Le rapport sur la santé et la sécuritéVol. 5, No. 9 septembre 2007

Dans les nouvelles

Commencer par le commencement!print this article

Une victime d'accident s'en remet souvent à un médecin pour lui administrer les soins nécessaires à sa survie. Cependant, avant de demander de l'aide médicale, un autre héro inconnu peut faire une énorme différence! Le secouriste, habituellement une personne sans expertise médicale mais qui a reçu une formation sur la façon de minimiser les blessures ou les incapacités, joue un rôle essentiel.

C'est pourquoi la loi sur la santé et la sécurité au travail exige qu'un certain nombre de travailleurs suivent une formation à jour et possède une certification dans l'administration des premiers soins. Les employeurs ont la responsabilité d'assurer un milieu de travail sécuritaire et sain, raisonnablement exempt de risques professionnels. Cependant, malgré les efforts de chacun, il arrive parfois que des travailleurs tombent malades ou se blessent. Le secouriste peut venir en aide simplement en recouvrant une blessure d'un pansement adhésif. Néanmoins, dans le cas d'une blessure ou d'une maladie grave, le secouriste peut parfois fournir des soins essentiels jusqu'à l'arrivée du personnel médical. Un nombre incalculable de secouristes ont transformé ou sauvé des vies en stabilisant l'état d'un patient, en arrêtant une hémorragie, en assurant la respiration d'un patient, en réduisant les chocs ou en prévenant d'autres blessures.

Mise en garde - L'administration des premiers soins est certainement valable, mais on ne doit jamais recourir à ces derniers lorsque de soins médicaux donnés par des personnes qualifiées et expérimentées sont requis. Dans le cas d'une blessure ou d'une maladie grave, ou si on ignore la gravité d'une blessure ou d'une maladie, on doit appeler immédiatement le 911, le centre antipoison local ou le service d'urgence local.

Les premiers soins : une exigence légale

Les exigences relatives aux premiers soins énoncées dans la législation en matière de santé et de sécurité varient d'une sphère de compétence à une autre. Le nombre de trousses de premiers soins, le type de trousses, le nombre de secouristes qualifiés ou l'équipement de premiers soins requis dans le lieu de travail peuvent être différents d'une province ou d'un territoire à l'autre. Cependant, la plupart des sphères de compétence tendent à avoir des exigences générales similaires en matière de premiers soins. Les exigences qui s'appliquent à votre lieu de travail peuvent se résumer comme suit :


  • L'endroit où afficher l'information et les avis relatifs aux premiers soins dans le lieu de travail;

  • Les registres et la documentation nécessaires relatives aux premiers soins;

  • Le type d'installations de premiers soins qui doit être fourni;

  • Le contenu exact d'une trousse de premiers soins;

  • La certification que doivent posséder les secouristes.


Les mesures législatives en vigueur dans la plupart des sphères de compétence vous obligent à entreposer vos trousses de premiers soins dans un endroit clairement indiqué et facilement accessible. Elles vous obligent également à vérifier le contenu des trousses et à réapprovisionner ces dernières de façon régulière.

Signalement d'un incident

Après l'administration des premiers soins, votre responsabilité ne s'arrête pas là. Vous devez, en vertu de la loi, en informer votre superviseur, et ce, pour de nombreuses raisons. Les conditions dangereuses portées à l'attention de l'employeur et du comité de santé et de sécurité permettent à ces derniers de prendre immédiatement des mesures correctives. Le signalement d'un incident sert de registre dans le cas d'une demande d'indemnité. Le signalement adéquat d'un incident aide également le personnel chargé de la sécurité à effectuer une enquête approfondie sur l'incident afin d'éviter que celui-ci ne se reproduise.

La loi exige que tout accident ou incident ou toute blessure ou maladie qui survient dans un lieu de travail soit signalée sur un formulaire spécifique. Un formulaire distinct est également exigé dans le cas d'une réclamation auprès de la Commission des accidents du travail.

Pour en savoir davantage

Le Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail (CCHST) a préparé une liste de références relatives aux législations provinciale et fédérale au Canada, dans laquelle vous trouverez de l'information sur les premiers soins. Pour connaître exactement les exigences en vigueur dans votre sphère de compétence, communiquez avec l'autorité locale en matière de santé et de sécurité au travail mentionnée dans la liste des Services gouvernementaux canadiens responsables de la santé et la sécurité au travail.

Les abonnés du service Législation enviroSST canadienne plus Standards du CCHST peuvent également consulter le texte intégral de toutes les lois canadiennes sur la santé, la sécurité et l'environnement par sphère de compétence, y compris les exigences en matière de premiers soins. Consultez le site Web pour obtenir de plus amples renseignements sur ce service.

Réponses SST

Écoutez bien ceci!print this article

La façon la plus sûre de protéger les travailleurs d'un préjudice ou d'une blessure est d'éliminer le risque à la source. Cependant, cela n'est pas toujours possible, particulièrement lorsqu'il s'agit de bruit. Dans les lieux de travail où le niveau sonore dépasse 85 décibels, les travailleurs courent un risque de perte auditive.

Choisir des dispositifs de protection individuelle pour les travailleurs constitue une partie importante d'un programme complet de protection auditive dans le lieu de travail. Pour choisir le bon type de protecteur auditif, posez-vous les deux questions importantes suivantes : Le protecteur auditif protègera-t-il les travailleurs et ces derniers le porteront-ils?

Les fabricants offrent une variété de bouchons d'oreilles, de protège-tympans, et des serre-tête anti-bruit, tous ayant des avantages et des inconvénients.

Les bouchons d'oreilles peuvent être moulés individuellement pour s'ajuster à l'oreille. Certains sont réutilisables et d'autres sont jetables. Les bouchons d'oreilles sont faciles à utiliser, ils sont plus confortables que les serre-tête anti-bruit dans les environnements chauds et humides, et ils coûtent moins cher. Cependant, pour assurer une protection adéquate, ils doivent être insérés correctement. Ils offrent une moins bonne protection que certains serre-tête anti-bruit et ne conviennent pas dans les lieux où le niveau acoustique dépasse 105 dB(A) (décibels pondérés en gamme A).

Les serre-tête antibruit varient selon le matériau, la profondeur des oreillettes et la force de l'arceau. Plus les oreillettes sont lourdes et profondes, plus l'atténuation des fréquences graves est importante. Le serre-tête antibruit doit assurer une étanchéité adéquate au pourtour de l'oreille, mais ne doit pas être trop serré pour ne pas nuire au confort. Dans de nombreux cas, les serre-tête anti-bruit fournissent une plus grande protection que les bouchons d'oreilles. Ils sont plus faciles à ajuster, durent plus longtemps et leurs pièces peuvent être remplacées. En revanche, ils coûtent plus cher que les bouchons d'oreilles et sont moins confortables, surtout dans les lieux de travail où la chaleur est intense.

Comment choisir
La norme Z94.2-F02, Protecteurs auditifs : Performances, sélection, entretien et utilisation, de l'Association canadienne de normalisation (CSA) est le meilleur document à consulter au départ. Vous pouvez également vous informer auprès du ministère du Travail ou d'un autre organisme responsable de la législation en matière de santé et de sécurité au travail dans votre sphère de compétence au sujet du type de protection exigé par la loi en ce qui concerne votre lieu de travail. Au moment de choisir un protecteur auditif, consultez la documentation du fabricant pour connaître la réduction du niveau acoustique assuré par chaque dispositif. Finalement, essayez le dispositif pour savoir s'il convient, car un protecteur auditif n'est d'aucune utilité si les travailleurs le trouvent inconfortable. La meilleure approche consiste à laisser les travailleurs choisir eux-mêmes parmi différents modèles - qui offrent tous les niveaux de protection appropriés, évidemment - le protecteur auditif qui leur convient le mieux.

