Entretien périodique - le jeudi 12 juillet à 17 h HAE
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Il s'agit d'équipement que portent les travailleurs pour réduire au minimum leur exposition à certains risques. On compte parmi ces équipements les appareils respiratoires, les gants, les tabliers, les amortisseurs de chute, les combinaisons complètes, ainsi que les dispositifs de protection pour la tête, les yeux et les pieds. Leur utilisation ne constitue que l'un des éléments d'un programme complet de maîtrise des dangers qui devrait comprendre divers moyens d'assurer aux travailleurs un milieu sain et sécuritaire. Ces équipements ne réduisent pas les risques eux-mêmes et ne garantissent pas une protection permanente et totale.
Il existe des risques dans tous les lieux de travail. La priorité consiste à suivre la « hiérarchie des mesures de maîtrise des risques », notamment l'élimination, la substitution ou les mesures d'ingénierie visant à prévenir les dangers à la source ou le long de la trajectoire entre la source et le travailleur. Les méthodes sont nombreuses et on doit choisir celles qui conviennent le mieux à chaque situation.
Des mesures de maîtrise sont habituellement prises :
Figure 1 : Points de maîtrise : à la source, le long de la trajectoire et sur le travailleur.
La méthode qui consiste à s'attaquer au danger à sa source constitue le premier choix puisqu'elle permet d'éliminer le danger du lieu de travail ou du moins de l'isoler des travailleurs. Cette méthode pourrait entraîner le remplacement de certaines matières par d'autres moins dangereuses, l'isolement de l'élément dangereux, la ventilation, l'ajout de dispositifs de sécurité à l'équipement existant, la redéfinition des méthodes de travail ou l'achat de nouveaux équipements. Les mesures administratives comme les pratiques de travail, l'éducation ou la formation et l'entretien des locaux constituent également des moyens de maîtriser les risques.
Lorsqu'un danger ne peut être éliminé ou convenablement maîtrisé, les équipements de protection individuelle (ÉPI) peuvent être utilisés.
L'ÉPI est considéré comme le niveau de protection ultime lorsqu'aucune des autres méthodes de protection n'est disponible ou envisageable. Consultez la fiche d'information Réponses SST intitulée Contrôle des dangers pour obtenir de l'information sur un programme de maîtrise des dangers.
Avant même de décider d'entreprendre ou d'élargir un programme d'ÉPI, il importe de comprendre les principes qui sous-tendent les stratégies de protection.
Les principaux éléments dont il faut tenir compte sont :
Une bonne stratégie globale tient compte des dangers, comporte une évaluation des risques, évalue toutes les méthodes de maîtrise possibles, intègre différentes approches et prévoit des réexamens fréquents des mesures de maîtrise afin de s'assurer que les dangers continuent d'être contrôlés.
Les ÉPI servent à réduire ou à minimiser l'exposition à des agents physiques, chimiques, ergonomiques ou biologiques nocifs ou le contact avec ces derniers. N'oubliez pas que le recours à un ÉPI « n'élimine pas » un danger. Il peut toutefois atténuer les risques de blessure. Par exemple, le port des protège-tympans ou des serre-têtes antibruit réduit les risques de dommages auditifs dans la mesure où ces derniers conviennent au type d'exposition au bruit et qu'ils sont utilisés correctement. Le port de protecteurs auditifs n'élimine toutefois pas le bruit.
On ne devrait avoir recours aux ÉPI que dans les circonstances suivantes :
En vertu de la loi, les travailleurs doivent porter des équipements de protection au travail lorsque requis. Il incombe, entre autres, aux employeurs de donner des directives sur les ÉPI requis, ainsi que sur leur entretien et nettoyage. Ils doivent également sensibiliser et former les travailleurs sur l'utilisation appropriée des ÉPI. Dans chaque province et territoire, il est clair que l'employeur est responsable de s'assurer du respect de ces exigences.
