Le rapport sur la santé et la sécuritéVol 16, No. 01

Conseils et outils

Monoxyde de carbone : prévenir les intoxicationsprint this article

Silencieux, mais mortel : le gaz toxique que vous ne pouvez pas voir, sentir, goûter ou toucher. Cependant, ce que le monoxyde de carbone (CO) manque en personnalité, il le compense en puissance. L’intoxication au monoxyde de carbone est responsable de centaines de décès et de milliers de visites à l'hôpital chaque année en Amérique du Nord. Selon l'Ontario Association of Fire Chiefs, plus de 50 personnes meurent chaque année des suites d'une intoxication au monoxyde de carbone au Canada, dont 11 en moyenne en Ontario.

Danger commun et mortel, le monoxyde de carbone résulte de la combustion incomplète du gaz naturel et de toute autre matière contenant du carbone, comme l'essence, le kérosène, le pétrole, le propane, le charbon ou le bois. La fumée de cigarette et les gaz d'échappement d’un véhicule motorisé constituent également des sources de monoxyde de carbone.

Effets du monoxyde de carbone sur la santé

Lorsque nous respirons le monoxyde de carbone, il entrave la capacité des globules rouges à transporter l'oxygène au cœur, au cerveau et aux autres organes vitaux. L'exposition à des concentrations très élevées peut prendre d'assaut une personne en quelques minutes, avec peu ou aucun signe avant?coureur, et entraîner une perte de conscience, ou même la mort. C'est pourquoi ce gaz est extrêmement dangereux.

Les premiers symptômes d'intoxication sont similaires à ceux de la grippe (mais sans fièvre). Ils comprennent des maux de tête, un serrement de poitrine, l'essoufflement, la fatigue, des étourdissements, la somnolence ou des nausées. Au fur et à mesure que les symptômes s'aggravent, la victime peut présenter une faiblesse musculaire, des vomissements, de la confusion et peut même s'effondrer et perdre conscience. Le sentiment de confusion, causé par ce gaz, peut nuire à la capacité de la victime à se rendre compte que sa vie est en danger.

Milieux de travail à risque

Les moteurs à combustion interne sont la source la plus courante de monoxyde de carbone sur le lieu de travail. Il existe également un risque d'exposition dans les chaufferies, les entrepôts, les raffineries de pétrole, les hauts fourneaux, les aciéries et les installations de production de pâtes et papiers. Des agriculteurs ont déjà été empoisonnés par le monoxyde de carbone alors qu'ils utilisaient de l'équipement motorisé comme des nettoyeurs haute pression à essence dans les granges. Bien que les travailleurs dans les espaces clos, comme les mines, courent un risque, on trouve également des concentrations nocives de monoxyde de carbone dans les grands immeubles ou les espaces extérieurs. Les chauffeurs de taxi, les soudeurs et les mécaniciens sont d'autres professionnels exposés à un risque d'exposition au monoxyde de carbone. Des travailleurs d'urgence pénétrant dans des environnements non contrôlés sans porter un détecteur de monoxyde de carbone ont également subi des blessures graves et même la mort.

Ce que les employeurs peuvent faire

  1. Installer un système de ventilation efficace qui permettra d'éliminer le monoxyde de carbone présent dans les aires de travail.
  2. Maintenir en bon état de fonctionnement les chauffe-eau, les appareils de chauffage, les cuisinières et tout autre équipement susceptible de produire du monoxyde de carbone.
  3. Utiliser de l’équipement alimenté à l'électricité, à piles ou à air comprimé comme solution de rechange à l'équipement à essence.
  4. Utiliser des détecteurs de monoxyde de carbone personnels et/ou de zone qui sont fiables et réglés pour émettre une alarme bien en dessous de la limite d'exposition. Les alarmes de zone doivent donner des avertissements visuels et sonores immédiatement.
  5. Ne pas permettre l'utilisation de moteurs ou d'appareils à essence dans les aires de travail mal ventilées.
  6. Faire l'analyse de la qualité de l'air régulièrement, avant d'entrer, dans les aires où il pourrait y avoir du monoxyde de carbone, y compris les espaces clos.
  7. S'assurer que les employés portent des appareils de protection respiratoire appropriés et approuvés, tels que des appareils respiratoires autonomes (ARA) à masque facial de type pression-demande, dans les endroits où la concentration de monoxyde de carbone est élevée.
  8. Former les travailleurs qui peuvent être exposés au monoxyde de carbone. Les travailleurs doivent connaître les sources et les symptômes d’une exposition, les moyens de se protéger, les conseils pour reconnaître les symptômes chez leurs collègues de travail et la façon d’intervenir en cas d’urgence.

