Le rapport sur la santé et la sécuritéVol. 11, No. 10

Sujet d'actualité

Sur la route, gare aux collisions avec des animaux sauvages!print this article

Réduire les risques de collision routière avec des animaux sauvages


Il suffit d'un instant. Vous roulez sur une route panoramique en début de soirée quand un chevreuil surgit devant vous. Vous ralentissez et le chevreuil bondit de l'autre côté de la route, en sécurité, ou comme les milliers de Canadiens plus malchanceux à qui cela arrive chaque année, vous frappez l'animal.

Au Canada, parce que les données ne sont pas recueillies de façon centralisée et que les statistiques sont dispersées entre les différentes organisations fédérales et provinciales, il est difficile de déterminer le nombre exact de collisions avec des animaux sauvages qui surviennent chaque année. Cependant, on sait que les collisions entre les véhicules et les animaux sauvages sont un problème important au pays; elles entraînent des blessures et des décès tant chez les occupants des véhicules que chez les animaux, en plus des dommages matériels aux véhicules.

Selon les estimations, les répercussions financières atteindraient 200 millions de dollars par années, et les statistiques de Transports Canada révèlent une augmentation du nombre annuel de collisions signalées entre 1999 et 2003.

Bon nombre de personnes qui sont blessées ou tuées au cours de collisions avec des animaux sauvages sont des travailleurs qui conduisent un véhicule pour les besoins de leur emploi, en particulier dans les régions éloignées et rurales, où les chances de rencontrer de gros animaux sur la route sont plus élevées.

Le mois de novembre est l'une des périodes où les collisions avec des animaux sauvages sont les plus fréquentes. Apprenez comment vous pouvez réduire les risques pour vous et pour les animaux.

Conseils à l'intention des conducteurs pour réduire le risque de collision avec un animal sauvage


  • Surveillez les panneaux jaunes signalant la présence possible d'animaux sauvages sur la route ou à proximité, et conduisez prudemment.

  • Observez la route et les fossés devant vous afin d'y déceler la présence d'animaux et, si vous apercevez des animaux ou des traces dans la neige aux abords de la route, conduisez lentement.

  • Redoublez de prudence lorsque vous conduisez au lever ou au coucher du soleil, alors que la luminosité est faible et que les animaux sont actifs; la plupart des collisions avec des animaux sauvages surviennent pendant ces périodes.

  • Ralentissez dans les virages, au sommet des montées et dans les zones où vivent des animaux sauvages.

  • La nuit :

    • réduisez votre vitesse, en particulier sur les routes de campagne que vous connaissez mal, lorsque la visibilité est réduite;

    • utilisez vos feux de route autant que possible et surveillez le reflet de la lumière dans les yeux des animaux (notamment des chevreuils). Les orignaux, en raison de leur fourrure foncée, sont difficiles à voir la nuit et sont si grands que leurs yeux se situent souvent au-dessus de la lumière des phares; par conséquent, la lumière des phares n'est pas toujours réfléchie par leurs yeux.

  • Sur une autoroute à trois voies, conduisez dans la voie du milieu afin d'accroître la distance par rapport au fossé.
  • Veillez à ce que votre pare-brise et vos phares soient propres pour améliorer la visibilité, et attachez votre ceinture de sécurité.
  • Freinez fermement si vous apercevez un animal sur la route ou à proximité, et ne présumez pas que l'animal s'éloignera à votre approche.
  • Attendez-vous à ce que les animaux sauvages réagissent de façon imprévisible; même un animal immobile au bord de la route peut s'enfuir précipitamment.
  • Recherchez les mères accompagnées de leurs petits, car certains animaux se déplacent en groupe; il se peut que l'animal ne soit pas seul.
  • Si un petit animal se trouve sur la route, klaxonnez ou faites clignoter vos phares pour les faire fuir. Pensez à freiner plutôt qu'à tenter de le contourner. Vous pourriez avoir un accident grave si vous perdez le contrôle de votre véhicule en tentant d'éviter l'animal. N'effectuez pas de manœuvre d'évitement dangereuse.