La loi ne précise toutefois pas toujours clairement qui doit assumer les coûts des ÉPI. La législation des provinces et territoires diffèrent sur ce point et pour certaines autorités législatives territoriales ou provinciales, cela dépend du type d'ÉPI requis. Par exemple :
NE PAS OUBLIER : le résumé qui précède est de nature générale seulement. Pour toute information sur la législation et l'exigence de fournir des ÉPI, veuillez toujours vérifier l'interprétation juridique exacte auprès de votre province ou territoire.
Un programme d'ÉPI doit être exhaustif. Il exige un engagement et une participation active de la direction, du personnel d'encadrement et des travailleurs à toutes les étapes, soit celles de la planification, de l'élaboration et de la mise en œuvre. Les éléments suivants sont essentiels à un bon programme d'ÉPI :
La politique de l'entreprise en matière d'hygiène et de sécurité au travail doit être un énoncé de principes et de règles générales qui serviront de guides d'action. La direction doit avoir à cœur de mettre à exécution cette politique et les mesures adoptées, et les programmes d'ÉPI doivent avoir la même importance et être considérés comme aussi importants que les autres politiques, mesures et programmes de l'entreprise.
La nomination d'un coordonnateur de programme permettra de s'assurer que le programme est couronné de succès. Il incombe au coordonnateur de veiller à ce que tous les éléments du programme soient en place et opérationnels.
Un programme doit être soigneusement planifié, élaboré en détail et mis en œuvre méthodiquement. Les effets bénéfiques du programme doivent être largement diffusés et la date limite pour s'y conformer doit être fixée longtemps à l'avance. Si les travailleurs n'ont jamais utilisé d'ÉPI auparavant, il faudra leur accorder du temps pour choisir le style qui leur convient le mieux, pour s'habituer à porter les ÉPI et pour se conformer au programme sans que des mesures d'application soient prises avant la date fixée.
Remarque : Une mise en œuvre graduelle n'est pas acceptable lorsqu'il faut pénétrer dans une atmosphère dangereuse ou lorsque l'absence d'équipements de protection entraîne des risques considérables de blessure grave.
Plus la participation des travailleurs sera grande à toutes les étapes du programme, plus sa mise en œuvre et sa gestion en seront facilitées. Les utilisateurs doivent être sensibilisés à la raison d'être des ÉPI et recevoir la formation nécessaire pour les utiliser correctement. L'efficacité et l'acceptation de l'ensemble du programme tiennent en grande partie à la méthode utilisée pour sa mise en œuvre.
En outre, les travailleurs risquent de ne pas se conformer de bon gré au programme si un élément des équipements n'est pas esthétique, s'il n'est pas confortable ou si on le leur impose sans qu'ils aient eu leur mot à dire dans son choix. Si possible, offrez-leur le choix de différents modèles ou marques d'ÉPI requis (tout en conservant la protection appropriée).
Si un travailleur retire son ÉPI, ne serait-ce que pendant de courtes périodes, la protection qu'il offre sera considérablement réduite. La perte de protection durant cette période pourrait dépasser largement la protection assurée pendant que les équipements sont portés.
À titre d'exemple, pour être pleinement efficaces, les protecteurs auditifs doivent être portés sans arrêt durant l'exécution d'un travail bruyant. S'ils sont retirés ne serait-ce qu'un bref instant, la protection est fortement réduite. Le tableau qui suit illustre la protection maximale assurée par le port interrompu d'un protecteur auditif d'une efficacité idéale de 100 %.
À titre d'exemple, si un travailleur retire un protecteur auditif offrant une atténuation acoustique de 25 dB durant cinq minutes au cours d'une heure, la protection maximale sera ramenée à 11 dB tout au plus.