Les employés ont tous un rôle à jouer

Les employés peuvent également aider à prévenir les empoisonnements par le monoxyde de carbone en signalant à l'employeur tout risque potentiel lié au monoxyde de carbone et en surveillant les problèmes de ventilation, particulièrement dans les endroits fermés où des gaz de combustion peuvent être libérés. N'utilisez pas de moteurs à combustible dans un espace clos. Signalez tous maux de tête, étourdissements, somnolence ou nausées, si vous soupçonnez une intoxication au monoxyde de carbone, et quittez immédiatement la zone contaminée. Si vous êtes malade, dites à votre médecin que vous pourriez avoir été exposé à du monoxyde de carbone au travail.

Protégez-vous contre l’exposition au monoxyde de carbone à la maison

Cet hiver, les nouvelles continuent de faire régulièrement état de décès et de maladies dus à des intoxications au monoxyde de carbone. Pendant les mois de temps froid, de nombreux décès surviennent en raison d’appareils de chauffage défectueux ou mal utilisés. Suivez les conseils cruciaux ci?après pour protéger votre famille et vous-même :

  • Installez des détecteurs de monoxyde de carbone munis d'alarmes sonores et visuelles dans votre maison. Si vous utilisez des appareils à pile, remplacez la pile chaque fois que vous changez l'heure de vos horloges au printemps et à l'automne.
  • Ne brûlez rien dans un poêle ou un foyer non ventilé. N’utilisez pas de four comme source de chaleur.
  • Lorsque vous êtes à l’intérieur, n'utilisez pas de système de cuisson portable, de réchauds de camping au gaz ou de générateurs, et ne brûlez jamais de charbon de bois.
  • Ne laissez jamais une voiture ou un camion tourner dans le garage lorsque la porte du garage est fermée ou dans un garage attenant à une maison. Même le fait de laisser un véhicule tourner au ralenti à l’extérieur pendant une longue période

Nouvelles du CCHST

Cours en ligne sur les facultés affaiblies en milieu de travailprint this article

Lorsque des travailleurs ont les facultés affaiblies au travail, que ce soit par la fatigue, la drogue ou l'alcool, cela peut avoir de graves conséquences. Afin d'aider les responsables en milieu de travail à prendre des mesures pour s'attaquer au problème des facultés affaiblies, le CCHST a créé un cours en ligne, intitulé L'affaiblissement des facultés affaiblies et le cannabis au travail.

L'usage du cannabis comme traitement thérapeutique est légal au Canada depuis 2001, et la vente et l'usage du cannabis à des fins récréatives deviendront légaux au Canada, à une date fixée au plus tard au 1er juillet 2018.

En prenant le cannabis comme exemple, le cours L'affaiblissement des facultés et le cannabis au travail fournit aux gestionnaires et aux superviseurs, aux membres des comités de santé et de sécurité, aux spécialistes des ressources humaines et aux conseillers en matière de santé et de sécurité une compréhension des facultés affaiblies, de leurs répercussions et de leurs causes, ainsi que de l’importance d'avoir une politique et des procédures correspondantes.

Lorsque l'affaiblissement des facultés compromet la sécurité ou la santé d'une personne, il devient un danger qui doit être pris en charge. Il est important de comprendre à quoi ressemble un affaiblissement des facultés et comment traiter les problèmes associés lorsqu'ils surviennent en milieu de travail.

Vous pouvez accéder au cours en ligne sur l'affaiblissement des facultés et le cannabis en milieu de travail à partir du site Web du CCHST: www.cchst.ca/products/courses/impairment/.

Ressources connexes du CCHST

Nouvelles de nos partenariats

Outil en ligne pour agir contre le stress en milieu de travailprint this article

Le stress en milieu de travail est un risque pour la santé et la sécurité qui peut avoir une incidence importante sur la santé des travailleurs. S'attaquer à ce danger est désormais un peu plus facile. Les Centres de santé des travailleurs (ses) de l'Ontario (OHCOW) et le Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail (CCHST) ont collaboré pour créer StressAssess, un outil de sondage en ligne pour aider les milieux de travail à cerner et à réduire les dangers psychosociaux pouvant mener au stress et au préjudice psychologique.

Selon Valerie Wolfe, directrice générale de la région du Centre-Sud des Centres de santé des travailleurs (ses) de l'Ontario (OHCOW), "le stress en milieu de travail est un défi particulier, car il n'entre pas dans les catégories de dangers habituelles, comme les dangers d'ordre chimique ou musculosquelettique ou encore les dérapages et les chutes. D'après elle, cet outil est un bon point de départ pour amorcer la conversation et aider les parties à prendre des mesures pour reconnaître, évaluer et éviter le stress au sein de l'organisation."

StressAssess est un outil de sondage en ligne de renommée internationale qui permet aux milieux de travail de recueillir anonymement, collectivement et confidentiellement de l'information sur les conditions de travail et les dangers psychosociaux. Les gestionnaires qui utilisent l'outil dans leur milieu de travail sont orientés selon un processus en cinq étapes. Une fois le sondage terminé, un rapport sommaire est fourni. Ce dernier comprend non seulement des comparaisons avec des moyennes nationales validées, mais aussi des conseils pratiques pour aider le milieu de travail à atténuer les préoccupations relevées.

Même si l'outil de sondage est conçu pour poser un « diagnostic » du milieu de travail (et non du travailleur), le site Internet offre aussi une version personnelle aux gens intéressés à mesurer leurs propres degré et sources de stress.

« StressAssess » est accessible au www.stressassess.ca. Une application mobile est en cours de développement.

Balados

Prévenir les problèmes de pied liés au froid : la marche à suivreprint this article

Le balado de ce mois-ci contient des conseils pour prévenir les problèmes de pied liés au froid : la marche à suivre.

Balado en vedette : Prévenir les problèmes de pied liés au froid : la marche à suivre

À tellement marcher, être debout et travailler sur nos deux pieds, nous les exposons à des blessures potentielles. En hiver, l’exposition au froid peut avoir des conséquences douloureuses et parfois graves. Apprenez-en davantage sur les lésions aux pieds qui peuvent résulter du travail extérieur par temps froid.

La durée du balado est de 6 min 7 s. Écoutez le balado maintenant.

 

Reprise du balado : « How Psychosocial Factors Affect Musculoskeletal Symptoms and Disorders »

Mme Birgitte Blatter, Gestionnaire des activités du secteur des milieux de travail sains, vitaux et sécuritaires de l’institut TNO des Pays-Bas, traite du rôle des facteurs psychosociaux en milieu de travail sur l’apparition des troubles musculo-squelettiques et de leurs symptômes.

La durée du balado est de 12 min 5 s. Écoutez le balado maintenant.

 

Le CCHST produit chaque mois des balados GRATUITS conçus pour vous informer des derniers renseignements, conseils, études et avis d’experts diffusés en ce qui concerne la santé, la sécurité et le mieux-être des travailleurs canadiens. Cette collection de balados que vous pouvez télécharger et écouter au moment et à l’endroit de votre choix vous offre vraiment De la SST pour emporter!

Parcourez la liste complète des sujets traités dans les balados. Mieux encore, abonnez-vous sur iTunes afin de ne pas manquer un seul épisode.

Sujet d'actualité

Lésions attribuables au travail répétitif (LATR) : briser le cycleprint this article

Travaillant pour respecter un délai serré, Kerry a peint l’intérieur d’une nouvelle maison sans prendre de pauses sur une base régulière. Le peintre adopte un certain nombre de positions des mains et du corps : flexions, étirements, tremblements des poignets, mouvements de tamponnement et brossage. Travailler en endurant la douleur causée par des crampes aux mains et des positions inhabituelles peut entraîner pour Kerry des lésions attribuables au travail répétitif (LATR). Il ne le sait surement pas, mais ces lésions peuvent même être permanentes.

Le 29 février est la Journée de sensibilisation aux lésions attribuables au travail répétitif (LATR). Seule journée qui ne se répète pas tous les ans, cette date est le moment idéal pour se consacrer à la sensibilisation aux lésions attribuables au travail répétitif. Cette année, la Journée de sensibilisation aux LATR sera le mercredi 28 février.

Les lésions attribuables au travail répétitif, aussi appelées troubles musculo-squelletiques (TMS), sont un grave problème en milieu de travail, causant douleur et souffrances à de nombreux travailleurs. Elles sont la raison la plus fréquente d’absence résultant de blessure et la plus importante source de coûts liés à la perte de temps au Canada.

Causes

De nombreuses tâches exigent de faire des mouvements répétitifs, ce qui peut être très dangereux quand ces mouvements utilisent à répétition les mêmes articulations et groupes musculaires et quand un même mouvement est répété trop souvent, trop rapidement et trop longtemps. Saisir, tenir, plier, tordre, serrer et s’étirer, voilà des mouvements ordinaires que nous faisons naturellement tous les jours. C’est la répétition continue de ces mouvements qui les rend dangereux, surtout quand ils sont faits dans des positions difficiles ou fixes ou avec une force excessive.  

Le travail qui demande de répéter sans cesse les mêmes mouvements est très fatigant, car le travailleur n’a pas le temps de bien récupérer durant les courtes pauses entre les mouvements. La répétition des mêmes mouvements demande donc de plus en plus d’efforts au fil du temps. Lorsque l’activité professionnelle est poursuivie malgré la douleur ou la fatigue, des blessures peuvent survenir.

Le rythme de travail détermine le temps disponible pour le repos et la récupération du corps entre les cycles d’une tâche particulière. Plus le rythme est rapide, moins il y a de temps de repos et plus il y a de risques de subir une LATR.

Les niveaux de stress augmentent quand les travailleurs n’ont aucun contrôle sur la période et la vitesse du travail en raison de facteurs externes, comme la vitesse des chaînes de montage ou les systèmes de quotas. Un niveau de stress plus élevé s’accompagne d’une tension musculaire qui cause de la fatigue et qui augmente le risque de subir une lésion attribuable au travail répétitif. Quand le travailleur ne peut pas contrôler sa propre vitesse de travail, il va à l’encontre d’une caractéristique humaine naturelle de travailler à des rythmes variables à différents moments de la journée.

La force est les efforts que notre corps doit déployer pour déplacer ou soulever des objets ou pour utiliser des outils. Plus de force signifie plus d’efforts musculaires et donc une plus longue période de récupération entre les tâches. Comme dans le travail répétitif il n’y a généralement pas assez de temps pour récupérer, les mouvements qui demandent plus de force causeront de la fatigue plus rapidement. Bien que personne ne sache vraiment quand les troubles musculo-squelettiques se développeront, les travailleurs qui effectuent des mouvements qui demandent de la force sont plus à risque.

Il est particulièrement dangereux d’exercer une force dans certaines positions fixes ou difficiles, comme peindre au pinceau. Les différentes positions de la main exigent d’appliquer différentes forces. Pincer et appliquer de la pression exigent habituellement plus d’efforts. De plus, le poids et la forme des outils ou des objets ajouteront à la force requise. Les outils qui ne permettent pas d’adopter la position la plus neutre pour les poignets, les coudes et les épaules augmentent aussi de beaucoup la force requise.

Prévention

Les mesures de prévention et de contrôle établies avec la participation des employés et des employeurs sont plus susceptibles d’être efficaces. Il peut s’agir d’un poste de travail bien conçu et confortable, d’une conception des tâches appropriée, d’une formation adéquate sur les procédures de levage, de chaises bien ajustées et de pauses programmées.

Éliminez les dangers à la source. Les employeurs doivent s’efforcer d’éviter les modèles de travail répétitif en modifiant la conception des tâches, par exemple, en les mécanisant dans la mesure du possible. De plus, le travail devrait être structuré de sorte que les travailleurs puissent effectuer une rotation entre différentes tâches qui leur permettent de faire quelque chose de complètement différent, en mettant à contribution différents groupes musculaires.

Lorsqu’il n’est pas pratique d’éliminer les modèles de travail répétitif, il est possible de remédier à la situation grâce à un poste de travail bien conçu et ajusté de manière à s’adapter à la taille et au gabarit du travailleur. Les travailleurs devraient avoir accès à des outils et à de l’équipement appropriés, entretenus avec soin, en vue de réduire la force requise pour exécuter les tâches et de prévenir la fatigue musculaire.

Étant donné la progression lente des lésions attribuables au travail répétitif, les travailleurs doivent être formés pour comprendre les causes de ces lésions, les meilleurs moyens de les prévenir et la meilleure façon de reconnaître les premiers signes et symptômes de lésions attribuables au travail répétitif. Les travailleurs doivent savoir comment ajuster leur poste de travail en fonction de leurs tâches et de leurs besoins. Outre le fait de fournir de la formation, les employeurs doivent encourager les employés à prendre de courtes et fréquentes périodes de repos pour permettre à leurs muscles de se détendre, et à surveiller consciemment la tension musculaire tout au long de leur quart de travail.

Les lésions attribuables au travail répétitif peuvent diminuer une fois que la source est éliminée. Cependant, si rien n’est fait pour traiter la blessure ou en él

Mot de la fin xx

Autocollant : L'intimidation ne fait pas partie du travailprint this article

Veillez à ce que le message adhère bien : l’intimidation n’a pas sa place au travail.

Les menaces, les critiques constantes ou injustes, l’intimidation, le dénigrement, les contradictions, les commérages, l’abus physique : de plus en plus, les comportements liés à l’intimidation sont reconnus en milieu de travail comme un sérieux problème pouvant entraîner du stress indu, de l’anxiété et un moral à la baisse chez les travailleurs.

Distribuez ces autocollants pour renforcer ce message : l’intimidation ne fait pas partie du travail. Les comportements liés à l’intimidation doivent être signalés à une autorité désignée de votre milieu de travail, soit à un superviseur, à un représentant syndical ou à toute autre personne pouvant fournir de l’aide.

Ces autocollants sont parfaits pour la Journée du chandail rose du 28 février et peuvent être utilisés toute l’année comme un rappel simple, mais clair, que l’intimidation ne doit pas être tolérée.

Faites-nous part de vos commentaires.
Votre rétroaction et vos idées de sujets sont les bienvenues.

Communiquez avec nous.

Préparé par le Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail, le Rapport sur la santé et la sécurité est un bulletin de nouvelles mensuel qui fournit des renseignements, des conseils et des ressources pour aider à maintenir un milieu de travail sain et sécuritaire, et assurer le mieux-être global des travailleurs.

Vous pouvez annuler votre inscription en tout temps. Si vous avez reçu ce bulletin de nouvelles par l'intermédiaire d'un ami, pourquoi ne pas vous inscrire vous-même?

Le respect de la vie privée vous préoccupe? Le CCHST ne vend pas et ne partage pas vos renseignements personnels. Consultez notre politique en matière de respect de la vie privée.'

CCHST, 135, rue Hunter Est, Hamilton (Ontario) L8N 1M5
1-800-668-4284 serviceclientele@cchst.ca
cchst.ca

© 2024, Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail'