Le rapport sur la santé et la sécuritéVol. 4, No. 8 août 2006

Dans les nouvelles

Le dioxyde de titane est jugé susceptible d'être cancérogène pour l'humainprint this article

Récemment, le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) a déterminé que le dioxyde de titane est un cancérogène du groupe 2B (" susceptible d'être cancérogène pour l'humain "). Le dioxyde de titane représente 70 % du volume total de la production mondiale de pigments. Il est largement utilisé comme agent blanchissant et opacifiant dans des produits tels que la peinture, le plastique, le papier, l'encre, les aliments et les dentifrices. Il est également présent dans des produits cosmétiques et des produits de soins de la peau ainsi que dans presque tous les écrans solaires, où il contribue à protéger la peau contre les rayons ultraviolets.

Étant donné l'utilisation massive du dioxyde de titane, il est important de comprendre que les conclusions du CIRC sont basées sur des preuves très précises. Des concentrations élevées de dioxyde de titane de qualité pigment (en poudre) et de poussière de dioxyde de titane ultrafin ont causé un cancer des voies respiratoires chez des rats exposés par inhalation et par instillation intratrachéale*. La série d'évènements, ou de stades, biologiques ayant mené au cancer du poumon chez les rats (c.-à-d. dépôt de particules, détérioration de la clairance pulmonaire, atteinte cellulaire, fibrose, mutations et, finalement, cancer) a aussi été observée chez des travailleurs en milieu poussiéreux. C'est pourquoi le CIRC juge que les observations concernant le cancer chez les animaux s'appliquent également aux personnes exposées à la poussière de dioxyde de titane au travail. Par exemple, les travailleurs de la production de dioxyde de titane peuvent être exposés à de fortes concentrations de poussière pendant l'emballage, le broyage, le nettoyage et l'entretien si les mesures de dépoussiérage en place sont inadéquates. Il importe toutefois de noter que les études effectuées chez l'humain à ce jour n'évoquent pas de lien entre l'exposition professionnelle au dioxyde de titane et l'augmentation du risque de cancer.

Le Système d'information sur les matières dangereuses utilisées au travail (SIMDUT) est la norme canadienne en matière de communication des renseignements sur les dangers. En vertu du Règlement sur les produits contrôlés, qui régit le SIMDUT, les produits chimiques du groupe 1 ou du groupe 2 des Monographies du CIRC sur l'évaluation des risques de cancérogénicité pour l'homme doivent être classés dans la catégorie D2A (cancérogène) du SIMDUT. La décision relative à la classification du dioxyde de titane a été publiée sur le site Web du CIRC et un résumé de l'article a été publié dans The Lancet.

Des représentants de Santé Canada (Bureau national du SIMDUT) ont récemment consulté la CSST du Québec et le CCHST (les deux principaux organismes donnant accès au public à la classification du SIMDUT) au sujet des conséquences de la décision du CIRC sur la classification SIMDUT du dioxyde de titane. Il a été convenu que selon les renseignements publiés à ce jour par le CIRC, le dioxyde de titane RÉPOND maintenant aux critères de la catégorie D2A (cancérogène) du SIMDUT; il n'est pas nécessaire d'attendre la publication de la monographie complète.

On conseille aux fabricants et aux fournisseurs de dioxyde de titane de réviser et de mettre à jour, dès que possible, leurs fiches signalétiques et étiquettes de produit à la lumière de ces nouveaux renseignements. Les employeurs devraient modifier leurs programmes d'hygiène du travail afin de s'assurer d'éliminer ou de réduire le plus possible l'exposition à la poussière de dioxyde de titane. Les travailleurs devraient être éduqués au sujet de ce risque pour la santé nouvellement reconnu et recevoir une formation sur les méthodes de travail appropriées.

* L'administration intratrachéale est une méthode d'exposition qui introduit le produit directement dans les poumons par la trachée en évitant les mécanismes de protection du système respiratoire.

Pour de plus amples renseignements :

International Agency for Research on Cancer (IARC): Titanium dioxide (IARC Group 2B), Summary of reported data, Feb. 2006 (en anglais)


Santé Canada : Questions reliées à des dangers spécifiques - substances évaluées pour leur cancérogénicité


Baan, R., et al. Carcinogenicity of carbon black, titanium dioxide, and talc. The Lancet Oncology. Vol. 7 (Apr. 2006). P. 295-296 (en anglais)

Pour en savoir plus sur CHEMINFO

Nouvelles de nos partenariats

Des partenaires mondiaux adoptent un système d'alerte rapide pour les zoonoses print this article

En juillet 2006, l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE) et l'Organisation mondiale de la santé (OMS) ont inauguré un système mondial d'alerte rapide pour les maladies animales transmissibles aux humains (zoonoses). Tout nouveau en son genre, ce système mondial d'alerte et d'intervention rapides, le GLEWS, vise à prévoir la survenue de maladies animales à l'échelle mondiale, notamment des zoonoses, et à intervenir pour contrôler la situation.

L'absence d'un système de dépistage des maladies animales et d'intervention dès les premiers stades de la maladie ainsi que l'incapacité de maîtriser à la source des maladies importantes ont contribué à la propagation transfrontalière de maladies d'origine animale. Au nombre de ces maladies, on compte l'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), la fièvre aphteuse (FA), la peste porcine classique (PPC) et la grippe aviaire.

Le nouveau système GLEWS vise à fournir des outils de prévision et d'intervention améliorés face aux menaces que représentent les maladies animales par l'intermédiaire de l'échange de renseignements, d'analyses épidémiologiques et de missions conjointes sur le terrain ayant pour but d'évaluer et de maîtriser les éclosions chez les animaux et les humains. L'histoire montre que le dépistage précoce et rigoureux de nouvelles éclosions de maladies épidémiques chez le bétail et la capacité de prévoir leur propagation sont essentiels si l'on veut pouvoir contenir et maîtriser ces maladies.

" Aujourd'hui, la propagation de la grippe aviaire souligne la nécessité d'une collaboration étroite entre les secteurs de la santé animale et humaine, et l'importance critique du dépistage et de la coordination précoces ", affirme Suzanne Weber-Mosdorf, directrice générale adjointe de l'OMS. " Le nouveau réseau est un grand pas en avant. "

En utilisant la plateforme électronique du GLEWS sur le Web, les organisations-partenaires partageront leurs canaux de suivi et de vérification, ce qui leur permettra d'analyser conjointement les données et de décider si des messages d'alerte rapides doivent être diffusés. Ces messages d'alerte décriront les conséquences possibles de la propagation de la maladie chez les animaux aux échelons international, national et régional, de même que ses répercussions potentielles sur la santé publique.

Éventuellement, le système devrait renforcer la qualité et l'exactitude de l'information diffusée sur les zoonoses. On s'attend à ce que les efforts conjoints de l'ensemble des partenaires renforcent les capacités analytiques et la surveillance mondiale axée sur les risques, en vue de déterminer où surviennent les maladies animales transfrontalières, et en ayant pour objectif ultime de contenir et de maîtriser les maladies.

Le succès du système dépendra largement de la qualité de l'information recueillie à la source, de même que de la capacité des autorités vétérinaires nationales de déclarer de façon structurée et rapide les cas de maladie et de partager l'information à tous les échelons.

De l'avis du Dr Bernard Vallat, directeur général de l'OIE, " Sur le plan de la santé animale, le contrôle précoce des maladies animales contagieuses est plus facile et moins coûteux pour la communauté internationale. Dans les cas de zoonoses, ce système permettra l'application de mesures de contrôle qui peuvent aussi avoir des retombées positives pour la santé publique ".

Pour de plus amples renseignements sur les zoonoses, rendez-vous sur le site de l'OMS (en anglais)


Consultez également le communiqué de presse émis par l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture

Réponses SST

Programmes d'aide aux employés - De l'aide au bout du filprint this article

Les PAE ont vu le jour dans les années 40. Ils visaient à donner accès à des services de counselling confidentiels et à court terme aux employés aux prises avec des problèmes personnels. Aujourd'hui, un grand nombre d'employeurs canadiens achètent des services de PAE afin que leur personnel et les membres de leur famille immédiate puissent en bénéficier.

L'objectif d'un PAE est d'offrir des services confidentiels et accessibles pour aider les employés à résoudre des problèmes susceptibles de nuire à leur travail, que ces problèmes soient liés au travail ou à d'autres facteurs. Les fournisseurs de services des PAE conseillent les employés sur un certain nombre de questions, dont les suivantes : difficultés personnelles, stress lié au travail, relations interpersonnelles, services aux personnes âgées, garde d'enfants, rôle parental, harcèlement, toxicomanies, séparation et décès, équilibre travail-famille, difficultés d'ordre financier ou légal et violence familiale.

Dans la plupart des cas, les membres du personnel ont facilement accès au numéro de téléphone du PAE. Au besoin, l'employé peut, en toute confidentialité, appeler lui-même au numéro fourni par l'employeur et prendre immédiatement contact avec un agent de liaison qui l'orientera vers le professionnel compétent. Selon la nature ou la gravité du problème, l'agent de liaison déterminera si l'employé doit être aiguillé vers un professionnel affilié au PAE ou vers une ressource externe (p. ex. un programme de toxicomanie).

Même si beaucoup d'employés communiquent avec le PAE de leur propre chef, d'autres sont parfois incités à le faire par l'entremise d'un superviseur, d'un ami ou d'un collègue de travail. Quoi qu'il en soit, aucun renseignement sur cet aiguillage informel ne figurera dans le dossier personnel de l'employé.

Lorsqu'un superviseur oriente un employé par un processus officiel, en recommandant qu'il consulte le PAE parce que son rendement au travail risque d'en souffrir, l'employeur peut décider de consigner cette information dans le dossier de l' ou s'en abstenir. Cependant, dans un cas comme dans l'autre, les discussions tenues lors des séances privées entre l'employé et le conseiller demeurent confidentielles, et l'employeur n'en sera jamais informé.

Choix d'un PAE

Les PAE peuvent prendre des formes multiples et, par conséquent, ne pas tous offrir les mêmes services. Si vous êtes à la recherche d'un PAE pour votre organisation, voici quelques questions importantes à poser à un prestataire de PAE potentiel :



  • Depuis combien d'années votre entreprise existe-t-elle? (Demandez une liste des entreprises desservies.)

  • Avez-vous des bureaux situés dans notre région?

  • Quels services dispensez-vous et comment les employés y ont-ils accès?

  • Combien de temps faut-il compter pour que vous retourniez l'appel d'un employé? (Idéalement, le délai devrait être de 24 à 48 heures.)

  • Comment déterminez-vous le type d'orientation dont l'employé a besoin? Votre liste de personnes ressources est-elle à jour?

  • De combien d'employés disposez-vous? Sont-ils accessibles en dehors des heures de bureau régulières, soit avant 9 h et après 17 h? Pourriez-vous me fournir des renseignements sur les titres de compétences de vos conseillers (études, formation et nombre d'années d'expérience)?

  • Comment faites-vous la promotion de vos services auprès des employés?

  • Quels types de rapports pouvez-vous produire pour les employeurs?

  • Quel est le coût de vos services?


Bon nombre d'employeurs et d'employés estiment que les PAE contribuent efficacement à recouvrer et à renforcer la santé et la productivité des employés tout autant que du milieu de travail.

Le CCHST offre des renseignements additionnels sur les PAE

Alertes au danger

Des travailleurs écrasés sous des murs de béton mal étayés print this article

Il y a quelques années, en Caroline du Nord, trois travailleurs de la construction prenaient leur pause-dîner à l'ombre d'un panneau mural en béton. Le mur, pesant 20 tonnes et mesurant 7,01 m de haut sur 6,09 m de large ayant été mal étayé, s'effondre sur les ouvriers, les tuant tous les trois.

Un autre incident mortel est survenu plus près de chez nous, au début de l'été. Un charpentier de Saint John a été tué sur le site de son travail, à Dieppe (Nouveau-Brunswick), lorsqu'un mur de béton s'est effondré sur lui. Le mur pesait plus de 27 tonnes. Les autorités de la santé et de la sécurité au travail et le bureau du coroner enquêtent sur l'incident.

La mise en place par relèvement, telle qu'elle est définie par l'Association canadienne du ciment, est une façon rapide et économique de construire des murs de béton. Les panneaux muraux sont d'abord coulés à plat sur la dalle de plancher. Ensuite, une fois que le béton a acquis une certaine résistance, une grue mobile soulève les panneaux et les pose sur la semelle de fondation. Les panneaux sont temporairement contreventés, tandis que l'on procède à la construction du toit et de la charpente du plancher de l'étage supérieur. Les structures en béton mises en place par relèvement sont le plus souvent utilisées pour les bâtiments de un à trois étages et, selon la Tilt-Up Concrete Association (TUCA), c'est la méthode privilégiée pour la construction de nombreux types de bâtiments. Cette méthode comporte des risques et des dangers dont il faut tenir compte si l'on veut s'assurer que les personnes concernées disposent de l'information, des outils et des compétences nécessaires pour travailler en toute sécurité dans cette industrie qui connaît une croissance rapide.

Une enquête sur l'incident survenu en Caroline du Nord a révélé que l'employeur n'avait pas installé de contrevents adéquats et qu'il avait enlevé les contrevents temporaires de plusieurs des panneaux muraux avant d'avoir achevé l'assemblage permanent de la structure. Les soudures des poutrelles n'étaient pas toutes achevées et les coulis ainsi que les baguettes de renforcement pour béton coulé - une exigence précisée dans les documents contractuels - n'étaient pas tous en place au moment où les contrevents temporaires avaient été enlevés. Par ailleurs, plusieurs poutrelles d'acier de série K destinées à être fixées aux plaques encastrées n'avaient pas été soudées ou solidement fixées. Qui plus est, ni les superviseurs ni les ouvriers ne possédaient les connaissances et la formation nécessaires pour travailler de façon sécuritaire et gérer les risques associés à la mise en place par relèvement.