Autres points à garder à l'esprit :


  • Si le bruit est intermittent, les serre-tête anti-bruit constituent un meilleur choix. On peut toutefois trouver incommodant le fait d'enlever et de remettre des bouchons d'oreilles.
  • Un casque radio ne remplace pas un protecteur auditif! Cependant, il est important que le protecteur auditif n'empêche pas une communication efficace importante pour des raisons de sécurité (p. ex. avertissements verbaux d'évacuation, avertisseurs de recul sur l'équipement en mouvement).
  • Dans les lieux où le niveau acoustique est très élevé, un travailleur peut porter à la fois des bouchons d'oreilles et des serre-tête anti-bruit pour obtenir une meilleure protection.


Pour obtenir de plus amples renseignements sur l'efficacité des protecteurs auditifs pour réduire l'exposition au bruit des travailleurs et pour en savoir davantage au sujet des indices de réduction du bruit et de leur fonctionnement, consultez le site Web Réponses SST.

Alertes au danger

La sécurité dans les échelles, c'est important!print this article

Un fermier de l'île-du-Prince-Édouard a monté sur une échelle, qui était attachée à un silo à grains de 200 tonnes, afin de déloger des grains adhérents. Malheureusement, l'échelle était en mauvais état et avait été très mal installée. Lorsque le fermier est monté sur l'échelle, les deux montants ont brisé et l'échelle a commencé à se détacher du silo. Pour empirer les choses, les boulons du barreau après lequel le fermier s'accrochait sont sortis de leur trou. Le fermier, qui ne portait pas de dispositif de protection contre les chutes, est tombé d'une hauteur de 20 pieds et a été grièvement blessé.

Selon l'Alerte au danger de la Worker's Compensation Board de l'Île-du-Prince-Édouard, une enquête ultérieure a révélé que le silo à grains avait été installé il y avait moins de quatre ans. Cependant, l'échelle extérieure avait été fabriquée avec des matériaux qui ne répondaient pas aux exigences de l'Association canadienne de normalisation (CSA). Fabriquée de tuyaux d'aluminium, l'échelle s'est affaiblie aux points de sertissage et aux endroits où les trous de boulons étaient forés.

L'article 17 de la Occupational Health and Safety Act de l'Île-du-Prince-Édouard stipule " qu' un travailleur autonome doit prendre toutes les précautions possibles pour assurer sa santé et sa sécurité, et celles des autres personnes… ". Dans ce cas, le fermier aurait été mieux protégé s'il avait porté un dispositif de protection contre les chutes. Les personnes qui travaillent en hauteur doivent suivre une formation sur les dispositifs de protection contre les chutes et porter l'équipement de sécurité approprié.

La Loi établit, en vertu de l'article 15, " qu' un fournisseur doit s'assurer que tout article, dispositif, matériau, équipement ou que toute machinerie qu'il livre dans un lieu de travail est munie des dispositifs de sécurité appropriés exigés par les règlements ".

Afin de prévenir un incident comme celui décrit plus haut, les échelles doivent satisfaire aux normes de la CSA. La Worker's Compensation Board de l'Île-du-Prince-Édouard recommande que les échelles soient soudées ensemble plutôt que boulonnées, et qu'elles soient conçues par un ingénieur.

L'utilisation des échelles est une cause fréquente de blessures graves. Avant de monter sur une échelle, le travailleur doit vérifier la fatigue du métal, la présence de rouille et de fissures sur les sur les barreaux et les montants. Les boulons rouillés ou les barreaux fléchis doivent être remplacés. Les écrous et les boulons doivent être bien serrés.

Les lieux de travail, y compris les fermes, doivent limiter l'accès aux échelles afin d'éviter que des enfants ou des personnes non autorisées n'y montent. Il existe plusieurs façons de limiter l'accès aux échelles - à l'aide d'une plaque d'obstruction qui couvre les barreaux inférieurs; en enlevant les quatre barreaux inférieurs de façon que l'on ne puisse y accéder facilement depuis le sol; ou en utilisant une échelle amovible ou escamotable.