Incidence de l'interruption du port d'un protecteur auditif | |
---|---|
Temps retiré (au cours d'une heure) | La protection maximale de 25 dB est ramenée au nombre de dB suivant : |
0 min | Aucune réduction |
1 min | 17 |
5 min | 11 |
10 min | 8 |
30 min | 3 |
60 min | 0 |
Source : Removal of hearing protectors severely reduces protection. Health and Safety Executive, R.-U. (pas de date de publication).
Pour être parfaitement efficaces, les protecteurs auditifs doivent être portés EN TOUT TEMPS.
La première étape de l'élaboration d'un programme d'ÉPI consiste à relever les dangers que présente le lieu de travail. Les pratiques de travail, les processus, les procédures de travail, l'équipement, les produits, l'aménagement du lieu de travail et différents facteurs doivent être examinés.
Une attention particulière doit être accordée aux exigences du travail, puisque certains types de risques exigent plusieurs ÉPI. Par exemple, le fait de travailler avec du chlore peut commander une protection respiratoire, cutanée et oculaire, puisque le chlore irrite le système respiratoire et les muqueuses de l'œil. Il importe de revoir continuellement les fiches de données de sécurité (FDS) puisqu'elles indiquent les dangers associés à des produits particuliers et formulent des recommandations en matière d'ÉPI.
Le comité de santé et de sécurité devrait faire partie intégrante de l'équipe qui relève les dangers et procède à l'évaluation des risques.
Une fois la nécessité des équipements de protection individuelle établie, on procédera au choix du bon type d'équipement selon deux critères :
Le degré de protection et la conception des équipements de protection sont intimement liés, les deux agissant de façon générale sur leur efficacité, leur portabilité et leur acceptation.
Voici quelques lignes directrices concernant le choix des ÉPI.
Il n'existe pas de méthode rapide pour choisir des équipements de protection individuelle et il faut choisir les équipements en fonction du danger. Dans certains cas, la même tâche se répète tout au long d'un cycle de travail, ce qui facilite le choix d'équipements appropriés. Dans d'autres, les travailleurs peuvent être exposés à plus d'un danger à la fois. Par exemple, un soudeur peut avoir besoin de protection contre les gaz de soudage, les rayons lumineux nocifs, le métal liquide et les éclats. Une protection multiple s'impose alors : masque et lunettes de soudage et appareil respiratoire approprié ou casque de soudage à alimentation d'air.
Prenez vos décisions en fonction d'une évaluation exhaustive, de l'acceptation des travailleurs et des types d'ÉPI disponibles. Une fois que vous avez déterminé vos besoins en matière d'ÉPI, faites des recherches et comparez les prix. Discutez de vos besoins avec des représentants de commerce expérimentés et demandez-leur de vous faire des recommandations. Exigez toujours des solutions de rechange et vérifiez les réclamations relatives aux produits et les résultats des essais. Avant de les approuver, essayez les ÉPI et mettez-les à l'essai afin de vous assurer qu'ils répondent à tous vos critères.
La participation des travailleurs à la sélection de différents modèles d'ÉPI est extrêmement importante. Elle peut se faire en introduisant dans le milieu de travail les modèles approuvés afin que les travailleurs puissent en faire l'essai et les évaluer. On obtient ainsi de l'information sur l'ajustement, le confort et l'acceptation des travailleurs. Ceux-ci devraient pouvoir choisir entre deux ou trois modèles, selon leurs préférences, et les équipements devraient être attribués de façon individuelle.
Si un équipement est inutilement lourd ou mal ajusté, il est peu probable qu'il soit porté. S'il n'est pas esthétique, s'il est inconfortable ou s'il est imposé sans que les travailleurs aient le choix entre différents modèles, la réaction ne sera pas favorable. Lorsque plusieurs types d'équipements sont portés ensemble, tenez compte des interactions (par ex., le port d'une protection oculaire interfèrera-t-il avec l'insonorisation des serre-têtes?). Cherchez autant que possible à faire preuve de souplesse dans le choix de l'ÉPI, pourvu qu'il réponde aux normes et aux lois requises.
