Le rapport sur la santé et la sécuritéVol 18, No. 09

Sujet d'actualité

Contribuer à la sécurité de tous en temps de pandémieprint this article

À mesure que la pandémie de COVID-19 évolue, certains employeurs préparent le retour d’un nombre limité de travailleurs dans le milieu de travail. Ces travailleurs se joignent à ceux qui sont restés sur place (p. ex. les personnes qui travaillent à l’extérieur et les travailleurs du secteur des ventes au détail/de l’épicerie, de l’expédition et du transport). En raison des préoccupations liées au retour en classe et à l’augmentation du nombre de cas consignés de COVID-19, il est essentiel que tout le monde contribue à éviter de propager la maladie, que ce soit à la maison, au travail ou dans la communauté.

Nous avons tous un rôle à jouer dans la lutte contre la propagation

À la maison

Vous pouvez prendre des mesures pour vous protéger ainsi que pour protéger vos collègues et votre communauté. La première mesure à prendre consiste à surveiller, tous les jours, votre état de santé pour voir si vous avez des symptômes de la COVID-19. Les symptômes les plus fréquents sont les suivants : apparition ou aggravation de toux, essoufflement ou difficulté respiratoire, fièvre et frissons. Si vous présentez ces symptômes, restez à la maison.

Même si vous n’avez pas de symptômes, limitez les contacts avec des personnes qui ne font pas partie de votre famille ou de votre bulle. Votre risque d’exposition augmente avec chaque personne avec qui vous entrez en contact et qui n’habite pas à votre adresse ou ne fait pas partie de votre bulle; il est donc important d’être conscient des expositions possibles. Vous pouvez télécharger gratuitement l’application Alerte COVID-19, qui sert à vous aviser en cas d’exposition, pour savoir si vous devriez subir un test de dépistage. Vous pouvez également signaler que vous avez la COVID-19 en toute confidentialité, ce qui permet de suivre la pandémie et de réduire la propagation grâce à l’identification des régions touchées.

Au travail

Ce que peuvent faire les employeurs

Même si, selon le système de responsabilité interne, toutes les parties présentes dans le milieu de travail ont un rôle à jouer, il incombe essentiellement aux employeurs de veiller à la sécurité de leurs employés. L’obligation des employeurs consiste donc tout d’abord à élaborer une politique souple sur la présence au travail qui permet aux travailleurs de rester à la maison s’ils sont malades ou s’ils doivent s’occuper d’un membre de la famille qui est malade. Un employeur qui appuie cette politique encourage fortement ses travailleurs à rester chez eux s’ils sont malades, même si leurs symptômes sont légers. L’outil de dépistage de la COVID-19 pourra vous aider à repérer les symptômes. Demandez aux travailleurs de vous signaler s’ils ont reçu un diagnostic de COVID‑19 afin que vous puissiez prendre des mesures pour protéger leurs collègues.

Une question dans l’outil de dépistage porte sur les voyages à l’étranger : est-ce que le travailleur ou un membre de son ménage a voyagé à l’extérieur du Canada au cours des 14 derniers jours? Si c’est le cas, l’employé n’est pas autorisé à entrer dans l’établissement. De plus, le questionnaire comprend des questions sur la présence de symptômes; il peut être utilisé en personne ou au téléphone pour déterminer si un travailleur peut venir au travail ou s’il devrait rester à la maison.

Encouragez les travailleurs à nettoyer et à désinfecter plus souvent leur espace de travail personnel et donnez-leur les moyens de le faire (p. ex. lingettes désinfectantes). Installez des affiches pour rappeler aux travailleurs et aux clients d’adopter des pratiques de travail sécuritaires. Là où il n’est pas possible de respecter les mesures de distanciation physique, installez des barrières physiques, comme des panneaux de plexiglas.

Améliorez l’accès aux installations d’hygiène des mains, y compris pour les personnes qui sont handicapées ou ont besoin de mesures d’adaptation.

Faites participer votre comité de santé et sécurité ou un représentant du comité à l’évaluation des risques sur le lieu de travail. 

Ce que peuvent faire les travailleurs

Restez informé, soyez bien préparé et suivez les conseils en matière de santé publique. Obtenez des renseignements crédibles sur la COVID-19 auprès de sources fiables comme l’Agence de la santé publique du Canada ou votre autorité de santé publique locale.

De bonnes pratiques d’hygiène sont essentielles à la réduction de la propagation de la maladie. Lavez‑vous les mains souvent avec du savon et de l’eau pendant au moins 20 secondes, ou utilisez un désinfectant pour les mains contenant au moins 60 % d’alcool. Évitez de vous toucher le visage si vos mains ne sont pas propres, et toussez ou éternuez dans un mouchoir ou dans votre coude. Nettoyez et désinfectez les surfaces et les objets fréquemment touchés.

Lorsque vous sortez, tenez-vous à une distance de 2 mètres des autres. Portez un masque ou un couvre-visage s’il n’est pas possible de maintenir de façon systématique une distance de 2 mètres avec les autres, surtout dans les foules.

Si vous avez des symptômes, si vous vous sentez malade, ou si vous avez été en contact avec une personne possiblement atteinte de la COVID-19, restez à la maison et isolez-vous. Communiquez immédiatement avec votre professionnel de la santé ou l’autorité sanitaire locale et suivez leurs conseils. Si vous êtes au travail et que vous vous sentez malade, isolez-vous et avisez votre gestionnaire que vous devez rentrer à la maison. Si possible, évitez de prendre les transports en commun.

La COVID-19 a créé de nombreux défis en milieu de travail; alors que la pandémie se poursuit et continuera d’évoluer à l’automne et par la suite, nous pouvons faire des choix et prendre des mesures qui réduiront les risques. En restant informés et en faisant preuve de souplesse, nous pouvons tous jouer un rôle pour ralentir la propagation.

Ressources :

Prévenir les chutes sur le lieu de travail à l’aide des garde-corpsprint this article

Les garde-corps sont utilisés pour protéger les travailleurs contre les chutes qui peuvent entraîner des blessures ou la mort. À la différence des mains courantes, qui servent de support pour monter ou descendre des escaliers, emprunter une rampe ou traverser des surfaces planes, les garde-corps sont conçus pour empêcher les chutes par-dessus un bord non protégé ou dans une ouverture. Les garde-corps agissent comme une barrière visible et physique pour prévenir les chutes de hauteur ou entre les étages, y compris les chutes à partir des toits, des balcons, des cages d’escalier ou dans des trous ouverts. Il s’agit d’un moyen privilégié de protéger les travailleurs, puisqu’ils ne nécessitent pas de formation et peuvent éliminer la nécessité pour les travailleurs de porter une protection contre les chutes.

D’abord, déterminez le type de garde-corps dont vous aurez besoin. Il existe deux types de garde-corps : des garde-corps fabriqués sur place ou préfabriqués. Les garde-corps fabriqués sur place sont habituellement faits en bois, et les garde-corps préfabriqués sont offerts dans différents types de matériaux et peuvent être faits en partie de treillis, de filet ou de matériaux pour clôture.

Assurer la sécurité des travailleurs sur le lieu de travail

Voici les questions que vous devez vous poser lors de la construction et de l’installation du garde-corps :

  • Est-il suffisamment haut pour empêcher une personne de passer par-dessus?
  • Est-il assez fort pour résister à la force exercée par les nombreuses personnes susceptibles de s’appuyer contre lui ou de le pousser? Examinez les impacts possibles des outils et autres matériaux à proximité.
  • Y a-t-il suffisamment de montants espacés régulièrement et suffisamment proches les uns des autres pour éviter que les gens ne tombent à travers les brèches?
  • A-t-il été installé le plus près possible du bord ouvert?
  • A-t-il été installé sur toute la longueur de l’ouverture ou du bord?

Éléments à considérer pour la construction d’un garde-corps

Jusqu’à ce que le garde-corps soit complètement installé, il faut prévoir d’autres moyens pour protéger contre les chutes les travailleurs qui se trouvent près du bord non protégé (harnais, dispositif antichute, filets, etc.).

  • Tenir compte de la durée pendant laquelle le garde-corps sera utilisé (et tenir compte des conditions climatiques locales et d’autres facteurs environnementaux).
  • Si le garde-corps est fabriqué en bois, utiliser du bois de qualité construction ou d’une qualité supérieure. Certaines provinces ou certains territoires exigent l’utilisation du bois d’œuvre en épinette, en pin ou en sapin.
  • Le bois ne doit présenter aucun défaut visible nuisant à sa capacité de charge.
  • Choisir des pièces de fixation qui conviennent aux matériaux utilisés. S’assurer que tous les clous et les autres pièces de fixation utilisés résisteront aux forces qui leur seront appliquées.
  • S’assurer que la surface en bois est lisse et qu’il n’y a pas de clous ou de vis saillants ni de bords rugueux sur le garde-corps fini.
  • Ne pas utiliser de matériaux de construction usagés.

 

Ressources

Nouvelles du CCHST

CANManage gère vos fiches de données de sécuritéprint this article

Il est déjà assez difficile de se tenir au courant des fiches de données de sécurité en temps normal, sans avoir à le faire dans un contexte d’urgence. Afin d’aider les organisations à gérer leurs fiches de données de sécurité de manière efficiente et conforme au SIMDUT, le CCHST a mis sur pied le service de gestion en ligne CANManage.

Ce système s’assure pour vous que votre collection de fiches est accessible, à jour et complète. Il regroupe toutes vos fiches de données de sécurité en un seul endroit pour vous aider à vous conformer aux exigences en vigueur. CANManage offre l’accès à un centre de soutien en ligne qui comprend des guides de l’utilisateur, des documents pratiques, une foire aux questions et des liens vers les ressources du SIMDUT 2015.

Il n’est pas toujours facile de gérer les fiches de données de sécurité et d’y accéder sur le lieu de travail. En situation d’urgence, il est essentiel de veiller au respect du SIMDUT et à ce que tous les renseignements importants soient accessibles afin de protéger les travailleurs.

CANManage crée entièrement les collections en ligne en fonction de vos besoins en matière de fiches de données de sécurité. Le service est rapide et personnalisé, et vous bénéficiez de l’aide d’un gestionnaire de compte attitré. 

Pour en savoir plus, consultez : CANManage

Nouvelles de nos partenariats

Projet du TMD pour le passage vers les documents électroniques et répercussions sur les premiers intervenantsprint this article

La pandémie de COVID-19 ayant entraîné des changements dans les processus et les procédures au travail, la nécessité d’un processus d’expédition sûr et fiable s’est avérée indispensable. Ceci est essentiel pour que notre pays et ses travailleurs restent en bonne santé et connectés.

Dans le cadre de ses efforts pour donner la priorité au transport sûr et sécuritaire des marchandises dangereuses (TMD), Transports Canada a introduit la Réglementation évolutive du TMD sur les documents d’expédition électroniques, un projet pilote pour aider à évaluer l’efficacité et la sécurité des documents d’expédition électroniques. Ce projet vise à déterminer si la numérisation de ces documents peut atteindre un niveau de sécurité équivalent, voire supérieur, à celui du papier et de quelle manière. Il comprendra des évaluations des modes de transport aérien, maritime, ferroviaire et routier, tant en milieu rural qu’urbain.

Comme on le voit dans d’autres secteurs, la réduction des interactions personnelles et des échanges de biens physiques comme le papier peut contribuer à réduire la propagation des virus, y compris celui de la COVID-19. Dans le cadre du projet pilote de réglementation évolutive, Transports Canada continuera de faire progresser et d’adapter ses mesures de sécurité grâce à des approches nouvelles et temporaires, comme la mise à l’essai de documents d’expédition numériques. Le projet devrait être achevé en 2022, et les résultats en matière de bénéfices, de coûts et de rendement seront communiqués dans un rapport qui sera publié.

Êtes-vous un premier intervenant? Voici la manière dont vous pouvez bénéficier du passage au numérique.

Les documents numériques peuvent être particulièrement pratiques dans les situations d’urgence où les copies physiques des documents d’expédition obligatoires peuvent être perdues, détruites ou inaccessibles à l’intervenant. Cela peut entraîner un retard dans l’intervention d’urgence. En disposant d’une copie numérique, les premiers intervenants ont accès aux documents dont ils ont besoin chaque fois que la situation l’exige.

Avantages des documents électroniques

Outre le renforcement des mesures de sécurité et la réduction des délais d’intervention en cas d’urgence, les documents d’expédition électroniques présenteront les avantages suivants :

  • Plus faciles à lire et plus simples à mettre à jour;
  • Possibilité d’intégration à d’autres processus commerciaux numériques;
  • Plus flexibles et peuvent donner aux entreprises canadiennes un avantage concurrentiel, ce qui s’inscrit dans le plan du gouvernement du Canada visant à moderniser ses services;
  • Possibilité d’accroître la conformité et l’efficacité des industries au niveau national et international.

Rétroaction souhaitée

Si vous êtes un premier intervenant, ou un employé, un formateur ou un propriétaire de petite entreprise qui manipule des marchandises dangereuses, dites-nous comment les documents d’expédition électroniques pourraient avoir une incidence sur votre travail. Pour savoir comment participer, cliquez ici.

 

Ressources :

Mot de la fin..

Ressources gratuites pour aider à assurer la sécurité pendant la COVID-19 print this article

Comme la situation continue d’évoluer en ce qui concerne la COVID-19, le CCHST a prolongé l’accès gratuit à des cours et des publications en ligne utiles jusqu’au 31 décembre 2020. Les lieux de travail sont encouragés à utiliser et à partager largement ces ressources afin de prévenir la propagation et d’assurer la sécurité des travailleurs et des communautés.