Les aires intérieures, telles que les silos à grains, doivent être munies d'un point d'ancrage spécial aménagé dans le toit pour y attacher un dispositif de protection contre les chutes. Des plates-formes palières de sortie doivent également être mises en place à tous les 10 pieds ou des escaliers en colimaçon munis d'une rampe doivent être utilisés.

Nouvelles du CCHST

Comment mettre en place un environnement de travail sécuritaire et sain au bureauprint this article

Le travail de bureau n'exige généralement pas de sauts en hauteur périlleux, pas plus que l'utilisation d'équipement motorisé énorme, que de grandes prouesses physiques ou qu'une agilité extraordinaire. Est-ce que le bureau est pour autant un lieu de travail foncièrement sécuritaire? Pas toujours. La santé et la sécurité au bureau pour les gestionnaires, un nouveau cours en ligne offert par le Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail (CCHST), renseigne les gestionnaires et les superviseurs sur les risques potentiels de préjudices et de blessures au bureau et sur la façon d'y faire face.

Une maladie ou une blessure professionnelle est coûteuse, tant sur le plan personnel que sur le plan financier, qu'elle survienne dans un bureau, dans une mine de charbon ou dans un hôpital. Imaginons qu'un commis de bureau se penche pour ramasser un objet par terre, se relève, se frappe la tête contre le dessus de son bureau et perde conscience. Ou imaginons qu'un élément de rayonnage se détache du mur et tombe par terre, piégeant un commis sous un amas d'objets. Voilà quelques-uns des types de blessures examinés dans le cours La santé et la sécurité au bureau pour les gestionnaires. Le cours traite des glissades, des trébuchements et des chutes, de l'évacuation en cas d'incendie, de la sécurité des produits chimiques (SIMDUT), de l'ergonomie, de la qualité de l'air intérieur, de l'éclairage, du bruit et de la température. Il aborde également le stress lié au travail, la violence, la conduite automobile, les voyages d'affaires et plus encore.

Ce cours en ligne du CCHST explique pourquoi il est essentiel de prévenir les maladies et les blessures au bureau, et précise exactement ce que peuvent faire les gestionnaires de bureau. Il donne aux gestionnaires un aperçu de leurs responsabilités conformément à la loi sur la santé et la sécurité, y compris les inspections, les enquêtes sur les accidents, la façon d'appuyer le comité de santé et de sécurité dans son travail, et la façon de faire preuve de diligence raisonnable. Le retour en temps opportun des travailleurs au bureau - après une maladie ou une blessure - est un autre sujet important abordé dans ce cours en ligne.

À la fin du cours, les participants connaîtront et comprendront leurs responsabilités en matière de santé et de sécurité au travail et sauront comment la loi s'applique à eux. Ils seront en mesure d'identifier les risques, de s'attaquer aux problèmes de sécurité et d'aider leurs collègues à préserver un environnement de travail sécuritaire et sain au bureau.

Le cours en ligne comprend des histoires de cas et des tests éclairs, et permet aux participants de soumettre des questions aux experts du CCHST. Les participants reçoivent un certificat lorsqu'ils ont réussi l'examen final. La note de passage est de 80 %.

Répondant aux mêmes normes élevées que les autres cours en ligne du CCHST, La santé et la sécurité au bureau pour les gestionnaires a été élaboré par des experts du domaine et révisé par des représentants syndicaux, des représentants du monde des affaires et des membres d'organismes gouvernementaux.

Pour obtenir des renseignements sur le prix et les modalités d'inscription à ce cours en ligne, se reporter à l'adresse suivante : www.cchst.ca/products/courses/hs_office_mgrs/.

Nouvelles de nos partenariats

La ligne d'information d'urgence tient les employés de TPSGC informés durant des situations d'urgence print this article

Imaginez ceci. Un soir, vous êtes en train de lire à la maison quand une panne d'électricité survient. Le lendemain, vous vous rendez compte qu'il s'agit d'une panne d'électricité majeure touchant plusieurs provinces et États. Personne ne sait quand la situation sera rétablie. Vous vous demandez si vous devez vous rendre au travail.

Les employés de Travaux publics et Services gouvernementaux Canada (TPSGC) n'ont qu'à utiliser la Ligne d'information d'urgence pour les employés pour connaître la réponse.