Le prix des ÉPI peut constituer un problème. Dans certains programmes, on utilise des respirateurs jetables, qui semblent bon marché. Il se peut toutefois qu'à l'usage un masque respiratoire à deux cartouches soit plus économique. À long terme, les mesures d'ingénierie peuvent s'avérer encore plus rentables et il faut les considérer avant les équipements de protection individuelle.
Vérifiez les exigences de rendement reliées à toutes les normes afin de vous assurer que les équipements de protection réduiront ou élimineront l'exposition aux blessures. Exposés à des dangers plus graves que ceux pour lesquels ils sont conçus, les équipements ne procureront pas une protection adéquate.
Au Canada, il existe différentes normes et les plus récentes doivent orienter le processus de sélection. Par exemple, la norme CSA Z94.3-15 « Protecteurs oculaires et faciaux » indique les types de protecteurs oculaires recommandés pour certains risques professionnels. La fiche d'information Réponses SST sur les protecteurs oculaires et faciaux donne plus d'informations à ce sujet.
Après la sélection, le processus d'ajustement s'impose. Chaque travailleur devrait bénéficier d'un ajustement individuel et apprendre comment porter et entretenir convenablement les ÉPI.
Dans certains cas, des programmes d'ajustement individuels devraient être mis sur pied et exécutés par des personnes qualifiées. Par exemple, pour la protection des yeux on pourrait faire appel à un optométriste, à un opticien, à un agent du fabricant ou à un membre du personnel spécialement formé, comme une infirmière.
Les protecteurs oculaires doivent couvrir la zone oculaire du sourcil à la pommette et du nez à la partie osseuse située sur le côté externe du visage et des yeux. Si les lunettes de sécurité ou les protecteurs oculaires sont portés sur le milieu de l'arête du nez, la protection contre les risques présentés par les particules projetées est réduite au point d'être parfois inexistante. Le degré de protection calculé ne sera atteint dans la pratique que si l'ÉPI est porté correctement en tout temps dans les situations à risque pour les travailleurs.
Sans un entretien adéquat, on ne peut assurer l'efficacité des ÉPI. Cet entretien devrait comprendre l'inspection, le soin, le nettoyage, la réparation et le rangement adéquat.
L'inspection continue est sans doute l'élément le plus important de l'entretien. Effectuées avec soin, les inspections permettront de déceler les équipements endommagés ou défectueux avant qu'ils soient utilisés. Les ÉPI qui ne respectent pas les spécifications des fabricants, comme des lunettes aux verres rayés qui ont perdu la capacité de résister aux impacts, doivent être jetés.
Il faut élaborer des procédures qui permettent aux travailleurs d'obtenir de nouveaux ÉPI ou des pièces de rechange d'ÉPI endommagés et qui les aident à les garder propres. Par exemple, les appareils de protection respiratoire nécessitent un programme de réparation, de nettoyage, d'entreposage et d'essais périodiques.
Il est parfois plus dangereux de porter des ÉPI mal entretenus ou défectueux que de n'en pas porter. Les travailleurs ont un faux sentiment de sécurité et se croient protégés alors qu'en réalité ils ne le sont pas.
Aucun programme ne peut être complet sans éducation ni formation visant à s'assurer que les ÉPI sont efficacement utilisés. L'éducation et la formation doivent traiter de l'importance des ÉPI, de la façon de les adapter et de les porter, de les ajuster pour en tirer la protection maximale et d'en prendre soin.
Elles doivent souligner les grands objectifs du programme et le fait que des mesures d'ingénierie ont d'abord été envisagées comme première stratégie de prévention. Il n'est pas suffisant d'exiger d'une personne qu'elle porte un appareil respiratoire parce que la direction ou la loi l'exige. Si l'appareil respiratoire est conçu pour prévenir des troubles respiratoires, les travailleurs doivent être informés des risques.