Si la collision avec l'animal est inévitable, vous pouvez réduire l'impact en freinant fermement, afin de garder la maîtrise du véhicule, et en heurtant l'animal de biais. En cas de collision frontale avec un orignal, baissez-vous le plus possible, car les orignaux sont souvent projetés sur le pare-brise et écrasent le toit du véhicule.

En résumé, soyez conscient des dangers, demeurez vigilant et ralentissez - pour votre propre sécurité et celle de nos amis les animaux.

 

Ressources

Nouvelles de nos partenariats

Vous invitez votre jeune au travail? Faites de la sécurité votre priorité. print this article

Le 6 novembre, plus de 250 000 élèves de 9e année ou du 3e secondaire de partout au Canada se joindront à leurs parents pour la journée Invitons nos jeunes au travailMC. Ce programme national annuel de The Learning Partnership donne aux jeunes l'occasion de se jumeler avec un de leurs parents ou un autre adulte pour une journée de travail, afin de voir de près en quoi consiste la vie au travail. En outre, toute la collectivité des parents, des enseignants et des employeurs a la possibilité de participer au développement professionnel des jeunes Canadiens.

Pour les parents et les enseignants : préparer les jeunes en vue de la visite

Il est important de donner aux jeunes de l'information sur la santé et la sécurité avant leur visite du lieu de travail. Ils doivent connaître et comprendre leurs droits et leurs responsabilités à l'égard des emplois qu'ils pourraient occuper aujourd'hui et dans l'avenir. Les parents ont aussi besoin de cette information; ils doivent être au courant du travail que font leurs enfants. Ils ont intérêt à poser des questions sur les enjeux en matière de santé et de sécurité au travail ainsi que sur la façon d'y faire face en milieu de travail.

Les enseignants doivent encourager tous les participants du programme Invitons nos jeunes au travail à s'engager à passer une journée en toute sécurité. Incluez dans le formulaire d'inscription une section où les élèves attesteront avoir lu des documents sur la santé et la sécurité au travail et en avoir discuté avant de participer au programme.

Pour les employeurs : préparer le milieu de travail afin d'assurer la sécurité des jeunes

À titre de préparation à la journée Invitons nos jeunes au travail, les responsables des lieux de travail doivent mener une inspection préalable dans l'optique de la sécurité des jeunes sur les lieux de travail. L'une des premières choses que doit faire l'employeur au cours de la journée Invitons nos jeunes au travail est de présenter aux élèves une séance d'orientation axée sur les questions de santé et de sécurité pertinentes à l'environnement de travail. Les élèves doivent être sous supervision pendant toute la durée de leur séjour sur le lieu de travail et ils doivent être autorisés à exécuter uniquement les tâches et les expériences pour lesquelles ils ont reçu une orientation adéquate. Dans le milieu de travail, les élèves doivent être encouragés à exprimer leurs préoccupations en matière de santé et de sécurité, à poser des questions et à faire des commentaires sur les situations qu'ils observeront au cours de la journée.

Renseignements supplémentaires


Sur le site The Learning Partnership, vous pourrez vous inscrire, télécharger des documents de même que des affiches et obtenir un complément d'information sur le programme Invitons nos jeunes au travail.

La Zone des jeunes travailleurs du CCHST propose des ressources à l'intention des jeunes travailleurs, des parents, des employeurs et des enseignants afin d'aider les jeunes à assurer leur santé et leur sécurité au travail.

Trousse pédagogique sur la santé et la sécurité - maintenant en ligne.

« Help Your New Workers Stay Safe » webinaire gratuit. Durée : 1 heure

Enjeux en santé et sécurité au travail

Le CCHST diffuse son message à un public international print this article

Enjeux en santé et sécurité au travail est le blogue de Steve Horvath, président et chef de la direction du Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail. Dans le tout dernier billet affiché sur son blogue, M. Steve Horvath nous parle de son voyage à Helsinki.

Cette semaine, j'ai participé à une série de réunions intéressantes à Helsinki pour le compte du CCHST. Ma première journée a commencé par une table ronde de représentants de plusieurs pays au cours de laquelle nous avons mis en commun les expériences liées aux pratiques de retour de retour au travail et à l'efficacité de divers programmes. Il m'a été particulièrement utile de constater l'ampleur des difficultés entourant la question des travailleurs blessés et les problèmes courants auxquels font face les travailleurs qui effectuent un retour au travail.