Les situations d'urgence, comme la panne d'électricité d'août 2003 en Ontario et dans le Nord-Est des États-Unis, représentent un enjeu particulier pour les employeurs. À titre de gestionnaire immobilier et d'employeur important du gouvernement du Canada, TPSGC était confronté à un enjeu de taille. Cette panne d'électricité lui a permis de s'assurer que ses procédures d'urgence étaient à jour.

On a déterminé rapidement qu'une ligne d'information d'urgence pour les employés pourrait permettre à tous les employés, peu importe où ils se trouvent, d'accéder à de l'information claire, exacte et pertinente leur indiquant comment se rendre au travail de manière sécuritaire. Une ligne d'information d'urgence serait un outil inestimable pendant les situations d'urgence dans les immeubles, les catastrophes naturelles, comme les feux et les inondations, ou une grève du transport en commun.

On a d'abord cru que TPSGC pourrait devoir acheter de l'équipement coûteux pour traiter le volume d'appels prévu. Cependant, le Centre national d'appels de service du Ministère, qui est situé à Toronto, possédait déjà la technologie nécessaire.

Le Centre national d'appels de service a été créé pour traiter les demandes d'entretien des immeubles faites par les fonctionnaires fédéraux qui travaillent dans les installations de TPSGC louées ou appartenant à l'État. Ouvert tous les jours, 24 heures sur 24, le Centre traite environ 1 100 appels et 900 demandes de service par jour et il répond à 80 % de ses appels en moins de 15 secondes. Grâce à sa technologie et à son savoir-faire, le Centre national d'appels pourrait sans doute gérer la Ligne d'information d'urgence proposée, et ce, à un coût beaucoup moindre qu'ailleurs. Mais qu'arriverait-il à ses opérations principales?

Marc Simoneau, gestionnaire, Centre national d'appels de service, TPSGC, explique : " Une situation d'urgence génèrerait un volume d'appels extrêmement élevé pendant de courtes périodes, ce qui pourrait perturber nos services principaux et entraîner des problèmes pour la Ligne d'information d'urgence, comme un blocage des appels. "

Heureusement, une étude de faisabilité a révélé que seuls quelques ajustements devront être apportés au Centre d'appels pour que celui-ci puisse s'occuper de la Ligne d'information d'urgence.

" Nous estimons que ces ajustements mineurs permettront à la Ligne d'information d'urgence pour les employés de répondre à au moins 300 appels en 15 minutes, dont 45 de ces appels seront reçus simultanément, a déclaré M. Simoneau. Il a fallu environ trois mois pour terminer le projet, de la conception à la mise en œuvre. "

Le processus sera transparent pour les utilisateurs. Lorsque le Centre national d'appels de service sera avisé d'une situation d'urgence, le message sera affiché sur la Ligne d'information d'urgence dans les deux langues officielles en moins de 15 minutes. Le système de notification sera protégé par un mot de passe pour assurer l'intégrité du processus. Il pourra être utilisé simultanément par toutes les régions, et même par différentes provinces dans certaines des régions.

Les employés recevront un numéro sans frais qu'ils devront composer en cas d'urgence. Le système reconnaîtra le code régional de l'appelant et, lorsque l'employé choisira entre le français ou l'anglais, il générera automatiquement le message visant cette région particulière. Les employés qui appelleront à partir d'un numéro de téléphone à l'extérieur de leur propre code régional pourront attendre la fin du message préenregistré pour choisir un autre code régional.

La ligne d'information d'urgence a été lancée officiellement en septembre 2005 pendant la semaine de la planification de la continuité des opérations. Pendant les six premiers mois, la ligne d'information a été activée pour sept incidents : cinq fortes tempêtes d'hiver, une grève du transport en commun possible et une panne d'électricité majeure, qui a généré 5 500 appels. Aujourd'hui, les employés de TPSGC utilisent de plus en plus la Ligne d'information d'urgence, qui reçoit environ 500 appels par situation d'urgence.

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