffrez d'asthme professionnel.

Quelles sont les causes et qui sont les personnes à risque?

L'asthme professionnel demeure la première cause de maladie pulmonaire professionnelle dans les pays en développement, et d'après un rapport récent provenant de l'Europe, il peut représenter le quart des nouveaux cas d'asthme. Plus de 350 produits chimiques, de mélanges et de procédés que l'on trouve en milieu de travail sont liés aussi bien à de nouveaux cas d'asthme qu'à l'aggravation de cet état chez les travailleurs.

Si vous fumez, vous risquez davantage de souffrir d'asthme à la suite d'une exposition en milieu de travail. Par le passé, les expositions à la farine, à la poussière de bois et aux céréales causaient les problèmes respiratoires. Maintenant, de nouvelles sources d'asthme professionnel font leur apparition, dont le latex et divers produits chimiques utilisés dans la fabrication.

Substances courantes qui causent l'asthme professionnel *




Substance
Travailleurs à risque

Acrylate
Manipulateurs de colles

AminesManipulateurs de laques et de gommes-laques, esthéticiennes

Anhydrides
Utilisateurs de plastiques et de résines époxydes

Protéines animales
Animaliers, vétérinaires, agriculteurs

Grains de céréales
Boulangers, travailleurs de meunerie

Chloramine T
Concierges, personnel de nettoyage

Médicaments
Travailleurs de l'industrie pharmaceutique, professionnels de la santé

Teintures
Travailleurs de l'industrie du textile

Enzymes
Travailleurs de l'industrie des détergents et de l'industrie pharmaceutique, boulangers

Flux
Travailleurs de l'électronique

Formaldéhyde, glutaraldéhyde
Personnel hospitalier

Gommes végétales
Tapissiers, travailleurs de l'industrie pharmaceutique

Isocyanates
Pistoleurs, poseurs d'isolants, travailleurs de l'industrie des plastiques, des mousses et du caoutchouc

Latex
Professionnels de la santé

Métaux
Soudeurs, travailleurs de l'industrie du raffinage, travailleurs de l'imprimerie

Persulfate
Coiffeurs

Produits de la mer
Travailleurs des usines de transformation des produits de la mer

Poussière de bois
Travailleurs forestiers, menuisiers, bûcherons, ébénistes, travailleurs de la construction

Pesticides, engrais
Agriculteurs, employés de silos à grain



*Source : American Academy of Allergy, Asthma and Immunology

Les résultats de l'European Community Respiratory Health Survey, publiés en juillet 2007, montrent que le personnel infirmier, les travailleurs de l'imprimerie, les travailleurs du bois, les ouvriers agricoles et forestiers, et les préposés à l'entretien ménager courent un plus grand risque de souffrir d'asthme professionnel que la population en général. On croit que le taux élevé d'asthme observé chez le personnel infirmier serait causé par l'exposition à des substances sensibilisantes, à des allergènes respiratoires et à des irritants, dont les agents stérilisants et les désinfectants.

Il n'y a pas de durée prédéterminée d'exposition aux allergènes ou aux irritants associée au déclenchement des symptômes d'asthme. Il peut s'écouler des mois, voire des années, avant que l'asthme professionnel se manifeste. Cependant, dans les cas d'inhalation aiguë, une exposition intensive aux fumées ou aux poussières peut déclencher l'asthme immédiatement ou dans les 24 heures qui suivent l'exposition. L'équipe de recherche européenne a constaté que le risque de souffrir d'asthme triple à la suite d'incidents comme un incendie, le mélange de produits de nettoyage ou un déversement de produits chimiques.

Que pouvons-nous faire?

  • Remplacez les matières dangereuses par des substances moins nocives. Lorsqu'il est impossible de le faire, l'exposition à ces matières doit être réduite au minimum grâce à des mesures d'ingénierie comme la ventilation et l'isolement des procédés.

  • Les employeurs doivent enseigner aux travailleurs les procédures de manutention, les mesures de prévention des déversements et le bon entretien des locaux, qui constituent autant de moyen de réduire les risques.
  • Les employeurs doivent surveiller étroitement l'exposition de leurs travailleurs aux produits chimiques et aux agents susceptibles de causer de l'asthme, et davantage à la suite d'accidents par inhalation, qui peuvent accroître énormément le risque d'asthme.

  • Si vous éprouvez des symptômes d'asthme professionnel, consultez un médecin.

  • Assurez-vous de signaler votre état à votre employeur; si une personne présente des symptômes, d'autres peuvent également être à risque.

  • Réduisez ou éliminez votre exposition à la substance qui cause l'asthme. Vous devrez peut-être changer d'emploi ou être muté à un autre endroit ou secteur de l'usine ou de l'entreprise.