Cours liés à la pandémie

  • L'ergonomie au bureau
  • La sensibilisation aux pandémies
  • La planification en prévision d'une pandémie
  • Planification en cas de pandémie : Reprise des activités pendant une pandémie
  • La santé mentale : milieux de travail sains sur le plan psychologique
  • La santé mentale : signes, symptômes et solutions
  • La santé mentale : stratégies en matière de santé et de mieux-être
  • Les troubles musculo-squelettiques : prévention

Publications liées à la pandémie

  • Éclosions de grippe et de maladies infectieuses Plan de continuité des opérations
  • Fiches-conseils en temps de pandémie (COVID-19)
  • Guide de planification des mesures d'urgence
  • Guide santé sécurité sur le télétravail et le bureau à domicile

 

Autres ressources du CCHST :

Législation

Demeurer au fait des changements législatifprint this article

Les lois régissant la santé et la sécurité au travail évoluent constamment. Ce mois-ci, nous attirons votre attention sur les modifications qui ont été apportées aux lois provinciales du Québec, du Nouveau‑Brunswick et de l’Ontario, et sur un lien vers les exigences mises à jour relatives à la reprise des activités dans le contexte de la pandémie de COVID-19.

Les règlements pris en vertu de la Loi sur la santé et la sécurité du travail du Québec ont été modifiés afin de refléter une nouvelle terminologie. Le terme « gaz comprimé » a été remplacé par « gaz sous pression ».

La Loi sur l’hygiène et la sécurité au travail du Nouveau-Brunswick a été modifiée par l’ajout des articles 36.1 à 36.6 (Pénalités administratives) et la modification du passage de l’article 37 portant sur les appels de pénalités administratives.

La Loi sur la santé et la sécurité au travail de l’Ontario a été modifiée afin de prévoir ce qui suit : le pouvoir d’adopter un code, une norme, un critère ou une mesure servant de guide comprend le pouvoir de les adopter dans leurs versions successives. Actuellement, le paragraphe 70(2) de la Loi sur la santé et la sécurité au travail inclut le pouvoir de prendre des règlements visant l’adoption par voie de renvoi d’un code, d’une norme, d’un critère ou d’une mesure qui sert de guide. (L.O. 2020, chap. 18, annexe 13)

2020 : Exigences liées à la reprise des activités dans le contexte de la COVID-19 au Canada (en anglais seulement)

Chaque province et chaque territoire établit ses propres plans pour répondre aux besoins de sa population et de son économie. Cette feuille de suivi résume l’état d’avancement des plans de reprise des activités, y compris à l’échelle communautaire, dans l’ensemble des administrations canadiennes. Elle contient de l’information sur les déclarations d’état d’urgence local, l’étape du plan de reprise à laquelle se trouve l’administration, les types de rassemblements autorisés, les diverses restrictions de voyage à l’échelle du pays, les exigences pour le port d’équipement de protection individuelle (EPI) et les liens vers les principales directives de relance et de santé et de sécurité. Cette feuille de suivi est mise à jour chaque semaine en fonction de l’évolution de la situation dans les différentes administrations au pays. 

Bourses d'études

Étudiants, votre engagement pourrait se révéler payantprint this article

Chaque année, le CCHST est à la recherche d’étudiants consciencieux et engagés inscrits à un programme d’études sur la santé et la sécurité au travail pour poser leur candidature à la Bourse d’études Dick Martin. Cette bourse nationale est offerte chaque année aux étudiants inscrits à un cours ou un programme d’études du domaine de la santé et de la sécurité au travail dans un établissement d’enseignement (collège ou université) canadien reconnu, et qui mène à l’obtention d’un certificat, d’un diplôme ou d’un grade dans ce domaine.

Deux bourses d’une valeur de 3 000 $ chacune seront accordées à des étudiants méritants, l’une à un étudiant d’une université et l’autre à un étudiant d’un collège. Une bourse de 500 $ sera également accordée à l’établissement d’enseignement de chacun des étudiants gagnants.

Pour poser leur candidature, les étudiants de niveau postsecondaire sont invités à soumettre une composition de 1 000 à 1 200 mots sur un des deux sujets liés à la santé et la sécurité au travail. Les compositions seront jugées en fonction de leur contenu, de leur valeur pratique et théorique, et de la présentation et du style. Cette année, les sujets sont les suivants :

  • Prévention : Choisissez un danger à risque élevé en milieu de travail. Que feriez-vous pour régler la situation et faire connaître le problème?
  • Technique : Faites des recherches sur un danger ou un risque existant ou nouveau (peut comprendre l’identification, l’évaluation et la maîtrise des risques).

Pour connaître les règles relatives à la demande, les critères et les autres directives, consultez la page www.cchst.ca/scholarship.

Vous n’êtes pas étudiant, mais vous en connaissez un? Faites suivre l’invitation!

La période de mise en candidature se termine à 23 h 59 (HNE) le 31 janvier 2021.

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Votre rétroaction et vos idées de sujets sont les bienvenues.

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Préparé par le Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail, le Rapport sur la santé et la sécurité est un bulletin de nouvelles mensuel qui fournit des renseignements, des conseils et des ressources pour aider à maintenir un milieu de travail sain et sécuritaire, et assurer le mieux-être global des travailleurs.

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