Les travailleurs et leurs superviseurs devront être sensibilisés et formés pour savoir quand, où, pourquoi et comment utiliser l'équipement afin d'obtenir le degré de protection nécessaire. La formation doit s'adresser aux travailleurs qui sont régulièrement exposés aux dangers et à ceux qui peuvent l'être à l'occasion, par exemple, en cas d'urgence ou lorsqu'ils doivent travailler temporairement dans des zones dangereuses.
Lorsque le programme est en cours, vous devrez compter sur la participation de la direction, du personnel médical et du personnel de sécurité, du personnel de supervision, du comité de santé sécurité, des travailleurs et même des fournisseurs des équipements choisis.
Les programmes d'éducation et de formation devraient se poursuivre sur une base régulière.
Comme pour tout autre programme ou procédé adopté dans une entreprise, on doit surveiller l'efficacité du programme d'ÉPI par l'inspection de l'équipement et la vérification des modes de fonctionnement.
Il est d'usage de procéder à des vérifications annuelles, mais il est conseillé de vérifier plus fréquemment les zones critiques.
Il serait utile de comparer les données actuelles sur le rendement en matière de sécurité à celles obtenues avant le début du programme. Cette comparaison permettrait de déterminer la réussite ou l'échec du programme.
L'objectif général d'un programme d'accroissement de la sécurité des lieux de travail devrait être soutenu par une stratégie de promotion soigneusement élaborée. Celle-ci sera axée sur les points suivants :
Le succès du programme d'ÉPI dépend de la collaboration et de l'appui de tous les intéressés. Les chances de réussite seront plus grandes si on démontre que les mesures de maîtrise à la source et le long de la trajectoire ont été analysées efficacement et de manière exhaustive.
Les programmes d'ÉPI entraînent souvent un faux sentiment de sécurité; on croit en effet à tort qu'un travailleur est entièrement protégé du seul fait qu'il porte un équipement de protection. Il ne faut pas négliger les principes élémentaires de sécurité comme l'entretien des locaux et les mesures d'ingénierie.
Les ÉPI répondent à des critères qui ne reposent que sur une évaluation sommaire des conditions de travail réelles. Les ÉPI ne doivent pas être portés en présence de dangers plus graves que ceux pour lesquels ils sont spécifiquement conçus. Il faut tenir compte des incertitudes dans l'évaluation des dangers potentiels. Malheureusement, les critères qui président à la conception des ÉPI ne peuvent pas prévoir toutes les éventualités.
Le port d'équipements de protection individuelle ne doit pas en soi créer un danger plus grand. À titre d'exemple, les gants protègent la peau pendant la manipulation d'équipement mobile, mais ils peuvent causer un risque d'empêtrement dans le maniement d'une perceuse à colonne ou d'un tour à métaux.
La plupart des organismes de réglementation exigent que les ÉPI ne soient utilisés que lorsque l'employeur a pris toutes les mesures nécessaires en matière de mesures d'ingénierie, de pratiques de travail, de maîtrises administratives et d'hygiène pour maîtriser les risques.
Les ÉPI ne peuvent constituer la première option de protection puisque l'objectif d'un programme de santé et sécurité au travail consiste à prévenir les blessures et les maladies professionnelles. Le recours aux ÉPI n'empêche pas les incidents de survenir. Ils n'éliminent pas les dangers. Ils ne font que minimiser l'exposition ou diminuer la gravité d'une blessure ou d'une maladie. Pour ces raisons, les ÉPI sont souvent qualifiés de « mesures de dernier recours ».
Le responsable du programme d'ÉPI devrait tenir compte des éléments suivants :
Conception d'un programme d'ÉPI
Stratégie de promotion
Détermination des dangers et évaluation des risques
Choix des ÉPI
Adaptation et port des ÉPI
Entretien
Éducation et formation
Vérification du programme
Responsabilités des travailleurs :
Utilisation des ÉPI appropriés
Entretien et inspection
Éducation et formation