À la suite des décès survenus en Caroline du Nord, l'Occupational Safety and Health Administration (OSHA) a publié un Safety and Health Information Bulletin afin d'aider les employeurs à offrir un lieu de travail sain et sécuritaire.

Dans son bulletin, l'OSHA recommande aux employeurs de respecter les mesures de sécurité suivantes :


  • Maintenir des programmes assurant des inspections fréquentes du lieu de travail, des matériaux et de l'équipement par des personnes désignées compétentes;

  • Veiller à ce que chaque employé connaisse bien la réglementation applicable dans son milieu de travail et qu'il ait reçu la formation nécessaire pour reconnaître et éviter les conditions de travail non sécuritaires. (Par exemple, les employeurs doivent aviser les superviseurs et les ouvriers de ne pas retirer les contrevents temporaires tant et aussi longtemps que la structure du toit et/ou les colonnes n'ont pas été fixées pour stabiliser le bâtiment.)

  • Se conformer à toutes les exigences relatives à la construction d'éléments en béton préfabriqué;

  • S'assurer que le contreventement des panneaux de béton est suffisamment solide pour résister au vent et aux forces latérales;

  • N'embaucher que des soudeurs diplômés pour la soudure des poutrelles d'acier destinées à être encastrées dans les panneaux muraux en béton mis en place par relèvement.


Des renseignements complémentaires sont accessibles aux adresses Web suivantes :


Safety and Health Information Bulletin de l'OSHA (en anglais)


Association canadienne du ciment


Tilt-Up Concrete Association (TCA) (en anglais)

Nouvelles du CCHST

CHEMINFO - Une source de renseignements fiables sur la sécurité en matière de produits chimiquesprint this article

Une personne consulte une fiche CHEMINFO toutes les deux minutes, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept. Utilisée par des milliers de gens, la base de données CHEMINFO comporte des renseignements concis sur la santé et la sécurité au travail fondés sur un examen et une évaluation approfondis de toute l'information existante. Les profils de " CHEMINFO " décrivent les risques et les mesures de prévention en milieu de travail dans un langage clair et non technique.

Un camion-citerne se renverse sur une route achalandée. Le service d'incendie de la localité intervient, mais il a besoin de savoir quelles précautions il doit prendre pour gérer un déversement. Une affiche sur le camion-citerne indique qu'il contient un liquide inflammable toxique pour l'environnement (UN1239). Qu'est-ce que cela signifie au juste? Quels sont les risques associés à cette matière?

En consultant la base de données CHEMINFO du CCHST, les intervenants en cas d'urgence instantanément accès à des renseignements critiques concernant cette matière dangereuse. Ils sauront qu'il s'agit d'éther méthylique monochloré, un produit chimique extrêmement toxique s'il est inhalé, qu'il est cancérogène, en plus d'être corrosif pour la peau, les yeux et les voies respiratoires. Ils apprendront également que l'éther méthylique monochloré est inflammable et qu'il réagit rapidement au contact de l'eau en dégageant des substances chimiques corrosives, inflammables et toxiques.

Une travailleuse s'affaire à pulvériser un produit à base de styrène et se demande si le lieu de travail devrait être aéré et si l'appareil de protection respiratoire qu'elle porte est adéquat. Elle trouvera des réponses à ses questions en interrogeant le profil du styrène dans la base de données CHEMINFO.

Un professionnel du SIMDUT prépare un cours de formation adapté à un lieu de travail spécifique portant sur un nouvel adhésif sur le point d'être ajouté à la chaîne de fabrication. Un de ses composants, un sensibilisant cutané, suscite des inquiétudes et il souhaite obtenir un complément d'information à la fiche signalétique (FS) du produit. Là encore, CHEMINFO peut l'aider à y voir plus clair.

Nombreux sont les professionnels de la santé et de la sécurité au travail, les superviseurs et leurs employés travaillant au contact de produits chimiques, les intervenants en cas d'urgence et les personnes qui utilisent ou rédigent des fiches signalétiques (FS) qui comptent désormais sur la base de données CHEMINFO en tant que source exhaustive de renseignements à jour sur les produits chimiques. Qu'attendez-vous pour y jeter un coup d'œil?

Des renseignements additionnels sur les modalités d'achat sont accessibles à l'adresse :
www.cchst.ca/products/cheminfo


Pour consulter une fiche-échantillon (en anglais) de CHEMINFO :
hydrogène sulfuré

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