Pour assurer l'efficacité de notre organisation, il est essentiel que nous soyons en mesure de dialoguer avec un groupe diversifié d'entités pouvant exercer une influence sur les politiques et les programmes nationaux. Nous avons une vision et une reconnaissance communes quant à l'importance des politiques et des pratiques de gestion de l'incapacité, mais nous en arrivons à une conclusion commune malgré les différences qui caractérisent les points de vue, les difficultés et les sentiments d'urgence de chacun des intervenants. Si les modèles coût/avantages/RCI et les tableaux démographiques représentent pour toute organisation des arguments convaincants en faveur de la mise en place d'un programme officiel de retour au travail, pour un leader, cela ne se limite pas à de telles considérations; il s'agit plutôt d'une responsabilité sociale et de la capacité de soutenir la concurrence au sein d'un marché du travail de plus en plus mobile et exigeant. Pour la prochaine génération, notre réussite reposera sur la manière dont nous répondrons aux défis que présentent les nouvelles réalités économiques et sur la rapidité avec laquelle nous le ferons.

Le jour suivant, j'ai participé à une réunion de préparation en vue du Congrès mondial sur la SST 2014, un congrès mondial qui a lieu tous les 3 ans et qui attire entre 8 000 et 10 000 délégués. Le CCHST est fier de se retrouver aux côtés de la DGUV (German Social Accident Insurance) et de la NAOOSH (National Association of Organizations in Occupational Safety and Health of the Russian Federation) à titre de membre du comité directeur chargé d'organiser le Colloque sur l'enseignement et la formation professionnelle lors du Congrès mondial. Les discussions s'étant poursuivies jusque tard dans la soirée, nous avons dû éteindre les lumières et verrouiller le bâtiment de notre hôte avant de quitter les lieux (Finnish Institute of Health). Nous avons discuté du format, d'un thème commun et de stratégies qui nous permettraient de communiquer efficacement avec un groupe diversifié s'inscrivant dans un continuum de besoins et de niveaux de complexité des programmes.

J'ai consacré la troisième journée à une conférence internationale s'intitulant « Culture of Prevention - Future Approaches », soit culture de prévention - perspectives d'avenir. Cette conférence a été une excellente occasion de discuter de nos points de vue sur l'instauration d'une culture de prévention dans le milieu de travail et sur l'intégration de la sécurité aux impératifs opérationnels d'une organisation.

Enjeux en santé et sécurité au travail est le blogue de Steve Horvath, président et chef de la direction du Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail.

Réponses SST

Travailler debout pendant de longues périodes en toute sécuritéprint this article

Votre travail exige-t-il que vous vous teniez debout, dans la même position, pendant de longues heures? Toute position conservée durant une période prolongée est néfaste pour votre organisme, et la position debout ne fait pas exception à la règle. La position de travail idéale pour l'organisme n'existe pas : c'est tout simplement un mythe. La meilleure attitude à adopter consiste à changer régulièrement de position, de manière à répartir les charges également sur diverses parties du corps sans soumettre celui-ci à l'effort. Cependant, les conditions observées dans de nombreux milieux de travail contraignent les travailleurs à demeurer assis ou debout durant de longues périodes.

Toute personne dont le travail exige qu'elle se tienne debout des heures durant, que ce soit un commis vendeur, un opérateur de machinerie ou un travailleur à la chaîne, peut vous parler des malaises physiques qui s'y rattachent. L'inconfort ou la douleur sera ressenti tantôt sous la forme de maux de pieds, d'enflure aux jambes, de fatigue musculaire générale ou de douleur au bas du dos, tantôt de raideur dans le cou et les épaules.

Divers problèmes de santé peuvent être causés par le maintien fréquent et prolongé de la station debout. Sans le soulagement que peut apporter la marche, le sang peut s'accumuler dans les jambes et les pieds, ce qui entraîne l'inflammation des veines et peut évoluer lentement vers l'apparition de varices douloureuses. Une position debout conservée trop longtemps peut aussi occasionner une immobilisation ou un blocage provisoire des articulations de la colonne vertébrale, des hanches, des genoux et des pieds. Cette immobilité peut par la suite causer des maladies rhumatismales attribuables à des une lésion dégénérative des tendons et des ligaments.