  • Anticipez les problèmes. Non maîtrisé ou non traité, l'asthme professionnel peut mener à des problèmes respiratoires permanents.


Obtenez de plus amples renseignements, fournis par le CCHST, sur

Nouvelles de nos partenariats

Des partenaires de la SST de l'Ontario lancent de nouveaux outils de prévention des TMSprint this article

Les troubles musculo-squelettiques (TMS), appelés également blessures de nature ergonomique ou microtraumatismes répétés (MTR), sont responsable de 40 p. 100 du temps de travail perdu en raison de blessures. Les MTR constituent une préoccupation importante qui coûte à l'économie ontarienne plus de 19 milliards de dollars en dix ans. Par conséquent, on a accueilli avec joie l'annonce faite par le ministère du Travail de l'Ontario, lors de la Journée internationale de sensibilisation aux MTR (le 29 février), qu'il s'était joint à d'autres membres du Conseil de la santé et de la sécurité au travail de l'Ontario pour élaborer deux ressources très pratiques de prévention des TMS : la Trousse de prévention des troubles musculo-squelettiques (TMS) et la Base de données de prévention des troubles musculo-squelettiques.

Ces ressources sont gratuites et facilement accessibles. Toute personne intéressée par la réduction des risques de TMS (blessures aux muscles, aux nerfs ou aux tendons qui apparaissent au fil du temps dans différents métiers) devrait les consulter. Elles sont le fruit d'une collaboration entre le ministère du Travail, de la Commission de la sécurité professionnelle et de l'assurance contre les accidents du travail (CSPAAT), de douze associations sectorielles pour des lieux de travail sécuritaires, du Centre de santé et sécurité des travailleurs et travailleuses, des Centres de santé des travailleurs et travailleuses de l'Ontario et de l'Institut de recherche sur le travail et la santé.

La Trousse de prévention des troubles musculo-squelettiques (TMS) comprend de l'information pratique sur les façons d'effectuer une évaluation des risques de TMS, d'élaborer un plan de prévention des TMS et d'améliorer les pratiques actuelles de prévention des TMS en milieu de travail. Vous la trouverez sur la page des TMS de la base de données sur les pratiques de prévention de la CSPAAT.

Cette trousse comprend trois sections : " Le point de départ ", " Au-delà de l'essentiel " et " En savoir plus sur les méthodes d'évaluation approfondies des risques ".

La section " Le point de départ " donne des renseignements sur les façons de reconnaître les tâches et les emplois qui présentent des risques, d'effectuer une évaluation simple des risques et de déterminer et choisir les mesures de maîtrise des risques.

La section " Au-delà de l'essentiel " explique en détail comment les lieux de travail peuvent améliorer leurs pratiques actuelles de prévention des TMS. Cette trousse contient également de l'information spécialisée qui met l'accent sur les méthodes d'évaluation des risques, dans la section " En savoir plus sur les méthodes d'évaluation approfondies des risques ".

La Trousse de prévention des TMS constitue le troisième élément de la série d'outils de prévention des TMS du Conseil. Elle fait suite à la publication des Lignes directrices de prévention des TMS pour l'Ontario et du Manuel de ressources des Lignes directrices de prévention des TMS pour l'Ontario.

La seconde ressource lancée récemment est la Base de données de prévention des TMS, créée par la Commission de la sécurité professionnelle et de l'assurance contre les accidents du travail (CSPAAT). Elle fournit de l'information facile à lire et très accessible sur les façons de prévenir les TMS en milieu de travail.

On peut accéder à cette base de données en consultant le site www.PreventionPractices.com/msd.html (en anglais seulement) qui propose des liens vers plus de deux cents sources d'information sur la prévention des TMS, dont des associations de santé et sécurité de l'Ontario, le Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail, le ministère du Travail de l'Ontario et d'autres organismes qui forment le système de santé et sécurité au travail de l'Ontario. Il est possible d'explorer la base de données par sujet (TMS lié à un milieu de travail) ou par type d'emploi. De plus, cette base de données permet aux utilisateurs de communiquer aux autres leurs propres pratiques de prévention.

Pour élaborer ces ressources sur l'ergonomie, le Conseil de la santé et de la sécurité au travail de l'Ontario a collaboré avec des syndicats, des associations d'employeurs, ainsi qu'avec des employeurs et des travailleurs à titre individuel. Le Centre of Research Expertise for the Prevention of Musculoskeletal Disorders (CRE-MSD) de l'Université de Waterloo a fourni un appui supplémentaire.

Réponses SST

Fini l'air vicié!print this article

L'appareil de ventilation mécanique évacue l'air contaminé et le remplace par de l'air frais provenant de l'extérieur. Idéalement, chaque système de ventilation devrait être conçu pour correspondre précisément au type de travail effectué et au taux de rejet de contaminants sur le lieu de travail.

Le fait de posséder le bon système de ventilation assure aussi bien des niveaux acceptables de contaminants dans l'air qu'un apport continu d'air frais provenant de l'extérieur. Une telle installation maintient également une température et un taux d'humidité confortables, réduit les risques d'incendie ou d'explosion, et évacue ou dilue les contaminants aériens, selon le type de système. On considère la ventilation comme une mesure d'ingénierie, et elle est un des meilleurs moyens de limiter l'exposition de l'employé aux contaminants atmosphériques.

Pour plus de sécurité, les usines peuvent aussi éliminer complètement l'utilisation de matières ou de produits chimiques dangereux et les remplacer par des substances chimiques moins toxiques, ou changer la pratique ou la méthode de travail de façon à réduire l'exposition nocive.

Les milieux industriels requièrent généralement l'un des deux principaux types de systèmes de ventilation mécanique : la ventilation avec apport d'air neuf ou la ventilation par aspiration à la source.

La ventilation avec apport d'air neuf réduit la concentration de contaminants en mélangeant l'air contaminé à de l'air neuf, non vicié. Elle fournit et expulse de grandes quantités d'air en direction et en provenance d'une zone ou d'un bâtiment, généralement au moyen d'imposants ventilateurs d'extraction, installés dans les murs ou sur le toit. L'efficacité de la ventilation avec apport d'air neuf peut être accrue si le ventilateur d'extraction se trouve près des travailleurs exposés et que l'air neuf d'appoint arrive derrière ces travailleurs, de façon que l'air contaminé est aspiré hors de leur zone respiratoire.

L'apport d'air neuf doit être utilisé uniquement dans les situations où les concentrations toxiques de polluants demeurent relativement faibles, et où les employés ne travaillent pas dans le voisinage immédiat de la source de contamination.

La ventilation par aspiration à la source capte les contaminants à la source-même ou très près de celle-ci (un peu comme un aspirateur domestique, dont la tête aspirante se trouve le plus près possible de la saleté) et les expulse à l'extérieur. En général, c'est une façon beaucoup plus efficace d'éliminer des contaminants hautement toxiques avant qu'ils n'atteignent la zone respiratoire du travailleur.

On utilise la ventilation par aspiration à la source lorsque :


  • les contaminants en suspension dans l'air constituent un risque grave pour la santé ou un danger d'incendie;

  • de grandes quantités de poussière sont produites;

  • les coûts accrus d'énergie, en raison du chauffage de grands volumes d'air par temps froid, sont un facteur préoccupant;

  • les sources de contaminants sont peu nombreuses;

  • les sources de contaminants se trouvent près des zones respiratoires des travailleurs.


Il est important de savoir que tout système de ventilation comporte ses limites. Les systèmes se détériorent au fil des ans et exigent une vérification et un entretien continus. Toute modification à un système de ventilation doit être effectuée par un professionnel qualifié.

Pour de plus amples renseignements sur la ventilation industrielle, consultez les Réponses SST à l'adresse suivante : http://www.cchst.ca/reponsessst/prevention/ventilation/introduction.html

Alertes au danger

Ne laissez pas les risques vous prendre au dépourvuprint this article

Étant donné les risques apparemment omniprésents en milieu de travail, nous devons continuellement trouver des façons d'assurer la sécurité des travailleurs. Les employés, les superviseurs et les travailleurs peuvent tirer des enseignements des deux incidents exposés ci-après.

Un pompier de la Colombie-Britannique est décédé d'un coup de chaleur et de déshydratation après avoir participé à des exercices d'entraînement à la lutte contre les incendies. L'homme, qui portait un équipement complet de protection pendant une pause, a été terrassé par un infarctus et s'est effondré. Il a reçu immédiatement les premiers soins et de l'oxygène, mais il est décédé plus tard à l'hôpital.

Les personnes dont l'activité professionnelle consiste à sauver des vies ont elles aussi besoin de protection contre les risques liés au milieu de travail. WorkSafe BC a publié un bulletin d'alerte aux risques qui recommande des pratiques de travail sécuritaires pour les pompiers.

Établir une politique sur le stress thermique. Seul les pompiers qui subissent avec succès une évaluation de leur état physique (pression artérielle, fréquence cardiaque et température corporelle) devraient participer aux exercices d'entraînement. Toute personne présente sur le lieu de travail devrait être formée pour reconnaître les premiers signes et symptômes d'un stress thermique tant chez les autres que chez elle-même; ces symptômes sont les suivants : faiblesse, étourdissement, céphalée, nausées et manque de coordination. La caserne devrait disposer de procédures pour traiter les pompiers qui subissent un stress thermique ou un épuisement par la chaleur et un coup de chaleur, qui peuvent être mortels.

Garder les pompiers hydratés et au frais. Au cours de l'entraînement, les pompiers ont besoin de prendre des pauses à intervalles réguliers dans des endroits frais et bien aérés, et d'avoir accès à de l'eau et à des jus de fruits en quantité suffisante. Une règle devrait obliger les pompiers à enlever leurs vêtements protecteurs pendant les pauses pour se rafraîchir. Un agent de réadaptation devrait être présent à chaque séance d'entraînement afin de surveiller les pompiers et de voir à ce qu'ils restent hydratés et qu'ils se rafraîchissent durant les pauses.

Pendant ce temps, en Nouvelle-Écosse…

Un travailleur faisait fonctionner un camion-grue au moyen d'une télécommande. Remarquant que la flèche de la grue ne se déployait pas, il a baissé les yeux vers sa télécommande pour tenter de trouver le bouton d'arrêt d'urgence. C'est alors que la flèche s'est soudainement déplacée et que l'un de ses doigts est resté pris entre la flèche et la charge. Son doigt a été sectionné.

Le ministère de l'Environnement et du Travail de la Nouvelle-Écosse rappelle aux gens qui travaillent en entreprise industrielle de suivre les instructions du fabricant lorsqu'ils utilisent un équipement. Ils doivent également avoir reçu une formation avant de l'utiliser.

Chaque lieu de travail doit posséder un programme officiel d'inspection et d'entretien réguliers de l'équipement. De plus, l'équipement doit être vérifié avant d'être utilisé, à chaque quart de travail.

Lorsque c'est possible, il est préférable d'utiliser de l'équipement qui ne peut être mis en marche par mégarde, et dont on ne peut commander qu'un élément à la fois.

Le bulletin d'alerte du gouvernement de la Nouvelle-Écosse comprend des conseils sur la façon d'utiliser de l'équipement télécommandé de manière sécuritaire.

Pour lire les alertes en entier :

Équipement télécommandé - Ministère de l'Environnement et du Travail de la Nouvelle-Écosse, Santé et sécurité au travail ( en anglais )

Un pompier s'effondre à la suite d'un coup de chaleur pendant une séance d'entraînement ( en anglais )

Nouvelles du CCHST

Une journée à la mémoire de…print this article

À la mémoire des morts et des blessés sur le lieu de travail, à l'occasion du Jour de deuil national

En 2006, près d'un millier de travailleurs canadiens ont perdu la vie à la suite d'une maladie ou d'une blessure dont la cause était liée au travail. On a enregistré 976 décès survenus au travail, et 900 000 autres travailleurs ont subi des blessures ou sont devenus malades. Afin d'honorer, à l'échelle du pays, la mémoire de ces personnes blessées, malades ou décédées au travail, ou qui souffrent de maladies professionnelles, on a désigné le 28 avril Jour de deuil national. Le Jour de deuil national est non seulement une occasion de se souvenir, mais également une occasion pour les employés et les employeurs de renouveler publiquement leur engagement à améliorer la santé et la sécurité au travail.

Cette journée commémorative a vu le jour après l'adoption, en décembre 1990, de la Loi sur le jour de compassion pour les travailleurs. Depuis, différentes activités sont prévues chaque année dans tout le pays par des organisations syndicales, en hommage à la famille, aux amis et aux collègues des personnes qui ont été tuées ou blessées en effectuant leur travail. Le drapeau du Canada, sur la Colline du Parlement, sera mis en berne à cette occasion. Les travailleurs allumeront des bougies, porteront un ruban et un brassard noir, et observeront des moments de silence.

Le CCHST espère que ce jour de deuil annuel renforcera la volonté d'établir des conditions de travail sécuritaires pour tous. Ce jour choisi pour honorer les morts est tout autant un appel à la protection des vivants. Pour vous aider à accroître la sensibilisation à cette journée nationale, et pour servir de rappel puissant de l'importance de la sécurité au travail, le CCHST a conçu une nouvelle affiche recto verso (anglais/français) de 16 po X 25 po. Vous pouvez demander votre affiche GRATUITE en communiquant avec les Services à la clientèle du CCHST au 1-800-668-4284. Vous pouvez également commander des affiches supplémentaires à un coût minime.

Le site Web du CCHST contient de plus amples renseignements concernant le Jour de deuil national.

Aperçu de l'affiche

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