Le rapport sur la santé et la sécuritéVol. 12, No. 7

Conseils et outils

La maladie de Lyme : un risque pour la santé par temps chaud print this article

Au Canada, avoir la possibilité de travailler à l'extérieur durant la saison estivale représente, pour beaucoup de travailleurs, une occasion fort appréciée de profiter de la température plus clémente, de jouir davantage du plein air et de travailler à proximité de la nature. Cependant, travailler à l'extérieur entraîne aussi un risque accru d'exposition à la menace de plus en plus importante pour la santé que pose la maladie de Lyme.

La borréliose de Lyme, aussi appelée maladie de Lyme, est une affection provoquée par le spirochète Borrelia burgdorferi. Les petits rongeurs sont l'hôte principal de cette bactérie qui est transmise à l'humain par la morsure d'une tique à pattes noires infectée. Les tiques ne volent pas - elles s'agrippent aux petits buissons ou aux herbes hautes et demeurent généralement près du sol. Elles attendent qu'un animal ou un humain passe à proximité et, au moment du contact, elles s'accrochent à la peau pour se nourrir. Les zones à risque élevé au Canada englobent le sud de la Colombie-Britannique, du Québec et du Nouveau-Brunswick, le sud-est et le centre-sud du Manitoba, le sud et l'est de l'Ontario et certaines régions de la Nouvelle-Écosse, habituellement en forêt et dans les secteurs envahis par la végétation. Le risque d'être mordu par une tique est plus grand au printemps et durant les mois d'été. Ces insectes peuvent toutefois être actifs durant la plus grande partie de l'année.

Signes et symptômes

Comme les tiques sont très petites, leurs morsures sont généralement indolores et vous ne saurez peut-être pas que vous avez été mordu. Étant donné la fréquence de plus en plus grande de la maladie de Lyme, il est important de repérer les tiques et de connaître les signes et les symptômes de la maladie.

Les symptômes de la maladie de Lyme et leur gravité varient d'une personne à une autre. Une éruption cutanée circulaire qui ressemble à une cible et qui s'étend en formant des anneaux autour du site de la piqûre peut apparaître de trois jours à un mois après l'infection. L'aspect de cette éruption cutanée est très caractéristique d'une morsure de tique. Si vous observez ce type d'éruption ou tout autre symptôme de la maladie de Lyme, vous devez consulter un médecin et lui préciser que vous avez visité une région où vous avez peut-être été exposé à des tiques.

Les autres symptômes comprennent :


  • la fatigue;

  • la fièvre ou les frissons;

  • les maux de tête;

  • les spasmes musculaires ou la faiblesse;

  • les engourdissements ou les fourmillements;

  • l'enflure des ganglions lymphatiques;

  • les problèmes de concentration ou de mémoire, ou les étourdissements;

  • les douleurs articulaires;

  • le rythme cardiaque irrégulier.


Que faire si vous découvrez une tique

Généralement, ce n'est que 24 heures ou plus après être entré en contact avec le corps que les tiques commencent à s'alimenter. Il faut retirer les tiques dans les 24 à 36 heures qui suivent afin de réduire le risque d'infection par la maladie de Lyme.

  • Saisissez la tique fermement à l'aide d'une pince à becs fins (pointus), le plus près possible de votre peau. Tirez lentement sur le corps de la tique sans l'écraser ni la tordre, ce qui pourrait faire pénétrer la bactérie nocive dans votre organisme. Lavez le point de la piqûre avec de l'eau et du savon.

  • Évitez de manipuler les tiques à mains nues et utilisez des gants jetables, du papier essuie-tout ou une pince pour les transférer dans le flacon de collecte.

  • Après avoir manipulé des tiques, jetez les gants et le papier essuie-tout, et lavez soigneusement vos mains ainsi que la pince utilisée.

  • Conservez les tiques vivantes dans un contenant hermétique ou un sac à double glissière, et apportez-les à votre médecin ou à votre établissement de soins de santé local pour que des analyses puissent être faites afin de détecter la maladie de Lyme.

  • Lavez vos vêtements de travail et séchez-les à la machine, à l'air chaud, pour éliminer toute tique encore vivante.


Que peuvent faire les employeurs

  • Renseignez les travailleurs sur la maladie de Lyme, sur sa transmission, sur les risques d'exposition et d'infection, sur les moyens de se protéger des tiques et sur l'importance de signaler toute piqûre de tique et tout malaise connexe.

  • Recommandez aux travailleurs de porter des vêtements de couleur pale : une chemise à manches longues, un pantalon qu'ils glisseront sous leurs bas, de même qu'un chapeau si possible.

  • Fournissez aux travailleurs des insectifuges contenant de 20 à 30 % de DEET ou d'icaridine, qu'ils appliqueront sur la peau et sur leurs vêtements afin de se protéger contre les tiques.

  • Dans la mesure du possible, demandez aux travailleurs d'éviter les sites boisés, les buissons, les herbes hautes et les amoncellements de feuilles mortes.

  • S'il est impossible pour les travailleurs d'éviter ces sites à risqué élevé, tentez de réduire les populations de tiques par une saine gestion de l'aménagement paysager, notamment en retirant les amoncellements de feuilles mortes, en coupant les herbes hautes et les broussailles, en contrôlant les populations de rongeurs et de petits mammifères, et en limitant l'activité des cerfs.


Que peuvent faire les travailleurs

  • Portez des chaussures fermées, une chemise à manches longues et un pantalon long.

  • Relevez les bas par-dessus leur pantalon pour empêcher les tiques de grimper sur leurs jambes.

  • Portez des vêtements de couleur claire pour faciliter la détection des tiques.

  • Utilisez un insectifuge/produit contre les tiques contenant du DEET ou de l'icaridine et suivez les consignes du fabricant lors de son utilisation.

  • Prenez une douche ou un bain dans les deux heures qui suivent chaque sortie en plein air pour vous débarrasser des tiques non attachées.

  • Inspectez attentivement toute la surface de leur corps après avoir visité un éventuel habitat de tiques. Vérifiez s'il y a des tiques sur ou sous les vêtements, sans oublier les aisselles, les cheveux et le cuir chevelu, le nombril, le pli de l'aine, l'arrière des oreilles et le creux des genoux.


Renseignements et ressources supplémentaires


Maladie de Lyme, Fiche d'information, CCHST

Maladie de Lyme, Agence de la santé publique du Canada (ASPC)

Maladie de Lyme, Canadiens en santé, Gouvernement du Canada

Prévention et contrôle de la maladie de Lyme : allons de l'avant, Relevé des maladies transmissibles au Canada, ASPC

Guide santé sécurité de l'entretien des terrains, CCHST

Lyme Disease, Centres for Disease Control and Prevention (CDC) [en anglais seulement]

Nouvelles de nos partenariats

Un départ en toute sécurité pour les nouveaux et les jeunes travailleurs print this article

Commencer un nouvel emploi peut être stimulant, mais peut également poser un risque de blessures, particulièrement pour les nouveaux travailleurs et les jeunes travailleurs. Ce groupe précis est plus susceptible de se blesser au cours du premier mois qui suit l'embauche qu'en tout autre temps. Dans le cadre d'efforts continus visant à remédier à ce problème, le ministère du Travail de l'Ontario met l'accent sur la sécurité des nouveaux et des jeunes travailleurs durant une campagne éclair de quatre mois lancée d'un bout à l'autre de la province.

Depuis le mois de mai, les inspecteurs du ministère du Travail ont procédé à des vérifications pour garantir que les employeurs agissent en conformité avec la Loi sur la santé et la sécurité au travail de l'Ontario en portant une attention spéciale à la sécurité des nouveaux et des jeunes travailleurs. Les inspecteurs s'assureront que ces travailleurs respectent les exigences concernant l'âge minimum fixé pour pouvoir travailler, qu'ils obtiennent les instructions, la formation et la supervision relatives aux tâches à effectuer et qu'ils appliquent les mesures et les méthodes de sécurité appropriées afin d'éviter de se blesser.

Les inspecteurs concentrent leurs efforts sur les lieux de travail du secteur industriel où sont employés bon nombre de nouveaux et de jeunes travailleurs, notamment dans les secteurs des services, de la fabrication, des transports, de l'exploitation forestière, de l'aménagement paysager, de l'arboriculture et de l'industrie hôtelière (motels et hôtels). Les inspecteurs en soins de santé visent avant tout les services de soins en milieu communautaire et les résidences communautaires.

Par jeunes travailleurs, on entend les travailleurs âgés de 14 à 24 ans. Les nouveaux travailleurs désignent ceux qui occupent un emploi depuis moins de six mois ou à qui de nouvelles tâches ont été assignées. Ces nouveaux travailleurs englobent tant les jeunes travailleurs que les travailleurs de plus de 25 ans qui commencent un emploi avec lequel ils ne sont pas familiers.

Renseignements et ressources supplémentaires


Document d'information : Inspections éclair sur la sécurité des nouveaux et des jeunes travailleurs, Ministère du Travail de l'Ontario

Site Web TravailleurAviséOntario, Ministère du Travail de l'Ontario

La zone des jeunes travailleurs, CCHST

Help Your New Workers Stay Safe, webinaire gratuit, CCHST (en anglais seulement)

L'orientation des nouveaux travailleurs en matière de santé et de sécurité, cours en ligne, CCHST

Sujet d'actualité

Espaces menacés : Le bureau classiqueprint this article

Postes de travail modulaires, navette quotidienne, collègues : voilà quelques éléments typiques du monde du bureau classique. Cependant, en tirant avantage des progrès technologiques, les petites entreprises, les entreprises en démarrage, les pigistes et les télétravailleurs sont en train de changer l'image du milieu de travail. Les bureaux à domicile et les cafés sont devenus des lieux de travail non classiques populaires, mais il existe maintenant une troisième possibilité : les espaces de travail partagés. Apprenez en plus sur ce concept innovateur axé sur la collaboration et sur la façon d'assurer le bien être et la sécurité dans ces espaces.

Qu'est ce que le travail dans un espace partagé?

Vous essayez de travailler à la maison, mais à cause des distractions, il vous est difficile de rester concentré sur la tâche à exécuter. Vous décidez donc de prendre votre ordinateur portatif et de vous rendre au café du coin. Cependant, après quelques visites, vous en avez assez de la caféine et vous vous sentez courbaturé et coincé à force de vous asseoir à une minuscule table pendant des heures. Pour un nombre croissant de travailleurs, le travail dans un espace partagé est la solution de rechange idéale.

Un espace de travail partagé présente toutes les particularités d'un bureau ordinaire, comme des bureaux de travail, des salles de conférence, un coin-cuisine, des photocopieurs et le WiFi, mais au lieu de loger une seule entreprise ou organisation, il loge plusieurs travailleurs de différentes entreprises, qui partagent l'espace et les ressources. Cet aménagement entraîne souvent une réduction des coûts de fonctionnement et offre aux travailleurs l'occasion de réseauter, de collaborer et de socialiser avec leurs collègues.

Le travail dans un espace partagé convient aux personnes qui sont à leur propre compte ou à celles qui travaillent essentiellement de façon autonome tout en faisant partie d'une organisation, mais qui ne souhaitent pas s'isoler physiquement ou travailler seules. Les options d'adhésion sont généralement flexibles, et l'abonnement est annuel, mensuel ou à la carte. Le premier espace partagé a ouvert ses portes à San Francisco en 2005. Depuis, le concept s'est répandu dans le monde entier, et le nombre d'espaces partagés dépasse les 2 500 à l'échelle de la planète. Le Canada compte actuellement plus de 80 de ces espaces, lesquels peuvent accueillir des centaines de travailleurs en tout temps.

Considérations relatives à la santé et à la sécurité

Dans de nombreux espaces partagés, des efforts concertés sont déployés pour que l'espace se distingue du bureau classique. Il est courant d'y trouver du mobilier confortable, un salon, une fontaine et même un jardin sur le toit. Cependant, les pratiques de travail sécuritaires doivent demeurer une priorité pour favoriser la santé et le bien être des travailleurs utilisant ces espaces.

Selon la Loi sur la santé et la sécurité au travail, les employeurs canadiens doivent veiller à la sécurité de leurs employés, peu importe où ils travaillent. Or, bon nombre des travailleurs des espaces partagés sont des travailleurs autonomes. Il est donc recommandé aux responsables des espaces partagés de mettre en œuvre un programme de santé et de sécurité qui s'applique à l'espace de travail dans son entier et de s'assurer que ce dernier respecte la réglementation de la province ou du territoire en ce qui concerne les normes minimales en matière de santé, de sécurité, de locaux et d'entretien. Lors de leur arrivée dans l'espace partagé, tous les nouveaux travailleurs devraient recevoir un aperçu des lignes directrices et des marches à suivre relatives à la santé et à la sécurité.

Voici quelques exemples d'aspects liés à la santé et à la sécurité dont il faut tenir compte dans ces espaces de travail. Parmi les autres aspects, citons notamment les glissements, les trébuchements et les chutes, la sécurité en matière d'électricité, l'éclairage, le bruit.

Éviter la douleur et les entorses

Les troubles musculo-squelettiques constituent un groupe de lésions et de blessures communes et douloureuses qui touchent surtout les muscles, les nerfs et les tendons du dos, des jambes, des épaules, du cou, des poignets, des mains et des articulations. Les symptômes les plus fréquents sont les suivants : douleur, raideur articulaire, faiblesse musculaire, rougeur, œdème, engourdissements et picotements. Ces blessures peuvent être attribuables à des mouvements répétitifs ou exigeant l'application d'une grande force ou au maintien d'une posture fixe ou contraignante durant de longues périodes. Dans le cas des travailleurs dont les tâches requièrent beaucoup de temps à l'ordinateur, voici certaines des causes possibles :


  • Écran, plan de travail ou chaise trop hauts ou trop bas

  • Mauvaise posture;

  • Station assise ou debout pendant de longues périodes;

  • Mauvaise position des mains;

  • Stress de contact avec une surface dure;

  • Éclairage trop fort ou trop faible;



À cet égard, les responsables des espaces de travail partagés peuvent :


  • Investir dans un mobilier réglable qui s'adapte à diverses personnes;

  • Fournir des repose pieds, des repose poignets et des porte documents;

  • Installer un éclairage ambiant et choisir des finis peu réfléchissants et des couleurs neutres pour les murs et le mobilier;

  • Encourager les travailleurs à prendre des pauses pour s'étirer et faire de l'exercice; afficher des cartes et exposer des affiches sur des exemples d'exercices.



Faire attention aux parfums

Un très grand nombre de produits que nous utilisons chaque jour sont parfumés, notamment les savons, les détergents, les produits de nettoyage domestiques et les produits d'hygiène personnelle. Chez les travailleurs ayant une sensibilité aux parfums, toutefois, le parfum peut entraîner des effets désagréables pour la santé. Cette situation peut poser des difficultés dans les espaces partagés puisqu'il s'agit d'endroits où plusieurs personnes interagissent, utilisent les mêmes ressources et accueillent des visiteurs. Certains lieux de travail recommandent la règle selon laquelle aucun parfum ne doit être perceptible à moins d'une " longueur de bras " de la personne. D'autres font un pas de plus et adoptent une politique transformant leur lieu de travail en un " milieu sans parfum ".

Violence et sécurité en milieu de travail

Lorsque plusieurs personnes interagissent, il y a toujours un risque de violence, et l'espace de travail partagé n'échappe pas à cette règle. Comme les locaux sont généralement ou

Enjeux en santé et sécurité au travail

Tracer la voie pour les chefs de file de demainprint this article

Enjeux en santé et sécurité au travail est le blogue de Steve Horvath, président et chef de la direction du Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail. Dans un récent billet publié sur son blogue, il partage ses réflexions au sujet de différents projets touchant la santé et la sécurité des jeunes travailleurs.

Nous avons observé un déclin des taux de blessures en milieu de travail chez les jeunes âgés de 15 à 19 ans dans l’ensemble du Canada, un recul qui est, à mon avis, attribuable en partie aux efforts déployés pour intégrer aux programmes d’enseignement régulier des activités de sensibilisation et d’éducation à l’intention des jeunes travailleurs. Certaines de nos initiatives visant à former des jeunes qui deviendront de futurs chefs de file en santé et sécurité ont été mises en évidence au cours des dernières semaines. D’abord, au nom du Conseil des gouverneurs, le CCHST a décerné des bourses d’études dans le cadre de la douzième année du programme des bourses d’études Dick Martin, une distinction nationale qui vise à reconnaître les étudiants inscrits à un programme d’études au Canada menant à l’obtention d’un grade ou d’un diplôme en santé et sécurité au travail, et à les encourager à envisager une carrière dans ce secteur. Félicitations aux récipiendaires méritants de cette année : Jodie Chadbourn (Ontario) et Kathy Lee (Saskatchewan), qui se méritent chacune une bourse de 3 000 $. Leurs établissements d’enseignement respectifs, l’Université du Nouveau-Brunswick et le Saskatchewan Institute of Applied Science and Technology, ont reçu à leur tour un montant de 500 $.

En outre, le CCHST continue d’appuyer le concours annuel de vidéo « C’est votre travail! » destiné aux jeunes. Tous les élèves qui fréquentent une école secondaire au Canada peuvent d’abord participer à un concours provincial et territorial administré par leur ministère respectif et les ministères du Travail. Dans le cadre du concours, les élèves sont mis au défi de faire preuve de créativité pour réaliser une vidéo originale qui peut être diffusée dans les médias sociaux afin de montrer à leurs pairs l’importance de la sécurité au travail. Les gagnants de chaque province et territoire peuvent ensuite participer au concours à l’échelle nationale.

Félicitations aux gagnants de cette année dans le cadre du concours tenu à l’échelle nationale :


  • Première place : Ben Croskery, École secondaire John McCrae, Ottawa, Ontario

  • Deuxième place : Pranay Noel, École secondaire catholique St. Francis Xavier, Mississauga, Ontario

  • Troisième place : Dane Cutliffe, École secondaire Colonel Gray, Île du Prince Édouard

  • Choix du public : Dylan Pappenfoot, Logan Seipp et Dylan Stadnyk, Humboldt Collegiate Institute, Humboldt, Saskatchewan


Par ailleurs, dans le cadre du Congrès mondial sur la santé et la sécurité au travail, j’assumerai la coprésidence du symposium « Créer un environnement sûr et sain pour l’apprentissage et le travail ». Le symposium réunira des groupes issus du milieu de travail, de la communauté et du secteur de l’éducation qui s’emploient de concert à atteindre un objectif commun consistant à promouvoir une culture de la sécurité chez les jeunes travailleurs. Le rôle que l’on m’a confié me donne le privilège d’accueillir les délégués du Congrès mondial de la jeunesse provenant des quatre coins du monde qui viendront participer au Congrès mondial sur la santé et la sécurité au travail 2014, le mois prochain, à Francfort, en Allemagne.

Au cours des dernières décennies, le CCHST a misé sur des programmes visant à donner aux jeunes les moyens de créer une nouvelle génération de milieux de travail où l’on favorise une culture de prévention. Cependant, il est impossible d’y arriver en travaillant en vase clos; et c’est pourquoi, dans le cadre de nos efforts continus visant à promouvoir et à coordonner une approche globale à l’égard de la sécurité chez les jeunes travailleurs, nous mettrons à contribution les institutions du milieu de travail, de la communauté et du secteur de l’éducation. Ensemble, nous allons de l’avant vers l’atteinte de notre objectif commun qui consiste à créer une culture de prévention dans tous les milieux de travail.

Lisez le blogue de Steve Horvath : Enjeux en santé et sécurité au travail.

Balados

Balados : Les gilets de sauvetage et les vêtements de flottaison individuelsprint this article

Ce mois-ci, les balados de la série De la SST pour emporter! traitent des gilets de sauvetage et des vêtements de flottaison individuels et présentent une rediffusion de l'épisode sur la protection contre la foudre.

Balado en vedette : Restez à flot grâce aux gilets de sauvetage et aux vêtements de flottaison individuels

Selon la Croix-Rouge canadienne, le port d'un gilet de sauvetage pourrait éliminer jusqu'à 90 % des noyades associées aux activités de navigation de plaisance. Le CCHST explique la différence entre les gilets de sauvetage et les vêtements de flottaison individuels et la façon de les utiliser en toute sécurité.

La durée du balado est de 8 min 17 s. Écoutez le balado maintenant.

Reprise du balado : Protection contre la foudre

Le CCHST explique comment faire pour rester en sécurité tout en travaillant à l'extérieur pendant un orage.

La durée du balado est de 6 min 49 s. Écoutez le balado maintenant.

Le CCHST produit chaque mois des balados GRATUITS conçus pour vous informer des derniers renseignements, conseils, études et avis d'experts diffusés en ce qui concerne la santé, la sécurité et le mieux-être des travailleurs canadiens. Cette collection de balados que vous pouvez télécharger et écouter au moment et à l'endroit de votre choix vous offre vraiment De la SST pour emporter!

Parcourez la liste complète des sujets traités dans les balados. Mieux encore, abonnez-vous sur iTunes afin de ne pas manquer un seul épisode.

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