Si vous travaillez debout durant de longues heures, vous pouvez néanmoins réduire les effets nocifs attribuables au maintien de cette position.

Aménagement du poste de travail

Tout poste de travail debout doit être ajusté en fonction de la grandeur de l'employé, en se guidant sur la hauteur de l'épaule. Un travail de précision par exemple, tel que l'écriture ou l'assemblage de matériel électronique, exige un plan de travail installé à 5 cm au-dessus du coude de l'employé pour que celui-ci puisse y appuyer les coudes. Les travaux légers tels que les opérations sur chaîne de montage ou les opérations mécaniques demandent que la surface de travail se trouve de 5 à 10 cm sous les coudes. Enfin, pour les travaux plus exigeants où il faut appliquer une force vers le bas, la surface de travail doit se trouver de 20 à 40 cm au-dessous des coudes.

Position adéquate

Si vous travaillez en position debout, vous devez vous placer devant l'objet de votre travail, soit la personne, l'élément ou l'appareil qui nécessite votre intervention, et assez près de celui-ci. Ajuster le poste de travail de manière à disposer d'un espace suffisant pour varier votre posture. Utiliser une barre d'appui ou un repose-pieds portable pour transférer votre poids d'une jambe à l'autre ou pour le répartir sur les deux jambes. S'asseoir aussi souvent que possible pendant sa journée de travail ou au moins durant les pauses. Éviter d'effectuer des extensions derrière l'axe des épaules ou au-dessus des épaules, ou encore au-delà du niveau jugé confortable. Plutôt que de vous étirer, déplacer vos pieds pour faire face à l'objet ou à l'élément requis.
Si vous devez travailler debout, accordez-vous de fréquentes pauses. Trouver diverses façons de changer de position aussi souvent que possible.

Chaussures confortables

Si vos pieds ne sont pas confortables, comment vos jambes, vos hanches et votre dos peuvent-ils l'être? Le confort de vos pieds dépend largement de vos chaussures. Choisissez des chaussures approuvées par la CSA (Association canadienne de normalisation/Canadian Standards Association) qui vous assureront une protection appropriée contre les risques présents dans votre milieu de travail.

Vos chaussures doivent être aussi larges que vos pieds et elles doivent laisser un jeu suffisant pour bouger les orteils. Elles doivent être munies d'un support plantaire pour préserver la forme naturelle de la plante du pied et d'un talon garantissant une prise ferme pour vous empêcher de glisser. Les souliers lacés sont les plus recommandés parce qu'ils vous permettent de bien serrer l'intérieur de vos chaussures et empêchent vos pieds de glisser dans les chaussures ou les bottes. Les chaussures doivent être dotées de talons, mais ceux-ci ne doivent pas dépasser 5 cm (2 pouces) de hauteur. Insérer un coussinet sous la langue intérieure de la chaussure si vous avez les os endoloris sur le dessus du pieds. Enfin, si vous restez debout sur un plancher de ciment ou de métal, préservez vos pieds à l'aide d'une semelle coussinée qui amortira le poids exercé sur vos pieds.

Revêtement de sol approprié

Le plancher sur lequel vous travaillez influe aussi grandement sur votre niveau de confort. Les revêtements de sol en bois, en liège ou en caoutchouc sont nettement préférables aux planchers de béton ou de métal. Néanmoins, si vous devez rester debout sur un plancher très dur, placez-vous sur un tapis ou un paillasson. Les petits tapis doivent être munis de bords inclinés pour empêcher toute chute; sans être trop épais, ils doivent être d'une densité suffisante pour servir de coussins amortisseurs pour les pieds. Une épaisseur excessive, comme dans le cas d'épais tapis de caoutchouc-mousse par exemple, engendre de la fatigue et augmente le risque de trébuchement.

N'oubliez pas que la station idéale consiste à varier fréquemment votre position.

Ressources offertes par le CCHST


Réponses SST : le travail en position debout


L'ergonomie au bureau cours en ligne

Guide de prévention des troubles musculo-squelettiques


L'ergonomie au bureau, guide de poche

Balados

Balados : Prévention de la grippe et de la fatigue chez les travailleursprint this article

Ce mois-ci, les balados de la série De la SST pour emporter! vous proposent des conseils sur les mesures que vous pouvez prendre pour prévenir la grippe, de même qu'une rediffusion de l'épisode sur la fatigue chez les travailleurs.

Balado en vedette : Prévention de la grippe : que pouvez-vous faire?

Il est facile de contracter la grippe si vous n'êtes pas prudent. Le CCHST vous donne quelques conseils pratiques sur la façon d'éviter de contracter (ou de transmettre) la grippe au cours de la présente saison.

La durée du balado est de 7 min 21 s. Écoutez le balado maintenant.

Reprise du balado : La fatigue chez les travailleurs

Le CCHST explique de quelle façon la fatigue affecte la sécurité des travailleurs et donne des conseils en vue de minimiser les effets de la fatigue.


La durée du balado est de 8 min 02 s. Écoutez le balado maintenant.


Le CCHST produit chaque mois des balados GRATUITS conçus pour vous informer des derniers renseignements, conseils, études et avis d'experts diffusés en ce qui concerne la santé, la sécurité et le mieux-être des travailleurs canadiens. Cette collection de balados que vous pouvez télécharger et écouter au moment et à l'endroit de votre choix vous offre vraiment De la SST pour emporter!.

Parcourez la liste complète des sujets traités dans les balados. Mieux encore, abonnez-vous sur iTunes afin de ne pas manquer un seul épisode!

Nouvelles du CCHST

Le message est clair : l'intimidation ne fait pas partie du travailprint this article

Bien que la menace d'agression physique ou de sévices émotionnels existe depuis aussi longtemps de l'homme, le monde de la santé et de la sécurité au travail de même que la loi et les employeurs reconnaissent maintenant que toutes les formes de violence - dont l'intimidation - sont inacceptables sur les lieux de travail.

Aucun travailleur ne devrait craindre ni anticiper l'une ou l'autre forme d'abus, de menaces, de manœuvres d'intimidation ou d'agression pendant qu'il s'acquitte de ses taches. La définition de violence au travail englobe beaucoup plus que les gestes et les actes physiques tels que frapper, pousser, bousculer ou brutaliser. Sont tout aussi inadmissibles les comportements menaçants tels que de saisir les poignets d'une personne et de la secouer; de lancer ou de briser des objets; d'exprimer verbalement ou par écrit l'intention de faire du mal; les attitudes qui humilient, embarrassent, importunent, alarment, effraient ou exploitent verbalement une personne; les insultes, les injures et les propos condescendants.

Le Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail (CCHST) offre davantage de renseignements sur les divers facteurs liés au travail pouvant accroître le risque de violence, l'évaluation du risque dans le milieu de travail, les mesures de prévention et les outils de sensibilisation à l'égard de ce problème important.

Consultez les Réponses SST sur la violence en milieu de travail.


Exposez des affiches pour rappeler aux employés quels types de comportements peuvent être considérés comme de la violence en milieu de travail ou de l'intimidation.

Commandez le guide Prévention de la violence en milieu de travail.

Explorez tous les cours et les outils du CCHST qui concernent la prévention de la violence en milieu de travail.

Faites-nous part de vos commentaires.
Votre rétroaction et vos idées de sujets sont les bienvenues.

Communiquez avec nous.

Préparé par le Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail, le Rapport sur la santé et la sécurité est un bulletin de nouvelles mensuel qui fournit des renseignements, des conseils et des ressources pour aider à maintenir un milieu de travail sain et sécuritaire, et assurer le mieux-être global des travailleurs.

Vous pouvez annuler votre inscription en tout temps. Si vous avez reçu ce bulletin de nouvelles par l'intermédiaire d'un ami, pourquoi ne pas vous inscrire vous-même?

Le respect de la vie privée vous préoccupe? Le CCHST ne vend pas et ne partage pas vos renseignements personnels. Consultez notre politique en matière de respect de la vie privée.'

CCHST, 135, rue Hunter Est, Hamilton (Ontario) L8N 1M5
1-800-668-4284 serviceclientele@cchst.ca
cchst.ca

© 2024, Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail'